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Enquête géante sur les traces d'un serial killer retraité
" La police de Sarre (sud-ouest de l'Allemagne) lance cette semaine une opération de prélèvements d'ADN sur quelque 5.000 hommes âgés pour tenter d'identifier un meurtrier qui a anonymement confessé des crimes commis il y a 40 ans.
"Je ne l'ai jamais oublié"
"J'ai un aveu à faire. Je suis vieux et malade. Je me retourne sur ma vie passée, et il y a quelque chose que je n'ai pas réglé: j'ai tué quelqu'un, je ne l'ai jamais oublié", est-il écrit dans une de ces lettres anonymes, reçues en juillet 2006 par la police de Kaiserslautern (sud-ouest).
Ecolière
Au vu des éléments contenus dans cette missive manuscrite, les enquêteurs ont rapidement conclu que leur correspondant s'accusait d'un meurtre non élucidé depuis près d'un demi-siècle, celui de Lydia Schürmann, une écolière tuée en 1962 à l'âge de 13 ans, près de Bielefeld (nord-ouest).
2e affaire
Or, quelques mois auparavant, en novembre 2005, la police de Nuremberg avait elle aussi reçu une étrange lettre anonyme, concernant un autre meurtre: celui de Heiderose Berchner, une femme de 29 ans, retrouvée morte en 1970 dans une forêt près de Ulm (sud), le corps à moitié calciné.
Faux ami
L'auteur de la lettre expliquait qu'un "ami", décédé, lui aurait avoué être le meurtrier de Mme Berchner. Mais les enquêteurs, qui ont identifié la même écriture sur les deux missives, ont la conviction que cet "ami" n'existe pas, et que l'auteur des lettres est aussi celui des deux meurtres.
Traces d'ADN
En outre, l'hypothèse d'un affabulateur a pu être écartée, car les traces d'ADN retrouvées sur les lettres correspondent à une empreinte génétique récemment identifiée sur un "élément de preuve" conservé depuis près de 40 ans dans l'affaire Berchner.
4 autres meurtres
A deux reprises au cours des derniers mois, les enquêteurs ont fait appel, sans succès, à une émission de télévision pour tenter d'identifier le mystérieux "senior", qui pourrait être suspecté dans au moins quatre autres meurtres non élucidés, commis dans les années 1960.
5 lettres
Au total, le suspect, qui confie dans l'une de ses lettres vouloir "soulager sa conscience" mais n'avoir pas l'intention de se livrer à la police, par peur de finir ses jours en prison, a adressé cinq lettres anonymes à la police.
Critique des médias
Dans la dernière en date, fin octobre, il réagit même aux propos tenus par les enquêteurs lors d'une récente conférence de presse, et s'emporte contre les médias qui le décrivent comme "le plus vieux tueur en série d'Allemagne".
"Un retraité sans histoire"
Les "profilers" de la police criminelle pensent avoir affaire à un individu de 70 ans ou plus, égoïste, ayant une haute estime de soi. "Il est probablement perçu par son entourage comme un retraité sans histoire", et sans doute pas dangereux, croit savoir la police.
Résidence presque identifiée
Son lieu de résidence a également pu être identifié, à quelques kilomètres près, grâce à une lettre anonyme qu'il a envoyée en juin 2007 à la mairie de Weiskirchen, une bourgade proche de Sarrebruck, et dans laquelle il se présente clairement comme un habitant de cette région.
Collecte d'échantillons
Quarante-six ans après le meurtre de la petite Lydia, la police va donc tenter de resserrer l'étau autour du mystérieux retraité, en lançant à partir de jeudi, sur la base du volontariat, une vaste opération de collecte d'échantillons d'ADN sur les quelque 5.000 hommes âgés qui résident près de Weiskirchen.
Espoir
"Bien sûr, notre homme peut refuser de se laisser tester. Mais on peut espérer également qu'il acceptera le test afin de ne pas se faire remarquer", a expliqué Williband Kross, un porte-parole de la police. "Le mieux serait bien sûr qu'il se rende, cela éviterait tous ces désagréments à des milliers de personnes". "
Source : BELGA (2 novembre 2008).
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si l'on reprend les quelques dates que l'on cite dans l'article :
premier et second meurtre : 1962 et 1970 sont séparés pratiquement d'un septennat.
les premiers courriers de l'individu datent de 2005/2006 : or c'est en période critique septennale que çà "démange" de se faire remarquer...
il faut dont faire un compte septennal depuis 1962 :
1962 - 1969 (ou 1970 second crime) - 1976 - 1983 - 1990 -1997 - 2004 (ou 2005 selon le moment de naissance) cela colle avec le début des courriers que l'intéressé aurait pu envoyer en démarrant au moment "pic" de l'entrée dans une période critique septennale.
bon ce sont calculs et hypothèses, mais compte tenu des données citées et dont on dispose à présent, je pense que l'on devrait effectivement pouvoir mettre la main sur le bonhomme...
on peut aussi vérifier si les autres meurtres non élucidés correspondent à l'une ou l'autre des périodes critiques ci-dessus... il peut cependant avoir agit aussi durant une période située entre deux périodes critiques...
le premier crime ayant eu lieu en 1962, on peut essayer, au moyen de la théorie septennale, de calculer l'âge de la personne il peut avoir eu 21 ans, 28 ans ou 35 ans en 1962 ce qui nous donne aujourd'hui des âges de 67 ans, 74 ans ou 81 ans. l'âge de 74 ans semblant le plus probable (cela correspond aussi à 70 ans âge septennal au moment du premier courrier en 2005)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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