Une Euroise, âgée de 33 ans, est jugée devant la cour d’assises à Évreux pour avoir secoué, en 2013, sa fille âgée de deux mois. Celle-ci, devenue handicapée, a conservé de lourdes séquelles.
C’est un dossier délicat que doit juger, à partir d’aujourd’hui, la cour d’assises à Évreux. Une Euroise de 33 ans, qui comparaît libre, est poursuivie pour avoir secoué, en juillet 2013, son nourrisson de deux mois.
La petite fille, âgée aujourd’hui de 4 ans, est handicapée. Elle a gardé de lourdes séquelles motrices — elle marche très difficilement et a des problèmes de diction. « Elle culpabilise énormément, précise son avocat, Me Kamel Bacha. Elle reconnaît pleinement sa responsabilité dans le geste qu’elle a commis. »
Le 31 juillet 2013 dans la matinée, elle rend visite à sa mère. Son enfant pleure. Elle revient à son domicile, une commune euroise située dans la vallée de l’Andelle, et « son enfant pleure toujours, explique son conseil. Il ne veut pas manger ni prendre le biberon. » Vraisemblablement « excédée » par la situation, elle indique qu’elle « l’a pris dans les bras et qu’elle l’a secoué. Son geste a duré une fraction de secondes. »
Elle reconnaît son geste devant le juge d’instruction
Constatant que sa fille a les yeux révulsés, qu’elle présente des signes de somnolence anormaux, elle appelle les pompiers. Le nourrisson est hospitalisé au CHU de Rouen. Après examen, le diagnostic tombe : la petite a été victime du syndrome du bébé secoué. L’enquête — en recoupant les emplois du temps de chacun— établi que la mère est responsable. Son conjoint n’était pas présent au moment des faits, il était au travail. « Ma cliente a évolué, elle était au départ dans le déni malgré le diagnostic posé par les médecins. Je pense que c’était compliqué pour elle d’admettre qu’elle était à l’origine de cet acte irréparable. » L’accusée avoue finalement devant le juge d’instruction être à l’originaire de l’infirmité de sa fille. Un temps placé dans une famille d’accueil, l’enfant vit de nouveau chez ses parents sur décision d’un juge des enfants qui a mis en place une mesure d’assistance éducative. (...)
http://www.paris-normandie.fr/actualites/faits-divers/bebe-secoue--une-mere-devant-les-assises-d-evreux-CE12709128
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il est important d'expliquer et répéter aux parents (et gardiens) qu'il ne faut pas secouer un bébé : mais il faudrait leur expliquer aussi le moteur, qui fait que l'on peut en arriver à secouer un bébé : une situation du secoueur en jour ou épisode critique (période de tensions)(ici période critique septennale des 28 ans - rythme semestriel et rythmes courts restant à voir) et une situation du bébé en jour critique physique (également à vérifier ici)...
les rythmes dont je parle ont été découverts autour de 1900 déjà par un médecin allemand qui avait remarqué que les mamans venaient le consulter avec leur bébé - toutes au même nombre de jours d'âge du bébé - parce que celui-ci semblait ne pas être bien... il pleurait sans cesse et ne voulait pas manger. (rythme à pulsation chaque sixième jour, l'effet étant variable)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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