jeudi 16 janvier 2020

violences

Il la pousse, elle tombe dans l’escalier Un Haut-Saônois de 28 ans devait répondre de violences conjugales devant le tribunal correctionnel de Vesoul, mardi matin. Deux séries de faits lui étaient reprochées, à quelques mois d’intervalles, en 2019, dans un contexte de séparation. (...)Aujourd’hui, leur relation est apaisée. Mais en 2019, alors en pleine séparation, le compagnon a montré un autre visage, et s’est montré violent à deux reprises. ... Ainsi, en mars, alors que la victime décide de se séparer du prévenu, une dispute éclate au domicile conjugal. Elle se solde par une chute de la victime, dans l’escalier, une cheville foulée et un hématome énorme dans le dos. À la barre, l’ex compagnon, un homme de 28 ans, reconnaît les faits (...) quelques mois plus tard, en septembre, invité à récupérer ses affaires dans l’ancien domicile conjugal, il se met à nouveau en colère après son ex.... là encore en poussant son ex, contre le mur cette fois. Dans le choc, la tête de celle-ci a heurté l’encadrement d’un meuble. Bilan : 5 jours d’ITT et un certificat médical qui fait valoir plusieurs hématomes aux bras, ainsi qu’un stress post-traumatique. « J’ai pété un plomb » « On avait déjà eu des disputes, mais jamais elles n’avaient pris une telle ampleur, jamais il n’en était venu aux mains », dit la victime, à la barre.(...)
https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2020/01/15/il-la-pousse-elle-tombe-dans-l-escalier
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les violences sont généralement fonction des épisode critiques de nos rythmes psychiques. cela peut se vérifier et ces épisodes étant connus à l'avance, doit permettre de parer (voir si mars/septembre sont épisode critique semestriels, et voir aussi jour critique émotionnel : et enfin nous sommes aussi en période critique septennale des 28 ans...

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