je me suis posé la question de la plus grande fréquence d'événements dramatiques familiaux et conjugaux durant le week-end (çà reste à vérifier plus précisément bien sûr mais çà semble bien être le cas).
on a tendance à mettre cela sur le compte de l'effet "week-end" : les couples, les familles les gens, sont rassemblés, se retrouvent dans une certaine promiscuité, contrairement aux autres jours où ils ont des occupations de routine, souvent ailleurs, et séparément. (essentiellement le travail, l'école, etc...)
cet effet "week-end" doit certainement jouer un rôle, mais en y réfléchissant et d'après certaines observations qui seraient à confirmer au moyen de plus de données, ce sont des natifs du samedi et du dimanche qui pourraient bien être plus impliqués dans des "problèmes" voire des "drames du week-end".
pourquoi ? un natif du samedi ou du dimanche devient un marginal dans notre monde : il aura toujours sa vie durant son "jour de tension/jour de colère/jour de pulsions/désinhibition" le SAMEDI ou le DIMANCHE, selon qu'il est né ce jour là...
or contrairement à un natif d'un jour ouvrable, qui va être "bridé" puisque durant la semaine il est en quelque sorte "encadré", "programmé", et circule dans des "glissières de sécurité" (métro-boulot-dodo), qu'il n'est pas ou peu en face des siens, qu'il est fatigué, etc...
eh bien le natif du samedi ou du dimanche peut devenir une véritable "bombe à retardement", qui va pouvoir dans les situations à risque, exploser le jour où les tensions sont à leur maximum (le jour critique émotionnel) soit, le samedi ou le dimanche. en plus après une semaine de travail.
plus simplement expliqué ou illustré : dans un couple un natif du dimanche pourra avoir tendance à parfois, (certains le sont toujours), être exécrable le dimanche parce qu'ils sont nés le dimanche et que c'est leur jour critique émotionnel.
pour un natif du mardi - par exemple - son jour critique émotionnel étant toujours le mardi, cela prêtera à bien moins de risques et conséquences puisque le mardi il est occupé au boulot et il rentre fatigué... et il sera bien plus serein le week-end, puisque ce n'est jamais son jour critique émotionnel...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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