« Les dépistages en matière de stupéfiants et d’alcoolémie se sont avérés
négatifs »
si l'on regarde la situation d'une personne du point de vue de la consommation de stupéfiants ou d'alcool, il serait intéressant d'observer aussi la situation de ses rythmes psychiques car leurs éléments critiques (pouvant être à l'origine d'une dépression, de pulsions et d'une désinhibition (1)) jouent souvent un rôle lors de "comportements extraordinaires"...
les rythmes et cycles dont je parle restent cependant inconnus à ce jour et il faudra encore les découvrir...
(1) les effets de la désinhibition d'un jour ou d'une période critique peuvent être analogues à ceux produits par la consommation d'alcool ; je les appelle parfois pour cela "l'ivresse" du jour ou de la période critique...
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