drame familial

rtl.be :
La mère infanticide de Kapellen en appel contre son internement.
Chantal Ligot, cette mère de famille qui a assassiné ses deux enfants en août 2008 à Kapellen, a décidé d'aller en appel contre la décision de la chambre du conseil d'Anvers qui a prononcé lundi dernier son internement.

Les faits se sont passés le 26 août 2008, dans une villa de Kapellen, quand Chantal Ligot a étouffé avec un coussin son fils âgé de 2 ans et sa fille de 4 ans. La mère avait ensuite tenté de se suicider en se jetant par une fenêtre. Des problèmes relationnels sont à l'origine de ce drame. Le père des enfants n'a pas pu surmonter ce deuil et s'est par la suite suicidé.

Deux thèses s'affrontent dans ce dossier. Celle du collège d'experts psychiatres qui a conclu à l'irresponsabilité de Chantal, et celle de la défense pour qui l'intéressée n'était irresponsable qu'au moment des faits et qu'il n'y a pas lieu de l'interner.
La chambre du conseil d'Anvers a suivi l'avis du collège d'experts et prononcé l'internement de la mère. Celle-ci ayant interjeté appel, il appartiendra à la chambre des mises en accusation de se prononcer sur le sort de la mère infanticide.

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terrible drame qui pourrait avoir démarré avec une dépression septennale des 42 ans : la personne avait semble-t-il 43 ans au moment des faits mais avait sombré dans la dépression un an auparavant... (on entre dans la période critique septennale des 42 ans à 41 ans et demi environ).

le 26 août 2008 est un mardi mais la date ne semble pas juste.
ailleurs je trouve le dimanche soir pour le drame. si alors la dame est une native du lundi (éventl.du dimanche) cela pourrait donner une indication quant au phénomène de pulsions désinhibition lié au jour critique émotionnel.

avec la période critique septennale (toujours une période à gros risque en cas de dépression sévère) le jour critique émotionnel est souvent présent lors de passages à l'acte infanticides, car il faut un "moteur" suffisamment "puissant" pour en arriver à une telle extrémité. (c'était le cas pour l'infanticide de Nivelles : Geneviève Lhermite étant - sous réserve de l'exactitude des renseignements trouvés - une native du mercredi, est passée à l'acte un mercredi. et au préalable avait alerté à deux reprises un mercredi, ce jour est alors souvent et de préférence "jour de crises d'angoisse" et peut dans l'exception devenir pire... jour d'un coup de folie).

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