"accident"

L'Union L'Ardennais :
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/tue-en-traversant-la-rue
Tué en traversant la rue
Publié le jeudi 11 novembre
ROCROI (Ardennes). Le drame s'est produit, hier, aux alentours de 18 heures, avenue Moreau, près de la piscine de Rocroi. Comme tous les jours, ce salarié de l'entreprise Eiffage (anciennement Fievet) s'apprête à quitter son travail au volant de sa voiture. En sortant du parking de l'entreprise, il n'a vraisemblablement pas vu qu'au même moment un piéton était en train de traverser la voie. C'est le choc. Le passant est à terre.
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Après avoir pratiqué à plusieurs reprises un massage cardio-vasculaire, ils n'ont pu que déclarer le décès de D M, 49 ans.
« Un bon gamin »
Originaire de Jeantes, dans l'Aisne, D M avait déménagé de Bourg-Fidèle il y a six mois pour venir s'installer rue de Nevers à Rocroi. Bûcheron depuis l'âge de 14 ans, il travaillait depuis 1995 à la Sotransbois, entreprise d'exploitation forestière installée à Gué-d'Hossus.

Connu pour être plutôt réservé et solitaire, il traversait, semble-t-il, une période de grande détresse, évoquant même des idées suicidaires. « Depuis deux jours, il ne parlait que de ça », confie sa sœur. Célibataire, sans enfants, son décès plonge sa famille, sa maman, ses trois frères et sa sœur dans une profonde tristesse. « Même s'il lui arrivait d'être réservé, un enfant reste un enfant », déclare sa maman.
..................il lui arrivait d'errer sur la voie publique, parfois. Est-ce ce qui s'est passé hier soir ? Personne ne peut le dire pour le moment.

Les circonstances de ce drame demandent encore à être éclaircies. Une enquête judiciaire a été ouverte. Une autopsie devrait être pratiquée dans les prochains jours. Plusieurs hypothèses sont envisagées par les services de la gendarmerie. Aucune n'est pour l'instant écartée même si pour les enquêteurs, il ne s'agit évidemment pas d'un accident mortel de la route ordinaire.

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effectivement probablement pas un accident de la route ordinaire... mais qui d'après la description pourrait s'expliquer par la situation de la personne en période critique septennale des 49 ans et une forte dépression septennale.
jour critique émotionnel ? (18H est un moment "pic de pulsions" : c'est l'entrée dans la journée chronobiologique suivante, ici celle du jeudi si j'ai bien vu...)