Violence : le lien avec une maladie mentale est en fait très rare (...) "La grande majorité des auteurs de crimes violents n'ont pas de maladie mentale diagnostiquable, et inversement, la plupart des personnes souffrant de troubles psychiatriques ne sont jamais violentes", souligne le Dr Jeffrey Swanson, professeur de psychiatrie et de sciences comportementales à la faculté de médecine de l'université Duke (États-Unis),(...)
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les violences trouvent leur origine dans les jours et épisodes critiques des rythmes psychiques de l'humain : des pulsations du psychisme produisent à intervalles réguliers un effet de pulsions (qui va révéler et exacerber les insatisfactions, la colère, les remises en cause, inciter à l'action et la réaction...) alors que simultanément va se produire une désinhibition faisant en sorte que l'action n'ait plus l'obstacle de la conscience, de la raison...
mais c'est là une découverte - extraordinaire - qui reste encore à faire par la recherche...
extraordinaire... car les rythmes étant d'une régularité horlogère, cela permet
-
de repérer et connaître l'élément moteur d'un drame arrivé (même si,
bien sûr, il n'est pas toujours seul en cause, sa survenance est souvent
un élément déclencheur)
- de tenter de prévenir les drames puisque les jours et épisodes "à risques" sont connus à l'avance... (même si ce n'est pas évident puisque ces éléments qui défilent sont fréquents...)
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