récidive septennale

SAINT-SAVINIEN. Salah Chitour, un ancien braqueur de 62 ans, aurait abattu sa compagne
Le meurtrier présumé sortait à peine de prison

Au surlendemain de la mort d'une femme de 58 ans à Saint-Savinien, son compagnon a été mis en examen hier pour meurtre par ascendant en état de récidive légale. Âgé de 62 ans, Salah Chitour s'était livré lui-même aux gendarmes de la commune, quelques instants après son geste, vers 6 h 30 du matin, mercredi.

Un tir à bout touchant

Selon les premiers éléments de l'enquête, ce ressortissant algérien aurait abattu sa concubine d'un coup de fusil de chasse tiré à bout touchant, au niveau du thorax. Un impact tellement net et précis qu'il a fallu attendre l'autopsie pour réaliser que la blessure mortelle n'était pas due à une arme blanche.

Un ancien restaurateur

Si le suspect refuse depuis d'expliquer son geste, il semble cependant qu'une violente dispute sur fond d'alcoolisation soit à l'origine du drame. Après avoir tenu un restaurant puis un bar à Rochefort au début des années 80, Salah Chitour - surnommé « Tony » - avait inauguré son casier judiciaire en 1989, par une condamnation à dix années de prison pour vol à main armée.

Libéré en 1995, cet homme visiblement marqué par la mort de deux de ses trois enfants a ensuite enchaîné les passages devant les tribunaux pour de nombreuses conduites en état d'ivresse.

Neuf, au total, dont la dernière en mai dernier devant les juges de Saintes. Il n'était d'ailleurs sorti de prison qu'au mois de septembre. Si les riverains évoquent un homme plutôt calme et cordial, d'autres sources font à l'inverse état de violences conjugales répétées avec sa future victime, qui était aussi la mère de ses enfants. Au moment où Salah Chitour lui aurait tiré dessus, la dernière fille du couple, âgée de 25 ans, dormait également dans la maison avec son bébé.
http://www.sudouest.com/charente-maritime/actualite/article/824207/mil/5549219.html

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le fait de s'intéresser au cycle psychique et émotionnel septennal permettrait d'étudier également les problèmes de récidive, très souvent liées aux pulsions cycliques de nos émotions et notre psychisme.

dans le cas ci-dessus l'intéressé est actuellement en pleine période à risque si, à 62 ans et demi, il entre dans sa période critique septennale des 63 ans. l'entrée dans une période critique est un "pic à risque".
par ailleurs en faisant un petit calcul on remarque que l'inauguration de son casier judiciaire en 1989... c'est la période critique septennale des 42 ans...
et comme cela est souvent le cas - je me suis demandé si c'est subconscient - l'intéressé a été libéré en pleine période critique septennale de 48 ans en 1995 : c'est à mon avis l'un des éléments de sa rechute.
jour critique émotionnel mercredi ?