mercredi 14 mars 2018

quadruple meurtre

Argovie Meurtrier de Rupperswil: (...) Deux ans après le quadruple meurtre de Rupperswil (AG), Thomas N. affronte depuis hier la justice, à Schafisheim (AG). Le 21 décembre 2015, il est entré dans une villa où il a égorgé une femme, ses deux fils de 13 et de 19 ans et la petite copine de l’aîné, après avoir abusé du cadet. À quoi tenait la vie d’une adulte et de trois adolescents? «Deux issues s’offraient à moi: les tuer ou m’en aller», a résumé l’accusé de 34 ans.(...) Interrogé sur son motif, Thomas N. prétend que l’appât du gain l’a guidé. L’acte d’accusation indique qu’il s’imaginait dérober 30'000 francs «pour avoir de quoi vivre jusqu’à l’été 2016». Ce n’est que dans un deuxième temps que l’appétit sexuel serait apparu. Thomas N. se dit déçu d’avoir appris par son thérapeute que sa pédophilie état incurable: «Mon but a toujours été de ne plus éprouver de tels sentiments», affirme-t-il. (...) Une corde, de l’allume-feu, du combustible, des gants, du scotch, un sex-toy et un pistolet trouvés dans son sac à dos présageaient-ils d’une récidive? «Le sac préparé était là, mais il ne s’est rien passé», commente l’accusé, dont on sait qu’il notait les déplacements de deux garçons.
Rappel des faits À l’époque du drame, Thomas N. est entraîneur de football, vit à Rupperswil chez sa mère qui le croit doctorant. Les enquêteurs trouveront dans son ordinateur des vidéos sexuelles de jeunes garçons, téléchargées entre 2011 et 2015. Cet été-là, il se sent attiré par D. S., 13 ans. Cette rencontre matérialise ses intentions: il achète un couteau, des liens, du scotch, mais aussi six bouteilles d’un liquide inflammable et plusieurs sex-toys. Internet lui fournit des indications sur la famille de sa proie. Son sac sur le dos, il tente une dizaine d’approches, jusqu’au jour fatidique. Au petit matin, il parvient se faire passer pour un psychologue scolaire. Son stratagème: faire croire à la mère que son fils cadet a mené un camarade au suicide en le harcelant. Tandis que la maman lui propose un café et réveille son fils à l’étage, Thomas N. sort son couteau, prend le fils en otage, ordonne à la mère de ligoter l’aîné et son amie avant de l’envoyer à la banque vider son compte, qui contient 10'000 francs. À son retour, il ligote la maman et abuse du cadet en se filmant. Il tranche la gorge de chacune de ses victimes et brûle les cadavres. Le soir, on le voit jouer au casino avec l’argent dérobé…
https://www.lematin.ch/faits-divers/Meurtrier-de-Rupperswil-Les-tuer-ou-m-en-aller/story/20879814
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il faut là aussi s'intéresser aux rythmes et cycles psychiques pour tenter de comprendre un comportement aussi dramatique : ce sont leurs éléments critiques qui donnent généralement un "feu vert" pour un acte gravissime car sans eux nous ne sommes pas suffisamment "poussés et désinhibés" :
(sous réserve bonne donnée de naissance)

21 décembre 2015 (2/05/1983)(jour critique émotionnel E22 et jour critique intellectuel i9 dans un épisode triple critique avec les jours critiques physique P6/P7)(année critique i1)
Ma 15
Me 16
Je 17
Ve 18
Sa 19 P(6)
Di 20 P(7)
Lu 21 E(22) I(9)
Ma 22
Me 23
Je 24

(le jour critique émotionnel est probablement le plus fréquent jours des drames alors que j'ai appelé le jour critique intellectuel i9 le "jour des tueurs" à force de ce retrouver - 32/33 ans est l'année critique intellectuelle i1, année critique du cerveau, donc propice dans l'exception à ce type de coup de folie) 

on peut par ailleurs rapprocher certains comportements de ceux de Nordahl Lelandais, notamment (qui a agit deux fois en P6/P7) et qui s'est mis à consulter des sites pédopornographiques avec l'arrivée de sa période critique septennale des 35 ans. (pédophilie septennale que j'explique ici http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2018/03/pedophilie-septennale.html
or pour Thomas N. les téléchargements auraient démarré en 2011, soit sa période critique septennale des 28 ans.

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