jeudi 5 novembre 2009

pédophilie septennale

Pédopornographie : le général d’armée Raymond Germanos renvoyé devant le tribunal
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 5 novembre 2009
Librairie 3ème oeil.

" Ancien chef du cabinet militaire des ministres Charles Millon et Alain Richard, le général Germanos, 68 ans, va comparaître devant le tribunal correctionnel pour détention d’images à caractère pédophile, mettant en scène de très jeunes enfants. Il risque jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

Raymond Germanos, ex-patron du Service d’information et de relations publiques des armées (Sirpa), qui fut aussi directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), a été renvoyé le 9 octobre dernier devant le tribunal de Paris. On ne l’a appris qu’hier tant cette affaire sensible avait été menée en toute discrétion. Le général d’armée est soupçonné d’avoir téléchargé sur un site autrichien, entre 2004 et 2008, environ 3.000 images d’enfants âgés de 6 mois à 12 ans, mis en scène par des pervers.

L’affaire a débuté en 2006 lorsque les policiers français ont été alertés, via la structure Europol, par leurs homologues autrichiens. Les enquêteurs étaient parvenus à identifier l’adresse internet de M. Germanos sur laquelle étaient importées photos et vidéos pédopornographiques.

C’est ainsi que le militaire est confondu : les policiers perquisitionnent son domicile et saisissent son ordinateur, mettant la main sur les photos, dont certaines, effacées, seront retrouvées grâce à une expertise du disque dur. Contre toute attente, il reconnaît les faits, sans les minimiser.

La première fois, confiera-t-il, c’est par hasard qu’il est allé sur ce site avant de céder « à une curiosité malsaine », selon ses termes, a rapporté, hier à France-Soir, une source judiciaire. Devant la juge d’instruction Géraldine Rigollot, le prestigieux officier supérieur a raconté avoir traversé des épisodes difficiles, liés à des problèmes de santé, qui l’auraient déstabilisé.

Au cours de cette période troublée, il aurait commis ces faits qu’il a lui-même qualifiés d'« aberrants » devant le magistrat instructeur. Raymond Germanos a été mis en examen en 2008. Le parquet de Paris avait requis son renvoi en correctionnelle, désormais acquis. Il encourt deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

Il a entamé un travail avec des psychiatres
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probablement un cas intéressant de ce que j'ai appelé la pédophilie septennale : ce n'est pas une pédophilie habituelle, mais c'est celle qui survient à l'arrivée d'une période critique septennale, du moins elle peut se matérialiser à ce moment là sous la forme décrite ci-dessus (subit intérêt pour des images pédopornographiques, que l'on se met à collectionner) parfois aussi des passages à l'acte mais dans ce cas c'est encore très différent, mais manifestation septennale aussi. la période critique septennale est une période de pulsions : son arrivée a alors pour effet de provoquer l'émergence, puis de cultiver, l'action de comportements jusqu'alors "enfouis", parfois profondément.

hélas les psychiatres ne prennent pas en compte ce phénomène du fait que l'on ignore totalement l'existence et le fonctionnement de notre cycle psychique et émotionnel septennal.

et pourtant, si les téléchargements ont eu lieu entre 2004 et 2008 et que l'intéressé a 68 ans aujourd'hui, un simple calcul tend à montrer que le "démarrage" de ce comportement a eu lieu au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans. (la période critique septennale des 63 ans démarre à 62 ans et demi et s'arrête en principe à 64 ans) dans le cas de l'intérêt pour les images pédophiles cela peut "se tasser" à ce moment là, mais pas forcément puisqu'on a pu y prendre goût et s'y habituer.

la période critique septennale correspond aussi avec la survenance comme dit d'épisodes difficiles, de problèmes de santé : ce peut être - et çà l'est assez souvent - une période de déstabilisation à divers degrés. cela dépend des personnes.

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