« Il a vécu un calvaire » :
Une femme de 59 ans a été condamnée à six mois de prison avec sursis pour des violences répétées pendant des années contre son mari. Elle a aussi interdiction de paraître pendant trois ans au domicile du couple qui a eu plusieurs enfants. ...
« Si j’ai déposé plainte c’est pour être protégé et protéger mes enfants », explique ce père de famille qui a décidé de rompre la spirale de la violence qu’il a subie pendant près de trente ans. En février 2022, il est allé voir la gendarmerie pour dénoncer des insultes, des menaces, des claques, des coups de pied et de poing. Le premier c’était en revenant de vacances, en 2013, parce qu’il s’était trompé de route.
Des tentatives d’étranglement aussi, notamment en 2019, pendant son sommeil. En 2016 également, où des traces de strangulation sont constatées par un médecin. À plusieurs reprises, elle aurait menacé de le tuer, (...)https://www.ouest-france.fr/societe/justice/il-a-vecu-un-calvaire-une-mere-de-famille-condamnee-pour-des-violences-contre-son-mari-5b66c600-6211-11ee-927f-c86d7642faa1
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les problèmes de couples et leurs éventuelles violences ont souvent un lien avec les jours et épisodes critiques des rythmes psychiques des personnes : ils ont pour propriété d'exacerber les tensions et réactions... il y a trente ans c'était la période critique septennale des 28 ans, alors que 2013 était la période critique septennale des 49 ans et 2019 la période critique septennale des 56 ans) (rythmes semestriels et courts à voir, le jour critique émotionnel étant souvent présent en cas de problème)
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