Innocent accusé à tort ou habile mystificateur ? Au cœur d’une vertigineuse enquête sur une série d’empoisonnements présumés dans deux cliniques de Besançon (Doubs) entre 2008 et 2017, le « cas » du Dr Frédéric Péchier divise psychologues et psychiatres.
Anesthésiste brillant, cet homme de 49 ans est soupçonné d’avoir secrètement introduit des produits dangereux dans les poches d’injection de vingt-quatre personnes se faisant opérer, provoquant ainsi de graves malaises cardiaques. Neuf d’entre elles en sont mortes.
Une affaire d’autant plus insensée qu’il est suspecté d’avoir agi pour nuire à ses collègues : en intoxiquant leurs patients, il les aurait mis dans l’embarras tout en se donnant le beau rôle, surgissant alors d’une salle contiguë pour « sauver » les malades. (...)Daniel Zagury s’étonne surtout de ce que ni un premier collège d’experts psychiatres, ni un autre psychologue, ni lui-même n’ont repéré chez l’anesthésiste de traits de personnalité susceptibles d’expliquer des faits aussi hors norme. (...) « Le seul événement qui ressort de sa biographie, c’est un burn-out en 2014… (...)
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il faut regarder la situation des rythmes psychiques lors des 24 cas suspectés : les passages à l'acte ont tendance à avoir lieu en jours pulsions et l'on devrait trouver alors une analogie dans les situations... (on peut déjà remarquer une sensibilité aux périodes critiques septennales : "démarrage" en période critique septennale des 35 ans (2008) et burn-out en période critique septennale suivante des 42 ans (2014)(actuellement est celle des 49 ans)
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