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Un condamné à mort cite Albert Camus avant d'être exécuté
Matthew Eric Wrinkles
Un homme de 49 ans, condamné pour le meurtre de son ex-femme, de son beau-frère et son épouse en 1994, a invoqué le philosophe et écrivain français Albert Camus avant d'être exécuté vendredi par injection mortelle dans l'Indiana, a indiqué la prison dans un communiqué.
Matthew Eric Wrinkles, qui était dans le couloir de la mort depuis 14 ans, avait renoncé aux dernières possibilités d'appels contre son exécution.
Le décès a été constaté à 00H39 locales (06H39, heure de Bruxelles) à la prison de l'Indiana à Michigan City après une injection mortelle de trois produits.
Dans un texte remis avant son exécution, Matthew Wrinkles, écrit: "Comme disait Albert Camus: tuer un homme au paroxysme de la passion est compréhensible. Le faire tuer par quelqu'un d'autre de façon calme et réfléchie (...) est incompréhensible".
En juillet 1994, Matthew Wrinkles, sous amphétamines et vêtu d'un uniforme de camouflage avec des peintures de guerre sur le visage, avait tué à coups de pistolet son ex-femme, son beau-frère et l'épouse de celui-ci dans leur maison. Le condamné a reconnu les faits mais assuré les regretter
Quelques personnes avaient bravé le froid (-11 degrés) pour protester durant la nuit devant la prison, a indiqué la porte-parole de l'établissement, Pam James.
Sources : 7 sur 7/off2dr.com
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lorsque l'on examine la situation des cycles d'un condamné à mort il en ressort presque toujours que la personne a agit en période critique septennale et/ou en jour critique émotionnel :
né le 3 janvier 1960 cela donne pour le jour du crime le 21 juillet 1994 :
c'est un jour neutre mais pile 34 ans et demi c'est à dire moment précis de l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans.
c'est un moment clé - pic de pulsions/désinhibition - qui peut à lui seul suffire à expliquer un détraquage ; d'ailleurs çà avait démarré quelques jours avant semble-t-il (depuis dimanche avant E15 ?) d'après ce que j'ai trouvé :
What happened: On July 21, 1994, Wrinkles fatally shot Mark "Tony" Fulkerson, 28, in front of Fulkerson's 3-year-old son, then fatally shot Debra Jean Wrinkles, 31, his estranged wife and Fulkerson's sister, as their daughter pleaded for her mother's life. He also fatally shot Fulkerson's wife, Natalie Fulkerson, 26, in the face. Court documents show he was wearing camouflage clothes and face paint and was armed with a gun and a knife when he kicked open the door of the Fulkersons' home, where his estranged wife was staying. The killings occurred just days after his mother had tried to have Wrinkles committed because of his erratic behavior.
http://www.indystar.com/apps/pbcs.dll/article?AID=2009912100486&template=printart
je constate par contre que Camus a aussi dit des bêtises.
juillet 1994 (3/01/1960)
Ve 15
Sa 16
Di 17 E(15) I(9)
Lu 18 P(12)
Ma 19
Me 20
Je 21
Ve 22
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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