"Elle s’excuse, elle ne se souvient pas. Ni du moment où elle est tombée, ni des jours d’avant et d’après. « Mes collègues m’ont raconté que j’ai soudain arrêté de parler et que je me suis effondrée ». Laura*, rescapée aux yeux clairs, livre, avec pudeur, ce qu’elle a vécu, il y a près de quinze ans.
Ce 4 février 2004, à son bureau, cette secrétaire de 34 ans est victime d’une mort subite, appelée aussi arrêt cardiaque. (...)Comment expliquer ces accélérations subites dans la poitrine qui brisent la vie d’hommes et de femmes de 10 à 40 ans ? « On n’en sait rien, ils n’ont pas un problème au niveau des tissus mais une maladie électrique dont on connaît mal la cause »,(...)Les examens ne relèvent aucune anomalie
« On m’a dit que j’avais peut-être un ange gardien », glisse-t-elle, un doux sourire aux lèvres.(...)
En 2013, la jeune femme s’effondre à nouveau, un matin. Son défibrillateur se déclenche, la ramène à la vie. « Je me suis réveillée par terre, seule chez moi ». Son regard s’illumine. « Cette fois-ci encore, ce n’était pas mon heure ».
http://www.leparisien.fr/societe/mort-subite-de-l-adulte-laura-deux-fois-ressuscitee-04-04-2018-7646256.php
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(les incidents cardiaque ont tendance à arriver le jour critique physique, qui rythme (chaque sixième jour) l'énergie physique (l'électricité :-) de l'organisme... si 34 ans en 2004 c'est période critique septennale des 35 ans alors que 2013 est la période critique septennale suivante des 42 ans - rythmes courts à voir le jour des deux incidents)(on n'a pas encore remarqué non plus qu'un grand nombre de maladies font irruption et parfois aussi s'en vont... lors de nos "portails septennaux")
https://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2018/02/mort-subite-du-nourrisson.html
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