vendredi 10 août 2018

alerte

Argelès-sur-Mer - En menaçant le camping, il voulait gâcher les vacances de son ex 2 000 clients avaient été évacués à la suite d’une alerte à la bombe. Un conflit conjugal ! Ce serait donc cela le mobile de l’appel malveillant qui a déclenché mercredi après-midi l’évacuation de 2000 clients au camping Taxo-les-Pins d’Argelès-sur-Mer. Bien dérisoire en regard du remue-ménage, de la peur, des désagréments pour les vacanciers et des énormes moyens engagés. À 14 heures, une standardiste de l’établissement était tombée sur un individu annonçant qu’il avait déposé une bombe sur le site et qu’il ferait tout sauter dans trois heures exactement, terminant ses invectives par "Inch’allah". La fouille immédiate par les services de gendarmerie des 500 bungalows n’avait alors permis de retrouver aucun engin explosif et l’enquête, ouverte par le procureur de la République, s’orientait vers « une mauvaise plaisanterie ». Une piste finalement confirmée. Hospitalisé d’office Le propriétaire de la ligne téléphonique utilisée a été rapidement identifié et localisé à Rouen où il a été interpellé par les forces de l’ordre locales quelques heures plus tard. Le parquet des P.-O. s’étant dessaisi du dossier au profit de son homologue de Seine-Maritime, lieu de domiciliation de l’intéressé et de la commission des faits. L’homme, âgé de 49 ans, a été examiné rapidement par un expert médical et a fait l’objet d’une hospitalisation sous contrainte en milieu spécialisé. Au cours de son audition, il aurait expliqué qu’il aurait agi dans un contexte familial compliqué. Il aurait volontairement conclu par un mot en arabe pour rendre sa menace plus crédible ou sérieuse mais n’aurait eu pour seul but que d’enquiquiner son ex-femme. (...)
https://www.lindependant.fr/2018/08/09/argeles-sur-mer-en-menacant-le-camping-il-voulait-gacher-les-vacances-de-son-ex,4673235.php
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(les rythmes psychiques sont souvent en cause lors de ce genre de comportement et l'homme semble effectivement être dans sa période critique septennale des 49 ans - les rythmes courts le jour-même restent à voir pour le déclencheur)

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