Un père de famille agresse sexuellement une auto-stoppeuse : huit mois de prison avec sursis
Le prévenu, un père de famille qui n’avait jamais fait parler de lui jusqu’alors, avait, le 23 août 2019 à Quincey, posé sa main sur la cuisse d’une auto-stoppeuse avant de la remonter vers son entrejambe. Il a reconnu les faits, sans pouvoir les expliquer.
...Qu’est-il passé par la tête de ce père de trois enfants, jusque-là inconnu de la justice, pour, le 23 août 2019, avoir agressé sexuellement une auto-stoppeuse ? « Je ne sais pas, je ne sais pas. Je ne comprends pas. J’ai honte », répète-t-il à la barre.
(...)Le mis en cause, âgé de 43 ans, reconnaît la totalité des faits mais jure s’être arrêté dès que la victime le lui a demandé. Le psychiatre qui l’a examiné n’a décelé aucune anomalie. « Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, j’ai vraiment honte, je m’excuse, je suis prêt à faire le nécessaire au niveau psychiatrique », assure le Haut-Saônois, penaud.(...)
Évoquant « une pulsion très inquiétante et extrêmement grave » et s’interrogeant sur un possible risque de récidive, la procureure requiert une peine d’un an de prison avec sursis. Le tribunal statue sur huit mois avec sursis, assortis de l’obligation d’effectuer un stage sur la prévention des violences sexuelles et sexistes (...)
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c'est assez clair si l'on s'intéresse aux rythmes psychiques de l'humain et à leurs épisodes critiques (situation précise à voir ici le 23 août 2019) : pulsions/désinhibition de la période critique septennale des 42 ans... prochain risque de récidive (du moins de réitération du même effet de pulsions et désinhibition) à partir de 48 ans arrivée de la période critique septennale suivante des 49 ans... (après un stage probablement pas très utile car en période neutre et sans explications)
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