récidiviste septennal ?

L'homme jugé pour avoir maquillé un meurtre en suicide à Waismes avait déjà été condamné pour assassinat en 1994
C'est ce lundi matin que le procès de Jacques B. démarre vraiment, devant la Cour d'assises de Liège. Ce Waimerais de 52 ans est accusé d'avoir commis l'assassinat de la fille de sa compagne. La mort de Corine Kupper avait été maquillée en suicide. Mercredi dernier, un jury composé de 4 femmes et 8 hommes avait été constitué pour le juger,mais les débats au fond débutent ce lundi à 9 heures, par la lecture de l'acte d'accusation. Corine Kupper (20 ans) avait été découverte morte au domicile familial de Waimes (Belgique) le samedi 3 octobre 2009. 
Jacques B., le compagnon de la mère de la victime, avait immédiatement été suspecté des faits car son ADN et des microfibres avaient été retrouvés sur le corps de la victime ainsi que sur la corde utilisée pour maquiller le décès en suicide. Les analyses avaient démontré que Corine Kupper était décédée de mort violente. La jeune femme avait été asphyxiée par strangulation alors qu'elle se trouvait en compagnie de son petit frère dans le domicile familial. Sa mère était partie en voyage professionnel.
La victime craignait Jacques B. car elle n'avait jamais accepté la relation entretenue par sa mère avec lui. Corine Kupper le suspectait d'être à l'origine de la mort de son père lorsqu'il avait été écrasé par un autobus dont il réalisait l'entretien.
Jacques B. est décrit comme un psychopathe par les experts qui l'ont évalué. L'homme est connu de la justice et est récidiviste. En 1994, il avait été condamné par la Cour d'assises de Liège à une peine de 15 ans de prison pour l'assassinat de son épouse, Nicole Dahmen, perpétré en 1989. Lors de cette première affaire, il avait maquillé son crime en accident. Jacques B. avait été libéré en 2007 après sa première condamnation. La défense de Jacques B., Mes Renaud Heins et Yves Wynants, devrait plaider l'acquittement à la demande de son client. L'avocat général Jean-Baptiste Andries soutiendra l'accusation d'assassinat devant la Cour d'assises, présidée par Dominique Gérard. Les avocats Adrien Masset et Thierry Delobel défendront les intérêts des parties civiles. Le procès devrait durer au moins 10 jours." Source : SUDPRESSE.BE (10 décembre 2012
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=40635

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récidiviste septennal ? le meurtre maquillé de 2009 a été perpétré lors de la période critique septennale des 49 ans, alors que celui de 1989 tout aussi maquillé, apparemment, a un lien avec la période critique septennale des 28 ans...
on pourrait vérifier si "l'accident" du père de la victime (pas trouvé de date) n'a pas un lien avec une période critique (ce sont des périodes cycliques de pulsions) il pourrait bien avoir aussi un lien avec la période critique des 49 ans, l'intéressé ayant été libéré en 2007 alors qu'il avait apparemment 47 ans...
édit : l'étrange accident de travail qui a tué le père serait effectivement arrivé quelques mois avant le "suicide" de la jeune fille :
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=5519&hl=


édit 11/12 :
diverses données trouvées - dont la date de naissance - permettent de voir la situation de l'intéressé au moment des différents drames :
naissance 28/03/1959
accident qui a coûté la vie à l'épouse : 25/01/1989 (le suspect a 29 ans et 10 mois)
accident qui a coûté la vie au père de Corine : 17/02/2009 (49 ans et onze mois)
meurtre de Corine : 3/10/2009 - (50 ans et 6 mois)

les situations sont alors intéressantes :

25 janvier 1989 (28/03/1959)
Sa 21 E(1)
Di 22
Lu 23
Ma 24
Me 25 P(18)
Je 26 P(19)
Ve 27 I(9)
Sa 28 E(8)

17 février 2009 (28/03/1959)
est un jour critique intellectuel i9.
 (dans le cas de Bernie Kupper, aucune intervention d'un tiers n'a pu être attestée et la thèse du décès accidentel est privilégiée)
http://embed.scribblelive.com/Embed/v5.aspx?Id=72632&Page=16&ThemeId=8401

3 octobre 2009 (28/03/1959)
Je 1
Ve 2 P(6)
Sa 3 P(7) E(1)
Di 4
Lu 5
Ma 6I(9)

- P18 est un jour accident mais peut aussi être jour pulsion pour un passage à l'acte criminel, surtout qu'il s'agit de l'arrivée d'un épisode triplement critique.
- i9 est un jour critique intellectuel : on le retrouve chez certains tueurs en série mais difficile ici de savoir s'il a pu jouer un rôle... en l'absence d'autres apparitions...
- P7 et E1 (surtout) correspondent par contre comme possibles éléments pulsions lors du  drame arrivé ce jour-là...
les éléments "forts" se retrouvent donc dans le premier et surtout le dernier scénario : mais comme toujours à considérer comme une simple mais intéressante indication supplémentaire...
(en l'absence d'études sur les rythmes et cycles)


édit 12/10 pour un autre élément intéressant...
je n'avais pas pensé de suite à regarder la situation de Corine et la voici puisque j'ai trouvé sa date de naissance :
Domiciliée à Libomont (Belgique) 
Née le samedi 24 juin 1989 
Décédée à Libomont (Belgique) le samedi 3 octobre 2009 à l'âge de 20 ans

Corine a 20 ans et trois mois donc sur le point d'entrer dans sa période critique septennale des 21 ans. 
cycles courts le jour du drame : 
3 Octobre 2009
Je 1
Ve 2
Sa 3 P(1) E(15)
Di 4
Lu 5 I(17)
Ma 6
Me 7
Je 8

nous trouvons - comme chez le suspect - un jour doublement critique, dont deux éléments "forts" avec simultanément le jour critique physique P1 et le jour critique émotionnel E15...