Épinal : des violences habituelles sur sa conjointe l’envoient en prison
Jugé pour avoir violenté sa compagne de mars 2016 à septembre 2017 à Remiremont et à Gérardmer, un homme de 31 ans aujourd'hui, a été condamné à trois ans de prison dont une année assorti d'un sursis probatoire. (...)
==========
en raison de l'effet de pulsion et de désinhibition, de dépression aussi, présent dans ces moments-là, les violences conjugales ont souvent un lien avec la situation en jour ou période critique des rythmes psychiques de l'un ou l'autre des partenaires du couple : ici apparemment période critique septennale des 28 ans (rythmes courts à voir - mars/septembre pourrait être rythme semestriel)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire