lundi 13 octobre 2008

drame conjugal

LaDépêche.fr :
Drame de Gaillac. Le mari aurait drogué son épouse
Il a été présenté, hier soir à Toulouse, pour tentative d'assassinat.

Jetée du haut du pont, elle a fait une chute de 20 m.Gaillac. Il nie les faits, dit ne se souvenir de rien et d'avoir un trou noir. C'est en substance ce qui est ressorti de sa longue audition par les gendarmes de Gaillac. Même son de cloche, en milieu d'après-midi, hier, lorsque ce Gaillacois de 41 ans a été déféré au parquet d'Albi et entendu par la substitut du procureur Sylvie Parisot. Celle-ci a délivré un réquisitoire introductif pour tentative d'assassinat. Elle a saisi le pôle de l'instruction chargé des affaires criminelles, au tribunal de grande instance de Toulouse, afin de demander son placement en détention provisoire. Ce qui a été fait hier soir, tard.

Difficile à ce stade de l'enquête de savoir ce qui est passé par la tête de ce père de deux enfants, apparemment sans histoires. La mésentente dans le couple était-elle si insupportable qu'il aurait pris la décision de se débarrasser de son épouse ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu après 2 heures du matin, il se serait rendu en voiture, avec son épouse à ses côtés, en direction de l'abbaye Saint-Michel à Gaillac. Il l'aurait ensuite saisie et jetée par-dessus la rambarde du pont. Selon les premiers éléments de l'enquête, le mari aurait fait prendre des somnifères ou autres médicaments à son épouse. Celle-ci se trouvait dans l'incapacité d'opposer une quelconque résistance lorsqu'elle a été précipitée dans les eaux du Tarn, d'une hauteur de 20 m. Par chance, elle n'a heurté aucun obstacle et a pu être rapidement secourue pendant que son époux regagnait leur domicile en voiture. Transportée au centre hospitalier d'Albi, la mère de famille, véritable miraculée, se trouvait hier dans un état stationnaire. Ces jours ne sont pas en danger.

L'information ouverte va maintenant tenter de faire la lumière sur les origines du conflit qui opposait le couple et qui aurait poussé le mari à commettre cet acte de violence qui, pour le parquet, était prémédité. P. S.

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que s'est-il passé ?
voyons la date de naissance des deux personnes et leur situation biorythmique. c'est le jour critique émotionnel que çà peut se passer comme çà : c'est le "jour explosion".
mais de toute façon la situation à l'entrée de la période critique septennale des 42 ans (on y entre à 41 ans et demi) donne déjà une partie d'explication. et l'absence de souvenir et le trou noir font souvent partie des tentatives d'explicatioon...

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