Infanticide à Stoumont: la policière a mis fin à ses jours
Incarcérée à la prison de Lantin, Sandra Koch a mis fin à ses jours jeudi.
WAREMME - Sandra Koch, la policière waremmienne, s’est donné la mort.
Début novembre 2011, cette Waremmienne de 38 ans avait tué son bébé et avait blessé grièvement son fils de 4 ans dans un bois de Stoumont. Elle avait ensuite tenté de s’immoler par le feu, sans succès.
Placée sous mandat d’arrêt, Sandra Koch avait fait l’objet de deux rapports d’experts. Ceux-ci avaient estimé que la policière avait agi, au moment des faits, dans un état grave de déséquilibre mental qui la rendait incapable de contrôler ses actes.
En août dernier, la chambre du conseil de Verviers s’est fiée à ces deux rapports et a estimé que Sandra Koch était effectivement irresponsable de ses actes au moment des faits. La Chambre du conseil avait dès lors décidé de l’interner.
En septembre, la Commission de défense sociale devait décider dans quel établissement psychiatrique l’ex-policière allait être enfermée et soignée. En attendant, elle était incarcérée à la prison de Lantin.
L'avocat de la policière dénonce la décision de la commission de défense sociale
Me Adrien Masset, qui défend les intérêts de Sandra K. (Koch) dénonce la décision prise en septembre dernier par la commission de défense sociale. Celle-ci interdisait à sa cliente "d'être soignée dans un établissement proche de son domicile vu sa localisation et la gravité des faits pour lesquels elle avait été jugée irresponsable".
L'avocat rappelle que l'avis psychiatrique donné à cette commission faisait état dans le chef de Sandra K. "d'un réel risque de décompensation dépressive perceptible". C'est pourquoi il apparaissait fondamental qu'elle puisse bénéficier rapidement de soins adaptés, tant physiques que psychiatriques en milieu spécialisé.
Un placement était prévu dans une maison de soins psychiatrique à Waremme "mais la commission a porté son choix sur un établissement montois pour lequel elle était inscrite en 9e position. Or, fin 2012, elle se serait retrouvée au mieux 6e", ajoute Me Masset.
L'avocat a multiplié les démarches judiciaires pour faire ordonner le transfert vers Waremme mais l'homme de loi n'a pas obtenu gain de cause. Le président de la commission de défense sociale a également été sollicité sur base de l'article 17 de la loi de défense sociale "mais, dans son ordonnance rendue le jeudi 6 décembre, il a écarté la demande au motif de défaut d'urgence", déclare l'avocat.
"Face à cet état de délabrement de la politique belge de défense sociale, du reste régulièrement condamnée à Strasbourg par la Cour européenne des droits de l'homme, il apparaît que des solutions médicales de soins existent mais sont refusées au nom d'une logique juridico-judiciaire institutionnelle éloignée des réalités humaines", conclut Adrien Masset.
Sandra K. avait été déclarée en août dernier par la chambre du conseil de Verviers irresponsable de l'assassinat de sa fille et des blessures faites à son fils en novembre 2011 dans les bois de Stoumont.
Source : L'Avenir le 8 décembre 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=12057&hl=
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j'ai retrouvé la date de naissance de Sandra Koch dans un ancien post que j'avais écrit au moment du drame.
en essayant de faire le lien avec le jour critique émotionnel - fréquemment présent lors des drames divers - je trouve curieusement la survenance du jour critique physique P6 - exactement le même jour dans les deux situations, celle du drame de novembre 2011 et celle de son suicide...
la situation le jour du drame : 11 novembre 2011 (28/10/1974)
Ma 8
Me 9
Je 10
Ve 11
Sa 12 P(6)
Di 13 P(7) I(1)
Lu 14 E(8)
Ma 15
Me 16
Je 17
la situation le jour du suicide :
6 décembre 2012 (28/10/1974)
Di 2 P(1)
Lu 3 E(1)
Ma 4
Me 5 I(26)
Je 6
Ve 7 P(6)
Sa 8 P(7)
Di 9
Lu 10 E(8)
(sous réserve de l'exactitude des données trouvées - il semblerait donc que cette personne soit particulièrement sensible à son cycle physique de 23 jours, en particulier au pic de sa phase active que constituent les jours critiques P6/P7 - une coïncidence étant possible tous les 23 jours)
autres points à voir : lien avec le passage dans la période critique septennale des 35 ans et séquelles, et proximité de la date anniversaire au moment du drame alors que même si c'est un peu plus tard, le suicide a eu lieu également à ce moment-là.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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