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Procès du meurtre d'Avanton : le père de famille devant les Assises de la Vienne Le procès du meurtre d'une jeune mère de famille par son compagnon à Avanton dans la Vienne en juin 2014 a lieu devant les Assises de la Vienne. L'accusé, âgé de 27 ans au moment des faits, encourt la réclusion criminelle à perpétuité.  La deuxième journée du procès du meurtre d'Avanton s'ouvre ce jeudi. Elle sera consacrée à l'examen des faits et ce soir des experts psychiatres doivent revenir sur l'examen des personnalités des protagonistes. La journée d'hier, la première de ce procès qui va durer trois jours, a permis de mieux cerner les personnalités de la victime Marine Muccio et de son compagnon, accusé de son meurtre, Raphaël Domogni. Le couple est apparu déchiré avec des relations tendues et difficiles sur fond d'adultère et de jalousie. L'accusé n'a exprimé aucun regret lors de l'audience laissant apparaître un caractère froid et calculateur alors que la victime était présentée comme une femme pétillante et aimant ses enfants mais déchirée par le comportement de son mari.  C'est la fille aîné du couple, âgée de 3 ans et demi, qui a donné l'alerte ce 9 juin 2014 en fin d'après-midi en allant chercher du secours dans la rue vêtue d'un simple tee-shirt et en culotte en emportant son doudou. Elle a été recueillie par la gérante d'un restaurant portugais qui a appelé les gendarmes. A leur arrivée dans le pavillon familial, les gendarmes découvre le père de famille, tenant sa plus jeune fille dans les bras, aux côtés du corps ensanglanté de sa femme. Peu avant après une dispute conjugale, Raphaël Domigni, pris de fureur et dans un déchaînement de violence, avait porté une trentaine de coups de couteau à Marine Muccio sa compagne et mère de ses enfants âgée de 26 ans.(...) Pourquoi ce chargé de clientèle dans une banque, sans casier judiciaire et sans antécédents a-t-il basculé dans cette folie meutrière et quelles séquelles a laissé ce drame sur les deux petites filles. Les jurés de la cour d'Assises vont en débattre pendant trois jours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/proces-du-meurtre-avanton-pere-famille-devant-assises-vienne-1172051.html
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/01/12/Poitiers.-Meurtre-d-Avanton-un-mois-apres-l-accuse-evoquait-mariage-et-enfant-avec-sa-maitresse-2965293
MM291088P18i17
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édit 14/01 (apparemment Raphael Dogimi) : 
curieusement un épisode critique physique P6/P7 
9 juin 2014 (7/08/1987) (26 ans et 10 mois)

Ve 6 E(1)

Sa 7 I(1)

Di 8

Lu 9 P(6)

Ma 10 P(7)

Me 11

Je 12

Ve 13 E(8)

la compagne entrait dans un épisode critique fort ce soir-là mais donnée à confirmer :

(jour critique physique P18 - équivalent d'un jour critique émotionnel - et jour critique intellectuel i17 - à cinq mois de l'anniversaire 26) (couple aux jours critiques émotionnels successifs vendredi/samedi)

9 juin 2014 (29/10/1988)(25 ans et 7 mois)

Sa 7 E(1)

Di 8

Lu 9

Ma 10 P(18) I(17)

Me 11 P(19)

Je 12

Ve 13

http://www.liberation.fr/france/2017/01/14/violences-conjugales-il-fallait-qu-elle-soit-la-ou-il-lui-demandait-d-etre_1541406
(les violences citées du 23 mai 2014 sont du jour critique émotionnel de l'intéressé et déjà aussi jour critique physique)(lorsque l'on dispose de données on peut pratiquement suivre le "parcours" des violences conjugales car celle-ci ont généralement lieu en jour ou épisode critique de l'un ou l'autre des partenaires. ici le drame a eu lieu en épisode critique de la compagne (P18 est l'équivalent d'un jour critique émotionnel) celui-ci ayant entre autre pour propriété de pouvoir provoquer des réactions violentes chez l'autre...)