jeudi 13 juin 2024

jour critique émotionnel

simple : il est notre jour "à risque" de tout un tas de choses (blues et dépression, disputes, colère, disparitions, et plus grave, notre "jour Hyde" lors de passages à l'acte dramatiques et criminels, "disjonction" et coups de folie, suicides, etc... etc...)
et c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, ou le jour à côté...

cela s'explique par un rythme psychique et émotionnel, rythme de l'humeur et des émotions, qui est à pulsations d'un jour chaque septième jour : à partir du jour de naissance nous aurons un "jour critique émotionnel" chaque septième jour de notre vie ; la semaine étant de sept jours, cela a pour résultat mathématique que notre jour critique émotionnel hebdomadaire tombera toujours sur le jour de la semaine où nous sommes nés. (1)
le jour critique émotionnel démarre déjà la veille au soir (18h semble être le moment de l'entrée dans la journée chronobiologique du lendemain) : un natif du dimanche aura par exemple son jour critique émotionnel toujours du samedi soir au dimanche soir. il est important d'en tenir compte.

les pulsions et les tensions d'un jour critique émotionnel sont variables et fonction aussi de notre état physique, psychique, de notre situation et de nos préoccupations : on peut ne rien ressentir ou remarquer, mais souvent on est dans un état "différent", plutôt mélancolique. les personnes fragiles ou perturbées seront à ce moment-là particulièrement fragilisées. (2)

il est donc simple de se rappeler une fois pour toutes que notre jour "particulier" ou "jour à risque" ou encore "jour sensible" est le jour de la semaine où nous sommes nés. cela permet de prévenir des ennuis et même des drames : il faut que ce jour là nous soyons toujours particulièrement sur nos gardes, notamment en cas de difficulté, tensions et dispute, que nous sachions que certains types de pulsions (nous sommes poussés à agir, à nous emporter, alors qu'en même temps nous sommes désinhibés et nos freins (notre raison) sont "relâchés" - sans toutefois que nous perdions nos facultés de gérer et décider...) ce qui risque de nous faire agir de façon excessive parfois dans le mauvais sens... : la plupart des faits divers graves et moins graves, de l'actualité, sont liés aux effets du jour critique émotionnel de leurs auteurs... (3)

il serait bien sûr nécessaire que la science, la médecine, la psychiatrie, (qui ne connaissent pas encore son existence) s'intéressent à la question et étudient de près ce mécanisme qui permet de comprendre et d'expliquer une grande partie de nos problèmes et comportements, mais qui permettrait surtout aussi de les prévenir...





(1) il peut exceptionnellement décaler d'un jour selon que l'on est né très tôt ou très tard, près de 0 Heure. cela reste cependant à étudier.

(2) il s'agit en réalité d'un rythme de 28 jours à pulsations chaque septième jour donc hebdomadaires : ces pulsations sont les jours critiques émotionnels E1 (premier jour du cycle), E8, E15, E22 respectivement 8ème, 15ème, 22ème jour du cycle. le cycle terminé il recommence avec un jour E1, etc... : il est important aussi de différencier les jours critiques émotionnels car ils sont d'intensité différente. en particulier le premier jour du cycle (E1) est le plus important, le plus "grave" parce que plus intense. calculateur : http://biorythm.online.fr/w/ 

(3) des "éléments pulsions" d'autres rythmes et cycles psychiques sont souvent associés (p.ex. épisode critique semestriel et/ou période critique septennale, épisode critique P17/P19) cumulant ainsi les effets dans un épisode triple critique : cela est généralement nécessaire pour qu'un drame grave puisse arriver.

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