samedi 14 avril 2018

viols

Il viole sa fille et sa femme  À 57 ans, c'est la seconde fois que Jean-Marc E. se retrouve devant la cour d'assises et toujours pour viols. Si en 1989, il avait violé une jeune femme, cette fois-ci ce sont des viols commis non seulement sur sa propre compagne, mais aussi sur sa propre fille entre ses 7 et 11 ans. Détruite. C'est une famille détruite qui se présente dans la salle d'audience de la cour d'assises. D'un côté sur le banc des victimes, une femme d'un certain âge étreint sa fille, à peine majeure. (...)En avril 2016, les services sociaux d'un collège dionysien préviennent le parquet de la détresse d'une jeune fille, qui affirme avoir subi de nombreux viols de la part de son propre père. "Nous avons été très rapidement saisis de ce dossier", explique la directrice d'enquête, policière à la brigade des mineurs de la sûreté urbaine départementale du commissariat Malartic. "Elle nous a raconté que les premiers faits se sont déroulés à proximité de la zone aéroportuaire à Sainte-Marie alors qu'elle n'avait que 5 ans." Deux jours plus tard, son père est interpellé à son domicile. Sur place, les enquêteurs vont découvrir des seringues intra-caverneuses pour les personnes souffrant de difficultés érectiles. Placé en garde à vue, Jean-Marc E. va très vite reconnaître les faits, mais en les minimisant.(...)"Lorsque j'avais des envies et que ma femme ne voulait pas, je prenais la petite."(...)Elle va aussi révéler des violences qu'elle subit depuis qu'il est sorti de prison en 1996. Mais très rapidement, elle tempère ses dénonciations. "Au départ, il n'était pas comme cela. Nous sommes mariés pour le meilleur et pour le pire, soutient-elle. J'allais le voir en prison. Mais nous n'avons jamais parlé de cette affaire", admet-elle en affirmant, "maintenant cela suffit. Avec tout cela, je vais demander le divorce." Entendus eux aussi, les deux fils ne peuvent que constater les faits et surtout les dégâts sur leur famille. Seul l'aîné admet qu'il a pu constater les violences commises sur sa mère, tandis que le cadet s'interroge sur le comportement de son père. Une interrogation qui intéresse aussi la cour. Examiné par les experts lors de l'instruction, Jean Marc E. est décrit comme une personne normale, un peu frustre mais ne présentant aucune pathologie particulière. (...)
https://www.clicanoo.re/Faits-Divers/Article/2018/04/14/Il-viole-sa-fille-et-sa-femme_525067
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pour répondre aux interrogations il faut toujours, entre autres, s'intéresser aux rythmes et cycles psychiques humains et à leurs pulsions. effectivement il est possible que "au départ il n'était pas comme çà" sauf qu'arrivent ensuite les périodes critiques septennales successives :  sauf erreur, l'âge de la fille n'est pas précisé hormis "à peine majeure", les faits ont apparemment démarré avec la période critique septennale des 42 ans. même lien avec les autres données citées : viol de 1989 est la période critique septennale des 28 ans et 1996 est la période critique septennale des 35 ans...

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