mardi 3 avril 2012

pédophilie septennale

il y a diverses sortes de pédophilies. j'ai appelé l'une d'entre elles la "pédophilie septennale" : ce n'est pas la même chose qu'une pédophilie permanente, mais c'est celle qui survient ou se révèle à l'arrivée d'une période critique septennale, du moins elle peut se matérialiser à ce moment là sous la forme d'un subit et fort intérêt pour les enfants ou les adolescents, (parfois même le grand amour !). et elle peut présenter un risque de passage à l'acte si l'occasion se présente.
la période critique septennale est en effet une période de pulsions et de désinhibition : son arrivée a alors pour effet de provoquer l'émergence, puis de cultiver, voire actionner des comportements jusqu'alors latents, parfois profondément enfouis, même insoupçonnés chez bien plus de personnes que l'on ne pense. et l'effet de désinhibition va pouvoir faciliter cette émergence voire un passage à l'acte, nos repères et paramètres étant alors modifiés.

l'arrivée d'une période critique septennale - période de pulsions/désinhibition polyvalente (elle peut "actionner" de  nombreux comportements très variés) - peut alors, là où elles sont latentes, contribuer à raviver ou déclencher les pulsions pédophiles. et il arrive que l'intéressé ne comprenne pas ce qui lui arrive et n'arrive pas ou ne cherche pas à s'expliquer ses comportements. et ce mécanisme explique aussi pourquoi une personne qui n'a jamais fait parler d'elle, ni éveillé de soupçons... passe subitement à des actes graves lorsqu'elle entre dans une période critique septennale... (d'où l'intérêt d'être informé du mécanisme et du risque... que nous devons apprendre à gérer...)
la pédophilie septennale peut cesser après le passage dans la période critique, mais elle peut aussi constituer un point de "démarrage" d'activités auxquelles on s'est habitué. il peut aussi y avoir récidive à l'arrivée de la période critique septennale suivante. (les pulsions des périodes critiques septennales des 35 et 28 ans sont particulièrement "à risque") et enfin elle peut prendre une forme de "syndrome de Peter Pan" les auteurs étant restés ou "retombant en enfance".

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