jeudi 16 janvier 2020

féminicide

Féminicides : 20 ans de réclusion pour avoir brûlé vive sa femme devant leur fille  (...) Il est parti chercher « une bouteille de gaz jaune », puis, montre-t-elle, « il l’a renversée, comme ça, sur maman ». « Après, il y avait le feu chez moi, et maman est morte. » Camille n’a été sauvée que grâce à l’intervention des voisins qui ont défoncé la porte après avoir entendu « hurler à la mort » et vu la fumée. Tout au long de son procès, Christophe Jallageas, 42 ans, « pas très grand et pas très costaud » comme le décrit sa défense, s’est souvent recroquevillé sur lui-même, ses propos entrecoupés de sanglots. Il a maintenu n’avoir jamais voulu tuer sa compagne, tout au plus « faire peur » à celle qui était « tout » pour lui. Quelques semaines auparavant, il avait appris qu’elle avait un amant. Le soir des faits, elle lui avait annoncé qu’elle voulait le quitter. « Je me rappelle plus » Selon lui, Ghylaine, 34 ans à l’époque, n’aurait reçu que des « éclaboussures » de l’essence qu’il s’était versé dessus avant d’allumer un briquet. « J’ai tenté de me suicider et c’est tombé sur Ghylaine qui ne s’en est pas sortie », dit-il.(...)
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/01/15/feminicides-20-ans-de-reclusion-pour-avoir-brule-vive-sa-femme-devant-leur-fille_6026011_3224.html
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22 septembre 2017 : la période critique septennale peut aussi se situer chez la victime (ici période critique septennale des 35 ans) rythmes semestriels et courts des deux personnes à voir)

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