Procès : un homme accusé d’avoir tué sa conjointe le jour où elle lui annonçait leur séparation
Un homme de 54 ans est jugé ce jeudi devant les assises du Puy-de-Dôme pour le meurtre de son épouse en 2018. Il n’avait pas supporté la rupture, premier élément déclencheur des féminicides.
Claire, 49 ans, a été mortellement poignardée le 26 décembre 2018, à son domicile situé à Durtol (Puy-de-Dôme). ...Le 26 décembre 2018, cet employé des espaces vert à la mairie de Clermont-Ferrand a poignardé cette professeure de 49 ans dans leur maison à Durtol (Puy-de-Dôme). Claire venait de lui annoncer leur séparation, issue qui semblait inexorable dans ce couple formé il y a 32 ans.
(...)Dans cette affaire, nulle trace de violences conjugales ou psychologiques. Les relations entre ces époux se sont lentement dégradées après le burn-out de Xavier, hospitalisé trois mois en psychiatrie, en 2017. (...)
« Comment j’ai pu faire ça, c’est pas possible », lâche, après son crime, le père à sa cadette qui a alerté les secours. (...)« Physiquement, c’est moi, dans ma tête c’est pas moi », rapportera-t-il. (...) la fille cadette a témoigné que sa mère pouvait se montrer « extrêmement humiliante » envers son père. (...)
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comme le plus souvent lors d'un drame grave, les rythmes psychiques "battent la mesure" : les séparations ont souvent lieu en période critique septennale (ici celle des 49 ans) suite aux changements psychiques qui ont alors tendance à s'opérer, pouvant aller jusqu'au changement de personnalité de sorte que l'on peut remettre en cause toute la situation - et les burn-out aussi, ont tendance à avoir lieu en période critique septennales un peu pour les mêmes raisons mécaniques (ici la même période critique septennale des 49 ans de l'auteur du meurtre)
(rythmes courts des deux personnes à voir le jour du drame pour les éléments déclencheurs)
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