Des photos de nu sur le net à son insu
Un homme de 41 ans était jugé hier à Strasbourg pour avoir diffusé des photos dénudées de sa femme sur un site internet. Quant à la mère de famille qui a réagi violemment, elle comparaissait devant les juges pour des coups portés à son mari.
À la fois victime et prévenue. Une situation peu banale pour cette mère de famille de 41 ans, jugée hier avec son mari devant le tribunal correctionnel de Strasbourg. Le 7 septembre 2014, au domicile familial, rue de l’Industrie à Illkirch-Graffenstaden, elle découvre sur la tablette numérique de son mari des photos d’elle dénudée, prises dans la sphère privée. Ces clichés ont été mis en ligne sur un forum à caractère pornographique. Bien que son visage soit flouté, elle s’est reconnue formellement sur les photos. Sa réaction est violente. Elle veut demander des explications à son mari qui s’apprête à prendre la route. Elle le griffe au nez et lui donne plusieurs coups. « Je voulais qu’il s’excuse pour ce qu’il avait fait. J’étais dans une grande souffrance psychologique, et je voulais qu’il comprenne qu’il m’a brisé la vie », lâche-t-elle en pleurs à la barre.
« C’est extrêmement grave pour son intimité »
À ses côtés, l’homme de 36 ans reste impassible, incapable de donner des explications : « C’était, heu… c’était… je ne sais pas comment expliquer ça. C’était du virtuel pour moi, une sorte de jeu. »
Il est tout de suite repris par le président du tribunal Jean-Baptiste Poli : « C’est quand même extrêmement grave pour son intimité à elle, d’autant plus grave qu’elle est la mère de vos trois enfants. »
« C’était une phase où je ne me sentais pas forcément bien », justifie le prévenu. Le procureur Laurent Guy parle « d’un discours très pauvre » de la part du mis en cause. Selon lui, « la notion de respect de la personne dans son être est totalement niée par la publication de ces photos. Ces images ne sont pas virtuelles, elles correspondent à une réalité physique et morale. »
Me Laura Mourey assure pourtant que son client n’avait pas conscience de cette réalité. Elle met en avant les effets pervers de Facebook « avec la banalisation de la publication des photos sans autorisation ».
Selon elle, le père de famille « a voulu faire quelque chose pour pimenter son quotidien, c’était une sorte de sexualité virtuelle ».
Ce dernier a été condamné à quatre mois de prison avec sursis, et doit payer une somme de 1 000 euros à sa compagne pour le préjudice moral. Cette dernière écope de 500 euros d’amende avec sursis pour les violences et elle doit verser 200 euros de dommages et intérêts à son mari, avec qui elle est en procédure de divorce.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/11/10/des-photos-de-nu-sur-le-net-a-son-insu
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les âges des personnes ne semblent pas clairs car l'homme a tantôt 41 ou 36 ans... en tous cas les deux personnes probablement dans ou à côté de leur période critique septennale (notamment 35 ans) ce qui peut parfois expliquer la survenance de problèmes et certains comportements...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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