suicide des enfants

Suicide des enfants : « Ce type de crise n’est pas une fatalité, de vraies réponses existent » ... Ces drames, qui ne peuvent uniquement s’expliquer par le harcèlement scolaire, sont complexes et doivent mieux être pris en charge par le gouvernement, constatent, dans une tribune au « Monde », l’ancienne secrétaire d’Etat à la jeunesse Jeannette Bougrab et le neuropsychiatre Boris Cyrulnik. 

Lindsay, Lucas et Marion avaient 13 ans, Chanel 12 ans, Ambre 11 ans et Thibault tout juste 10 ans. (...)

https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/08/02/suicide-des-enfants-ce-type-de-crise-n-est-pas-une-fatalite-de-vraies-reponses-existent_6184154_3232.html  

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effectivement pas une fatalité si l'on s'intéresse aux rythmes psychiques de l'humain : TOUS se sont suicidés en jour ou épisode critique de leur rythme psychique... en quelque sorte suicidés un "jour suicide" (c'est surtout le jour critique émotionnel - quatre fois E8 - que l'on retrouve, sauf dans le cas de Ambre mais i1 en est un équivalent et jour critique fort du cerveau et de la pensée)

Lindsay (jour critique physique et émotionnel P19 en épisode critique semestriel en période critique septennale des 14 ans)

Lucas (lendemain du jour critique émotionnel E8 - veille du jour critique intellectuel i26 en épisode critique semestriel en période critique septennale des 14 ans)

Marion (jour critique émotionnel E8 en épisode critique semestriel en période critique septennale des 14 ans)

Chanel (veille du jour critique émotionnel E8 en épisode critique semestriel)

Ambre (veille du jour critique intellectuel i1)

Thibault (jour critique émotionnel E8 dans un épisode triple critique)