Famille vaudoise tuée: un nouvel élément troublant
Selon un rapport d'autopsie, la Vaudoise qui avait organisé avec son mari le meurtre-suicide de sa famille en novembre 2017 n'était pas malade, contrairement à ce que laissaient penser ses messages. (...) L'enquête se poursuit concernant la famille américano-suisse retrouvée morte chez elle dans l'Utah, en novembre 2017. Dans les mois qui ont suivi le drame, les enquêteurs avaient pu déterminer que le couple, qui avait récemment quitté la Suisse avec deux enfants, avait planifié conjointement le meurtre-suicide de la famille. Le père, un Américain de 45 ans, a ouvert le feu sur les trois membres de sa famille: il a abattu sa femme de 42 ans, sa belle-fille de 16 ans et son fils de 5 ans, ainsi que leur chien. Il a ensuite retourné l'arme contre lui.
En début d'année 2018, on apprenait que la police de l'Utah avait mis la main sur des messages troublants entre les époux. La mère de famille avait notamment évoqué avec son mari «le bon moment pour partir» pour qu'ils soient ensemble et qu'ils «s'aiment pour l'éternité». La Vaudoise avait également envoyé à son partenaire des liens sur des sites traitant du cancer des ovaires, laissant alors penser que la quadragénaire était gravement malade. Un élément qui aurait pu expliquer la terrible décision prise par le couple.
Des somnifères, une fondue, un UNO
Or, selon un rapport de police rendu public mercredi dernier à Mapleton et repris par la chaîne locale KMVT, l'autopsie pratiquée sur le corps de la mère de famille a révélé que sa santé était bonne au moment de son décès. Aucune trace de cancer. La police ignore pour quelles raisons la Vaudoise a envoyé ces liens à son époux. «Nous aimerions avoir la réponse à cette question», a déclaré John Jackson, chef de la police de Mapleton.
Les enquêteurs pensent que le couple a placé des somnifères dans les chocolats chauds que les enfants et leur mère ont bu après avoir mangé une fondue et joué au UNO. Le père de famille s'est ensuite servi d'un pistolet pour abattre ses proches avant de mettre fin à ses jours. (...)
http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Famille-vaudoise-tuee--la-mere-n-avait-pas-le-cancer-17277306
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réponse peut-être dans la situation en période critique septennale des 42 ans de l'épouse : en période septennale on peut sombrer dans une forte dépression septennale, on peut tomber malade, mais aussi se croire gravement malade ou s'imaginer qu'on l'est... et on peut aussi devenir suicidaire... (rythmes courts du couple à voir et situation de l'époux depuis sa propre période critique septennale des 42 ans)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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