vendredi 5 octobre 2012

thérapie

Après cinq ans de thérapie, il tue sa psy Par Raphaëlle Bacqué C'est une de ces tragédies rares que la presse peine souvent à retracer. Parce que s'y mêlent la douleur humaine, le secret médical et les difficultés de la justice à trancher entre la responsabilité et la folie. Parce qu'elle raconte la confrontation ordinaire de milieux universitaires, médicaux, "psy", à la dérive mentale d'un jeune homme devenu meurtrier. Parce que ni les professeurs, ni les soignants, ni les proches, ni les familles ne veulent témoigner à visage découvert et qu ...
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/10/04/meurtre-sur-le-divan_1770084_3224.html

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je n'ai pas pu lire la suite de l'article mais je pense qu'il s'agit de ce patient qui a étranglé sa psychiatre, à Paris : il avait 28 ans et c'est donc dans sa période critique septennale, après cinq années de thérapie, que tout a été réduit à néant et que le drame s'est produit.

dommage que la psychiatrie ne connaisse pas encore notre cycle psychique et émotionnel septennal ... (et les autres...) il semble pourtant omniprésent, mais peut-être est-ce à cause de cela : entre deux périodes critiques nous sommes en période quasiment "neutre"et en "vitesse de croisière"... survient une période critique c'est là que çà peut se gâter s'il est de problèmes latents : ceux-ci peuvent alors émerger, se révéler, s'agissant d'une période de pulsions/désinhibition.
la thérapie semble avoir démarré lors de problèmes avec la période critique précédente qui est celle des 23 ans (année critique P1).

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