jeudi 7 novembre 2019

condamné

Condamné... à 92 ans pour des violences conjugales La justice avait laissé une année à ce nonagénaire pour démontrer qu’il pouvait laisser sa femme tranquille. Rien n’y a fait… L’irascible vieux écope de six mois de prison avec sursis. André, Nancéien de 92 ans, a été condamné ce mercredi à six mois de prison avec sursis pour… des violences conjugales habituelles. Des brimades morales mais aussi parfois physiques. Il avait comparu en octobre 2018 et, au terme de ce procès, le tribunal avait décidé d’un ajournement de peine, avec un suivi psychologique. En clair, la justice donnait un an à ce nonagénaire irascible pour démontrer qu’il s’était calmé. Le 9 octobre dernier, l’homme, canne à la main, s’est donc de nouveau présenté à la barre. Et les magistrats ont constaté qu’il enquiquinait toujours son épouse et qu’il n’avait jamais vu le moindre psychologue. (...) Il niait les reproches constants faits à son épouse, 88 ans, - avec laquelle il avait convolé en justes noces en… 1956 -, les insultes ou encore un dénigrement permanent. (...)Me Blandin avait indiqué que sa cliente était frappée depuis six décennies. « Depuis 1958 précisément. Cela a commencé quand elle était enceinte de 8 mois de son fils. Et la violence s’est exacerbée avec l’âge ». L’an passé, le prévenu semblait pourtant avoir compris la leçon. (...)
https://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2019/11/07/condamne-a-92-ans-pour-des-violences-conjugales
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(période critique septennale des 91 ans - rythmes courts des deux personnes à voir car si fréquents, les différends ont tendance à arriver au rythme hebdomadaire du jour critique émotionnel - 1958 est la période critique septennale des 28 ans de l'épouse)
("un an pour démontrer qu'il s'était calmé", c'est juste le temps de la dépression et des pulsions de la période critique septennale des 91 ans ; c'est après, qu'en principe çà devrait aller mieux)

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