vendredi 6 novembre 2015

meurtre

Omar l'a-t-il vrai­ment tuée?
A ce jour, l'affaire Omar Raddad demeure l'un des plus grands mystères judi­ciaires français des trente dernières années. Après plus de deux décen­nies d'une enquête qui piétine, un nouvel élément inat­tendu a fait surface cette semaine. Omar Raddad y croyait-il encore? Vingt-quatre ans après avoir été condamné pour le meurtre de son employeuse, Ghis­laine Marchal, et n'avoir cessé de clamer son inno­cence, le jardi­nier maro­cain découvre une lueur d'espoir.
Deux nouvelles traces ADN exploi­tables ont en effet été décou­vertes sur le lieu du crime par les enquê­teurs, a annoncé le parquet de Nice à l'AFP. Ces traces vont être exploi­tées dans les mois à venir et pour­raient enfin révé­ler l'iden­tité du meur­trier de la riche veuve. Ces décou­vertes ont été provoquées par une demande de l'avocate de M. Raddad. Me Sylvie Noacho­vitch a en effet poussé la justice à effec­tuer de nouveaux prélè­ve­ments sur la scène du crime.
« Il y a notam­ment un même ADN relevé sur une porte et un chevron qui est mélangé au sang de la victime, indique-t-elle sur l'antenne de France Info. Il n'y a donc aucune raison de douter qu'il s'agit de celui de l'assas­sin." La police est désor­mais certaine de tirer des infor­ma­tions de ces prélè­ve­ments. Elle ne sait cepen­dant pas encore s'ils appar­tiennent à l'auteur du meurtre ou à l'un des nombreux enquê­teurs char­gés de l'affaire. »Il convient de rester extrê­me­ment prudent quant aux iden­ti­tés géné­tiques recueillies sur ces traces", a indiqué le parquet de Nice au quoti­dien régio­nal Nice-Matin. Les traces retrou­vées seront donc compa­rées au Fichier natio­nal auto­ma­tisé des empreintes géné­tiques (Fnaeg).
L'avocate d'Omar Raddad reste donc convain­cue que la décou­verte de ces deux traces ADN peut enfin débloquer l'affaire. "Cette nouvelle étape est fonda­men­tale, explique l'avocate sur l'antenne de France Info. Si cet ADN ne se trouve pas dans le Fnaeg, nous dispo­sons de moyens pour effec­tuer d'autres prélè­ve­ments sur des prota­go­nistes de l'affaire. Je veux un nom. Celui de l'assas­sin. Et la Cour de cassa­tion n'aura pas d'autre choix que de deman­der la révi­sion du procès".
Pour rappel, Omar Raddad avait été condamné en 1991 à dix-huit années de réclu­sion crimi­nelle pour le meurtre par coups de couteaux de sa patronne Ghis­laine Marchal, âgée de 65 ans. Un crime que le jardi­nier maro­cain n'a jamais cessé de nier. Des inscrip­tions tracées avec le sang de la victime sur l'une des portes de la scène de crime avaient rapi­de­ment aiguillé les enquê­teurs vers monsieur Raddad. Il était effec­ti­ve­ment écrit « Omar m'a tuer ». Cette preuve appa­rem­ment acca­blante a rapi­de­ment déclen­ché des inter­ro­ga­tions. L'énorme faute d'ortho­graphe présente dans la phrase a en effet laissé penser à une partie des acteurs de l'enquête que la très éduquée Ghis­laine Marchal n'avait jamais été l'auteure de cette phrase. Omar Raddad a passé sept années de sa vie derrières des barreaux. Il a fina­le­ment été libéré en 1998, suite à une grâce partielle accor­dée par le président de la répu­blique de l'époque, Jacques Chirac. Aujourd'hui encore, la justice française consi­dère Omar Raddad comme l'unique coupable de ce meurtre glaçant. Une situa­tion peut-être bien­tôt confir­mée ou infir­mée par les résul­tats ADN.
http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/omar_l_a-t-il_vraiment_tuee_353385

==============================

Omar Raddad est né 1er juillet 1962. le meurtre a eu lieu le 23 juin 1991.

voici alors la situation de l'intéressé :
juin 1991 (1/07/1962)
Me 19 P(1)
Je 20
Ve 21
Sa 22
Di 23 E(1)
Lu 24 P(6) I(26)
Ma 25 P(7)
Me 26
Je 27
Ve 28
Sa 29
Di 30 P(12) E(8)

d'après la situation cyclique, le "coupable idéal", en quelque sorte, avec le jour critique émotionnel E1 le jour du drame (c'est le jour critique émotionnel le plus fort des quatre du cycle) de ce natif du dimanche, dans un épisode triple critique fort, à une semaine de son anniversaire 29 donc en épisode critique semestriel et en période critique septennale des 28 ans...
il faut cependant tenir compte qu'une situation cyclique n'est pas une preuve et nous avons régulièrement des éléments critiques qui défilent...  aussi que les coïncidences existent, même si ici il y en a plusieurs à la fois...

Aucun commentaire: