Salarié tué par son patron en Seine-et-Marne : un litige financier à l’origine du drame
Mardi, le patron d’une entreprise de peinture a tué de trois balles son employé sur le perron de son pavillon à La Chapelle-Gauthier. Il l’accusait d’avoir encaissé trop tôt ses indemnités de licenciement. Mercredi matin, chacun essayait de comprendre les raisons qui ont entraîné Pascal Chavin, 52 ans, le patron d’une entreprise du bâtiment de Saint-Fargeau-Ponthierry, à abattre l’un de ses employés.
Ce mercredi, l’enquête se poursuivait pour connaître ce qui a pu conduire cet entrepreneur à commettre ce geste fou.
« Il reprochait à la victime d’avoir encaissé son chèque de licenciement trop tôt, expliquant que cela mettait en difficulté la société », précise Béatrice Angelelli, la procureure de la République de Melun. Selon nos informations, le montant de ce chèque serait d’environ 15 000 €.
A 9 heures, mardi, le chef d’entreprise a sonné au domicile de son employé, dans une zone pavillonnaire de La Chapelle-Gauthier. La victime, Pascal Guyot, un père de trois enfants, âgé de 52 ans, a ouvert la porte. « Il lui a tiré dessus immédiatement », précise une source proche du dossier. « Il a fait feu à sept reprises. D’après les résultats de l’autopsie, trois balles l’ont atteint au thorax et l’une d’elle, à hauteur du sternum, était mortelle », indique la procureure.
L’arme utilisée, un pistolet automatique de 9 mm, avait été retrouvée lors de l’interpellation mouvementée du suspect. (...)
http://www.leparisien.fr/saint-fargeau-ponthierry-77310/saint-fargeau-ponthierry-un-litige-financier-a-l-origine-du-geste-fou-de-l-entrepreneur-08-11-2017-7381383.php
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les rythmes psychiques humains sont généralement présents lors d'un acte grave : jour de désespoir mais aussi de rage, l'épisode critique P17/P19 est l'équivalent du jour critique émotionnel (c'est le seul épisode du rythme physique qui ait un effet psychique particulièrement fort)
Né le
5 févr. 1965
7 novembre 2017 (5/02/1965) (jour critique physique P18)
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