Schizophrène meurtrier : un médecin et l'hôpital renvoyés en correctionnelle
La Cour d'appel de Grenoble a ordonné le renvoi en correctionnelle de l'hôpital psychiatrique et d'un médecin, six ans après le meurtre d'un étudiant grenoblois de 26 ans par un schizophrène échappé de l'hôpital.
La famille Meunier a obtenu gain de cause. Dans un arrêt rendu ce mercredi à huis clos, la cour d'appel de Grenoble a finalement décidé le renvoi en correctionnelle pour homicide involontaire de l'hôpital et d'un médecin en charge du schizophrène meurtrier à l'époque des faits.
Le schizophrène meurtrier c'est Jean-Pierre Guillaud et la victime, Luc Meunier.
Le 12 novembre 2008, déjà auteur de plusieurs agressions à l'arme blanche, Jean-Pierre Guillaud a mortellement poignardé Luc Meunier, un étudiant de 26 ans, après s'être échappé de l'hôpital où il était interné. Depuis le 31 mai 2006, Jean-Pierre Guillaud était hospitalisé au centre hospitalier de Saint-Egrève pour avoir poignardé sans raison le pensionnaire d'une maison de retraite de Miribel-les-Echelles.
"Il n'avait aucune conscience de ce qu'il venait de faire"
Déclaré irresponsable pénalement, l'homme en proie à des délires mystiques comme le rapportait à l'époque des faits le Journal du dimanche, a bénéficié d'un non-lieu en septembre 2011. En revanche, il n'a jamais été placé en unité pour malades difficiles (UMD) et il bénéficiait de deux permissions hebdomadaires pour « le réhabituer à vivre dans la cité », comme le déclarait Michel Gellion, le directeur de l'hôpital. « Il a dit qu'il n'avait aucune conscience de ce qu'il venait de faire et qu'il a agressé sa victime au hasard, sans aucune explication si ce n'est une voix qui le commandait", avait expliqué Jean Philippe, le procureur de Grenoble. Dans les jours précédents la mort de Luc Meunier, avait acheté deux couteaux chez un quincaillier de Grenoble.
Une information judiciaire avait été ouverte pour déterminer les éventuelles responsabilités des médecins, à la suite d'une plainte contre X par la famille Meunier. Le juge d'instruction en charge de l'affaire avait rendu un non-lieu le 9 avril 2013 pour l'ensemble des membres de l'équipe médicale du centre hospitalier de Saint-Egrève dans l'Isère.
http://lci.tf1.fr/france/justice/schizophrene-meurtrier-correctionnelle-pour-l-hopital-et-le-8521274.html
====================
un drame de la période critique septennale des 56 ans... et peut-être du jour critique émotionnel (à vérifier) les deux dates des agressions citées donnant le même jour d'un cycle émotionnel, un mercredi...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
pages
- Accueil
- bonjour !
- en résumé
- apprenons à utiliser
- analyser
- effets
- modification de nos paramètres
- années de vie
- jours critiques des rythmes courts
- épisodes critiques semestriels
- périodes critiques des cycles longs
- pulsions/désinhibition
- rythmes et cycles
- cycles de l'humeur
- dépression
- prévention des drames
- prévention du suicide
- suicide sur RV
- prévention des accidents
- biorythmes
- jour critique émotionnel
- glossaire
- ce qu'il est utile de savoir avant d'être mal...
- rythmes courts à voir
- éléments moteurs
- éveil
- en pratique "petit guide"
- le secret des faits divers
- pulsations du vivant
- sauts évolutifs
- violences et drames conjugaux
- disparitions
- questionnements
- similitudes
- pédophilie septennale
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire