Incendie suspect, mort tragique et trois familles à la rue
Les enquêteurs de la Sûreté du Québec travaillent à déterminer les liens entre deux événements survenus à Saint-Pie et à Saint-Damase, au cours desquels une femme a perdu la vie et trois familles se sont retrouvées à la rue.
La journée des policiers a débuté lorsque le service incendie de Saint-Pie leur a transféré l’enquête au sujet d’un feu d’origine suspecte survenu vers 5 h, samedi matin, dans un triplex de l’avenue Jacques-Cartier. Plusieurs foyers d’incendie avaient été découverts dans le logement du deuxième étage où habitait un couple, à ce moment-là introuvable.
L’homme s’est rapporté à la police lorsqu’il a eu connaissance des événements. Après une douzaine d’heures de ratissage par les policiers, la femme de 37 ans a été retrouvée, grièvement blessée, dans un champ situé à proximité de sa voiture accidentée, rang de la Presqu’île, à Saint-Damase. Elle a été transportée en hélicoptère à l’hôpital de Saint-Hyacinthe, où son décès a été constaté vers 20 h.
Période difficile
Le couple était en instance de séparation. La dame présentait des signes de dépression, rapporte son conjoint, en entrevue à La Voix de l’Est.
« C’est un suicide, a-t-il confié sans hésitation. Ça fait deux fois qu’elle [fait une tentative]. La semaine passée, dimanche, je promenais mon chien et quand je suis revenu, elle avait laissé une lettre me disant qu’elle avait le mal de vivre, qu’elle ne voulait plus vivre, que c’était son choix, de respecter ça. J’ai fait le 9-1-1 et on l’a retrouvée. Elle était à Farnham. Elle a été transportée à l’hôpital, qui ne l’a pas gardée. Hier (samedi), elle a réussi sa tentative de suicide. »
L’homme dit ne pas comprendre pourquoi l’hôpital qui avait accueilli sa conjointe ne l’avait pas gardée jusqu’à ce qu’elle prenne du mieux. « Il y a des choses qui auraient pu être évitées. Faut croire que le système en a décidé autrement... », a-t-il laissé tomber.
Puisqu’ils traversaient une période difficile, il n’était pas à l’appartement la nuit de l’incendie. Il a su ce qui se passait lorsque son ancienne conjointe — la mère de ses enfants — l’a appelé pour savoir où il était, raconte-t-il. La Sûreté du Québec l’avait contactée pour savoir si leurs deux enfants étaient avec elle.
Les trois enfants de la victime se trouvaient quant à eux avec leur père.
https://www.lavoixdelest.ca/actualites/en-region/incendie-suspect-mort-tragique-ettrois-familles-alarue-88e11a0739d93e87279c38331a5a0a16
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il faut peut-être remonter à la période critique septennale des 35 ans pour voir si dépression septennale et début des problèmes... ensuite vérifier le jour critique émotionnel : il est hebdomadaire toujours le même jour de la semaine (celui où on est né) et probablement le plus fréquent jour de suicide (ou le jour à côté). tentative et seconde tentative - réussie - semblent avoir eu lieu samedi/dimanche donc au même moment. connaître son jour critique émotionnel permet de mieux comprendre les accès de désespoir, et prévenir.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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