Devant pareil dossier, les débats judiciaires se déroulent généralement à
l’abri de toute oreille indiscrète. Mais hier, aucun huis clos n’a été
demandé par la victime partie civile. C’est donc dans une salle
d’audience ouverte au public (et à la presse) que Manuel*, 36 ans, est
jugé pour des faits supposés de viols incestueux sur sa belle-fille,
Marine*, commis entre 2016 et 2021, à Fleurance, Sainte-Radegonde et
Lectoure.https://www.ladepeche.fr/2024/05/24/tu-ne-dis-rien-sinon-je-vais-aller-en-prison-un-macon-juge-par-la-cour-criminelle-du-gers-pour-des-viols-incestueux-sur-sa-belle-fille-11968811.php
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des faits qui on apparemment débuté avec la période critique septennale des 28 ans...
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