assassinée

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Assassinée à 23 ans

En instance de divorce, Charlène Bello a été retrouvée morte chez son mari, à la Genette. Il a été interpellé par la police. Le parquet ouvre une information judiciaire pour assassinat.
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La veille, le corps de cette maman d'un enfant de deux ans a été retrouvé à La Rochelle. Au 15, rue de Suède exactement, dans le quartier de la Genette, où le mari de la victime avait son appartement, abritant aussi son bureau. Une entreprise de traiteur, semble-t-il.
Pas par arme à feu
Suspecté du meurtre de sa femme, Yann Bello a été interpellé lundi soir. Si ce cuisinier - de 41 ans - aurait reconnu une partie des faits, beaucoup de zones d'ombre demeurent.
L'homme aurait fait venir la jeune femme chez lui pour parler des conditions matérielles de la séparation et il l'aurait tuée sans que l'on sache encore précisément comment. Ni dans quelles circonstances, si ce n'est que ce ne serait pas par arme à feu.

Menée hier à Poitiers, l'autopsie pourrait aujourd'hui apporter des réponses. L'heure du décès serait alors estimée, et les raisons de la mort aussi. Peut-être par étranglement, alors que sur place des traces de sang ont été aussi découvertes.
Une crise conjugale
La preuve qu'il y aurait eu des « échanges de coups » dans l'appartement rochelais entre les deux conjoints. Un couple qui traversait une période de crise importante.
« Ils n'habitaient plus sous le même toit […] et étaient en instance de divorce », affirment plusieurs personnes, à bien les connaître, ou proches du dossier. Le nom de la défunte avait d'ailleurs été rayé de la boîte aux lettres ou figure encore celui de son mari.
Alertée par un membre de la famille de Charlène Bello, la police est rapidement venue sur place. Placé en garde à vue, Yann Bello n'aurait pas fourni d'explication à son geste.
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Bello rattrapé par son passé ?
Yann Bello a déjà été mêlé à une affaire criminelle, voilà tout juste vingt ans. En août 1991, une jeune fille de 20 ans, Valéry Bechtel, était retrouvée morte, étranglée, dans un petit bois des Vosges. Six ans plus tard, son ex-petit copain, Raphaël Maillant, était condamné à dix-sept ans de réclusion pour ce meurtre qu'il a toujours nié.
Yann Bello était l'ami d'enfance de Maillant. Il l'accompagnait ce soir-là mais, d'après ses déclarations, il l'avait quitté avant les faits. La cour d'assises des Vosges avait écarté la complicité, ne retenant contre lui que des délits connexes sanctionnés par deux ans de prison. Selon les compte-rendus de l'époque, les accusations de Yann Bello contre son ami avaient pesé lourd dans le verdict des jurés. Depuis sa sortie de prison en 2004, après avoir passé dix ans derrière les barreaux, Raphaël Maillant se bat pour faire reconnaître son innocence.
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Joint hier par téléphone, Raphaël Maillant était déjà au courant du drame de La Rochelle. « J'attends toujours des éléments nouveaux qui permettraient de rouvrir mon dossier et celui-ci, a priori, peut en être un. Mais je pense d'abord à la victime. J'ai toujours dit qu'il [YannBello] était un peu fou. À l'époque, personne ne m'a écouté. »
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il y a situation en période critique lors de ce drame conjugal... (41 ans aujourd'hui et entrée période critique des 42 ans) ... mais il y a également période critique (celle des 21 ans) en 1991 lors du premier drame auquel il a été mêlé... et pour lequel son ami, condamné, crie son innocence...

les personnes "un peu folles" sont souvent des "pulsionelles" de sorte qu'elles fonctionnent mieux que d'autres selon leurs pulsions et donc selon leurs cycles. peut-être, alors, que la situation cyclique des deux personnes en cause dirait quelque chose dans le drame récent... mais aussi dans l'ancien...
les récidives septennales se produisent comme leur nom l'indique... en période critique septennale... mais on peut aussi regarder la "situation du jour" du drame, c'est à dire celle des cycles courts, qui permet souvent de discerner l'état d'esprit du moment : un jour critique émotionnel par exemple est par préférénce à un autre jour, un jour de passage à l'acte...