Vendredi 8 janvier, la gendarmerie nationale a déploré la mort de deux de ses membres, décédés des suites de leur suicide. (...) À Lyon, l'Adjudante-Chef de la Brigade de Prévention de la Délinquance Juvénile (BPDJ) Marie-Dominique Hoche, divorcée et âgée de 53 ans, s'est donné la mort à la caserne du Général Guy-Delfosse, laissant derrière elle un enfant, rapporte au Figaro la Direction générale de la gendarmerie nationale.(...)la sous-officier aurait eu «des problèmes de santé» et se trouvait en arrêt de travail lors du drame.
À Toulouse, vers 17 heures le même jour, le Major Patrick Auguet, adjoint au peloton motorisé de la ville, âgé de 56 ans, marié et père de deux enfants, s'est également donné la mort au sein de sa caserne. Il avait été détaché du peloton motorisé pour des raisons de santé et ne servait plus sur le terrain, indique la gendarmerie nationale au Figaro. Ses motivations sont pour l'instant floues. Il devait prendre sa retraite à la fin de l'année.
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(rythmes et cycles des deux personnes à voir : pour la dame, liens éventuels à voir avec la période critique septennale passée des 49 ans alors que le second suicide est un suicide septennal en période critique des 56 ans.)
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