secoué

Tingry « Si j’ai secoué mon enfant, c’était pour le réveiller parce qu’il était inconscient » Une mère de famille de Tingry a comparu mardi devant le tribunal correctionnel de Boulogne. Elle devait répondre de fait de violences sur son fils âgé de dix mois. Des faits qu’elle n’a pas reconnus formellement. Elle a été condamnée à deux ans de prison avec sursis. Il est encore trop tôt pour savoir si le bébé, âgé de dix mois au moment des faits, souffrira de séquelles.  Elle est en larmes devant les trois juges qui lui font face. Une mère de famille, âgée de 30 ans, domiciliée à Tingry, qui jusque-là n’avait jamais fait parler d’elle. On l’accuse d’avoir violemment secoué son fils, âgé de 10 mois. Il faudra attendre quelques années pour savoir s’il souffrira de séquelles. Le 19 mars 2015, Benjamin (*) est installé sur un transat, posé sur la table du salon. Sa maman est dans la salle de bain quand elle entend un grand bruit. « Le transat était tombé de la table, explique-t-elle. Mon fils était à terre, inconscient. » Elle raconte s’être précipitée et, elle l’admet, l’avoir saisi par les aisselles et secoué pendant cinq à dix secondes « parce qu’il avait les yeux fermés et qu’il ne réagissait plus ». Après cela, elle se précipite chez sa sœur qui habite juste à côté. Les secours sont prévenus. Une blessure typique du syndrome du bébé secoué (...)
http://www.lavoixdunord.fr/299184/article/2018-01-17/si-j-ai-secoue-mon-enfant-c-etait-pour-le-reveiller-parce-qu-il-etait
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(période critique septennale des 28 ans - rythmes courts mère/bébé à voir le 19 mars 2015)