mercredi 29 juillet 2009

suicide

L'Humanité :

« Je me suicide à cause de mon travail à France Télécom »
Restructuration . Un salarié de l’opérateur téléphonique s’est donné la mort, mettant en cause ses conditions de travail.

Michel D., un salarié marseillais de France Télécom, a mis fin à ses jours le 14 juillet à son domicile, en laissant à sa famille et à ses collègues une lettre sans ambiguïté. « Je me suicide à cause de mon travail à France Télécom », écrit ce fonctionnaire de cinquante et un ans, architecte réseau dans l’unité de pilotage (UPR) du Sud-Est, qui ajoute : « Urgence permanente, surcharge de travail, absence de formation, désorganisation totale de l’entreprise. Management par la terreur ! Cela m’a totalement désorganisé et perturbé. Je suis devenu une épave, il vaut mieux en finir. »

La direction, qui estime que « les causes d’un suicide sont toujours multiples », précise que ses collègues « avaient remarqué des signes de dépression. Il avait été pris en charge par les managers, ses collègues et les partenaires sociaux ». Une information confirmée par Denis Capdevielle, délégué CGT au Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l’unité où il travaillait, qui constate : « Le malaise devait être profond. »

C’est le 18e suicide depuis février 2008 parmi les quelque 100 000 salariés de l’entreprise, selon l’Observatoire du stress et des mobilités forcées à France Télécom, mis en place fin 2007 à l’initiative de SUD PTT et de la CFE-CGC. L’observatoire souligne que ce suicide intervient après « trois tentatives » en juin dans la région de Lyon, le suicide d’une cadre parisienne, celui d’un technicien, ou la mort, il y a un an, d’un agent qui s’était jeté sous un train à Troyes.

Les syndicats dénoncent depuis plusieurs années la dégradation des conditions de travail qui a suivi l’ouverture du capital de l’entreprise en 1997, avec restructurations massives et 60 000 suppressions de postes à la clé. Fabienne Viala, de la CGT, met en cause des surcharges de travail liées à la baisse des - effectifs « et des responsabilités de plus en plus lourdes », notamment pour les cadres comme Michel D.

« Ces changements se sont accompagnés d’une transformation d’une entreprise de métiers techniques d’excellence en une société perçue comme essentiellement attachée à dégager du cash », analyse Olivier Flament, secrétaire SUD PTT du CHSCT et membre de l’observatoire. Des mutations qui ont eu « des effets dans le détail des activités, au détriment des compétences acquises et de l’histoire professionnelle de chacun. Des identités professionnelles ont été mises à mal sans que l’on s’en aperçoive ».

Le syndicaliste évoque les pressions sur les salariés pour qu’ils adhèrent à la culture de l’entreprise, « comme s’il ne suffisait plus de faire son travail pour montrer sa loyauté ». Autre facteur de tensions, l’arbitraire des rémunérations, mis en cause directement par Michel D. dans sa lettre : « C’est la conséquence de l’individualisation des rémunérations. Cela crée une mauvaise ambiance. C’est voulu par le management », écrit-il dans son courrier.

Aucun de ces suicides n’a été qualifié d’accident du travail, note l’observatoire, qui y voit « l’acharnement des directions à reléguer ces affaires au rang des "problèmes individuels" ».

Lucy Bateman

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je ne pense pas que l'on puisse mettre un suicide uniquement sur les difficultés au travail mais c'est un élément qui doit venir s'ajouter à d'autres problèmes et qui va "faire déborder le vase" à un moment propice...
on pourrait vérifier ici si la dépression n'a pas démarré il y a environ deux ans, (période critique des 49 ans) et si l'intéressé est un natif du mardi (son jour critique émotionnel = souvent jour de passage à l'acte)

tentative de suicide

Librairie 3ème oeil :

Une femme suicidaire se jette sous un train et rentre se coucher
" Une femme suicidaire de 58 ans s'est grièvement blessée en se jetant sous un train mardi près de Colmar, en Alsace, puis elle a regagné son domicile où elle s'est finalement recouchée, a-t-on appris de source judiciaire et auprès des gendarmes français.

Les faits se sont produits vers 5H20, en gare de Herrlisheim (Haut-Rhin), lorsque la désespérée, qui se trouvait au bout du quai, a tenté de se jeter sur la voie au passage d'un TER qui circulait dans le sens Mulhouse-Strasbourg. Le conducteur du train, qui roulait à environ 150 km/h et ne devait pas marquer d'arrêt à Herrlisheim, donne alors l'alerte. Un important dispositif de recherches, mobilisant pompiers, gendarmes et agents SNCF, est déclenché afin de retrouver la victime.

Pourtant, pendant de longues heures, cette dernière demeure introuvable. L'hypothèse d'une personne seulement blessée par le choc est alors envisagée mais les recherches effectuées auprès des services d'urgences ne donnent rien.

Et pour cause: comme par miracle, le train n'a effectivement fait "que" percuter la quinquagénaire qui, remise du choc, a finalement décidé de regagner son domicile, situé à plusieurs centaines de mètres de la gare... et de se recoucher. Vers 14H00, son concubin, qui travaille de nuit, se réveille et découvre avec stupeur sa compagne, allongée près de lui. Constatant l'étendue de ses blessures, il alerte les secours.

Hospitalisée à Colmar, la victime a confirmé avoir voulu mettre fin à ses jours. Elle souffre d'au moins une fracture du bras et d'une importante coupure au fessier, mais son pronostic vital ne semble pas engagé. Dépressive depuis plusieurs années, elle avait à plusieurs reprises tenté de se suicider.

Selon la SNCF, l'incident a provoqué d'importantes perturbations sur la ligne. La circulation a été interrompue jusqu'à 07H30, le trafic ne redevenant normal que vers 09H20. Au total, 6 TER ont été supprimés, une vingtaine ont subi des retards de cinq à 45 minutes. Trois TGV ont été retardés. "

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lorsqu'on pense au suicide on a tendance à vouloir en finir le jour critique émotionnel parce que ce jour là on en a le courage et la détermination... native du mardi ? les tentatives précédentes ont-elles aussi eu lieu le mardi ?
dépressive depuis plusieurs années... depuis ses 55 ans et demi - entrée dans la période critique septennale des 56 ans ?

mardi 28 juillet 2009

drame conjugal

Librairie 3ème oeil :

Ornolac : il tue sa compagne et se donne la mort
" Double mort À Ornolac, la dispute familiale tourne à la tragédie.

Que s'est-il passé à l'heure du petit-déjeuner à Ornolac ? Une tragédie s'est jouée à huis clos chez un agriculteur retraité et sa compagne.

Jacques Arraud, âgé de 70 ans, était un agriculteur à la retraite, connu dans la commune, veuf et sans enfant. Voici quelques mois (quatre ou cinq suivant les personnes qui le connaissent), il s'est mis en ménage avec Michèle Denjean, 67 ans, divorcée et maman de deux filles. Le couple vit dans la maison de Jacques Arraud, tout en haut du village. Une maison agréable, bien entretenue, décorée de jolis massifs de fleurs.

Soudain un voisin entend deux coups de feu. Il ne s'étonne pas particulièrement, à la campagne de tels bruits sont habituels. Ce n'est que bien plus tard, qu'en passant devant la maison de Jacques Arraud, il voit les deux corps étendus à terre dans le jardin.

L'hypothèse de la dispute

Aussitôt les autorités sont averties et très vite les conclusions s'imposent avec évidence. Certainement une violente dispute a éclaté de bonne heure. Michèle Denjean était vêtue d'une robe de chambre et Jacques Arraud était entièrement nu. C'est alors qu'elle tentait de s'enfuir (son corps a été retrouvé dans le jardin, entre la porte d'entrée de la maison et le portail) que Jacques Arraud l'a tuée en lui tirant avec son fusil une balle dans la poitrine. Le septuagénaire s'est ensuite fait justice lui-même en se tirant une balle devant le seuil de sa maison.

Les services de gendarmerie (brigade de recherches de Foix et de Tarascon) ne pourront que constater les deux décès. Et l'action de la justice devrait être automatiquement éteinte puisque le meurtrier s'est suicidé.

Cette affaire rappelle étrangement le drame qui s'est déroulé à Montaut le 7 juillet dernier au cours duquel un mari avait tiré sur sa femme et s'était donné la mort en suivant. Des faits réellement similaires dans deux communes d'Ariège à un peu plus de deux semaines d'intervalle.

Le procureur de la République, Antoine Leroy a ordonné une autopsie pour connaître les causes de ces décès et confirmer le déroulement des faits de cette triste matinée.

Elle devrait avoir lieu aujourd'hui."

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probablement encore un coup de folie de la période critique septennale.



j'ai regardé pour le drame de Montaut qui est cité dans l'article :


(LaDépêche)
Montaut. Il abat sa femme et se suicide
Drame conjugal à Montaut sur fond de séparation.

Il y aura certainement une petite ombre au tableau sur la fête de Montaut dans quelques jours. En effet, il sera difficile aux habitants du village d'oublier le triste fait divers qui a endeuillé leur commune dimanche soir.

Un homicide volontaire, suivi d'un suicide, qui vient mettre un terme à une histoire d'amour déchirée au sein d'un couple ordinaire par la perspective d'une prochaine séparation.

C'est à l'extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d'arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C'était là que vivaient et qu'ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s'étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c'est là que s'est déroulé le drame.

Il est difficile pour l'heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d'une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l'origine.

Dimanche, entre 20 et 21 heures, l'homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d'une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.

C'est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d'un coup de fusil de chasse. Et a retourné l'arme contre lui.

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l'homme a 58 ans et la femme 45 : pas de période critique à proximité par conséquent, mais il y a dans ce cas deux choses que l'on pourrait regarder : depuis quand çà ne va pas ? (en général c'est depuis la préiode critique précédente ou l'une des périodes critiques précédentes)

l'un des deux est-il dans un jour critique émotionnel : c'est le jour qui peut "faire exploser"...

prise de risque

LeMatinCh :
Une fête entre collègues tourne au drame en Valais

Un homme de 42 ans a perdu la vie dimanche soir après avoir chuté d'un balcon. Il s'était amusé à marcher sur la balustrade au domicile de l'un de ses collègues lors d'une fête entre amis au Trétien sur la commune de Salvan, en Valais.

L'homme a perdu l'équilibre et fait une chute de six mètres. Secouru rapidement, il a été transporté par ambulance à l'hôpital de Sion où il a succombé à ses blessures.

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cela peut arriver aussi autrement, parfois, mais en période critique septennale notre conscience des choses est différente ce qui fait que nous pouvons prendre des risques ou avoir des comportements que nous n'aurions pas d'ordinaire...

lors d'une fête l'alcool peut aider : mais la comparaison est volontaire car en période critique ou en jour critique émotionnel nous pouvons être comme dans une sorte d'ivresse équivalente... même sans avoir bu d'alcool... c'est ce qui explique les passages à l'acte dans ces moments là...

lundi 27 juillet 2009

drame conjugal

L'Alsace :
Isère: il tue son ex-compagne et se suicide

Un sexagénaire a tué à l'arme blanche son ex-compagne, âgée de 78 ans, avant de se donner la mort samedi à Chimilin (Isère), a annoncé à l'AFP la gendarmerie, confirmant une information publiée dimanche par le Dauphiné Libéré.

Le drame s'est déroulé dans la matinée au domicile de la femme, séparée depuis quelques mois de son meurtrier, âgé de 64 ans, a précisé le quotidien.

Selon les premiers éléments de l'enquête, une dispute qui a dégénéré a conduit l'homme à asséner quatre coups de couteaux à son ex-compagne avant de se poignarder dans le coeur, a indiqué la gendarmerie.

La femme est décédée lors de son transfert héliporté vers Lyon.

Une enquête, diligentée par le parquet de Bourgoin-Jallieu, a été confiée conjointement à la brigade de recherche de la Tour-du-Pin et à la brigade de Pont-de-Beauvoisin.

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certainement un drame de la période critique septennale : lui 64 ans et elle 78 ans, et séparés seulement depuis quelques mois.
les deux personnes sont "compatibles" car ayant leurs périodes critiques en même temps (ici celles de 63 et 77 ans... mais c'est toute leur vie qu'elles ont pu avoir des difficultés lors des périodes critiques communes...)

jour critique émotionnel ?

dans ce type de situation il faudrait pouvoir expliquer aux personnes qu'elles sont dans un "mauvais passage" afin qu'elles ne se séparent pas après avoir vécu ensemble peut-être toute leur vie, et cela pourrait probablement éviter ce genre de drame "incompréhensible" mais peut-être expliqué par le cycle psychique et émotionnel septennal...

samedi 25 juillet 2009

forcené

nouvelobs :
Actualités NouvelObs
Le forcené du conseil général de la Meuse déféré au parquet
AP | 24.07.2009 | 19:04

Le forcené qui avait pris deux personnes en otage jeudi après-midi dans des locaux décentralisés du conseil général de la Meuse à Verdun avant d'être maîtrisé, a été déféré vendredi après-midi au parquet de Verdun, a-t-on appris de sources judiciaires.

L'homme de 33 ans est déjà connu des services judiciaires pour avoir été condamné par deux fois pour "port d'arme" en 2003 et 2005 et pour rébellion et dégradations en 2003, ce qui semble avoir justifié l'intervention du GIPN pour le neutraliser, précisait-on. Dans ce nouveau dossier, cet ancien agent de sécurité reconverti dans le BTP pourrait être poursuivi pour "séquestration, dégradations et rébellion" et placé en détention provisoire dès ce vendredi soir.

L'individu a commis son "coup de folie" car n'acceptant pas de ne pas avoir la garde de ses trois enfants dans un dossier qualifié de "complexe et qui dure depuis au moins cinq ans", avait expliqué jeudi le directeur de cabinet du conseil général, Pascal Babinet.

La prise d'otage avait débuté jeudi vers 14h30 lorsque le forcené s'était retranché dans cette succursale avec le directeur de l'agence, une collaboratrice et une jeune étudiante, en job d'été, qui avait été libérée vers 15h45 après des négociations. Le forcené avait placardé deux affiches sur les vitres de l'agence portant les inscriptions: "La justice et le système prennent les citoyens pour des cons" et "Ils m'ont volé mes enfants".

L'intervention vers 19h20 de l'unité d'élite de la police dépêchée depuis Strasbourg avait permis d'appréhender le forcené immédiatement placé en garde à vue, et de libérer sains et saufs les deux otages. AP

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2003 et 2005 est une mauvaise période pour cette personne, celle de la période critique septennale des 28 ans... le pic critique se situant au moment de l'entrée à 27 ans et demi donc probablement en 2003... aujourd'hui à 33 ans pas de période critique mais peut-être jour critique émotionnel jeudi ? (le jour critique émotionnel est notre "jour coup de folie").

jour de grosse bêtise ?

Figaro :
Incendie: le responsable déféré samedi
Lefigaro.fr avec agences

Après la colère des élus et de l'exécutif, c'est au tour de la justice militaire de se prononcer sur le sort du militaire à l'origine du sinistre qui a ravagé les environs de Marseille en début de semaine. Le sous-officier responsable des tirs à balles traçantes dans le camp de Carpiagne doit être déféré samedi matin au parquet militaire de Marseille. Il se voit reprocher des faits de "destruction de biens et de broussailles par violation délibérée d'une obligation de sécurité et violation de consigne militaire". Il encourt cinq ans de prison pour le premier délit, deux ans au titre du second. Les tirs de balles traçantes sont prohibées dans les camps militaires du Sud-Est du 1er mai au 1er novembre.

Cet adjudant-chef, un célibataire de 43 ans natif de La Réunion, légionnaire expérimenté de retour d'une mission en Afghanistan, avait exprimé jeudi devant les enquêteurs ses regrets et s'est déclaré anéanti. Il avait ajouté qu'il n'avait pas eu conscience de contrevenir aux ordres, car personne ne l'avait mis en garde en matière de risques d'incendie."Il alterne des phases d'abattement et de dialogue avec les gendarmes", a précisé une source proche de l'enquête.

Bardé de décorations, ce sous-officier avait reçu la médaille civile des actes de courage et de dévouement pour avoir récemment sauvé une personne sur une autoroute du Sud. Il devait prochainement recevoir la croix de la valeur militaire.

Lors d'un déplacement à Marseille jeudi, le Premier ministre François Fillon avait promis des sanctions à l'issue des enquêtes pour ce qu'il a dénoncé comme étant "des fautes professionnelles graves".

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peut-être serait-il intéressant, rien que par curiosité et pour le côté instructif, pour comprendre aussi, de voir si l'intéressé était dans un jour de grosse bêtise ? (P ou E)

en P (jour critique physique) on est fatigué et distrait et on ne pense pas à tout... on a parfois tendance à "marcher au radar"... c'est plutôt le jour des accidents. en E (jour critique émotionnel) c'est notre jour de mauvaise humeur, notre jour tête de mule ou "envie de tout casser"... et là aussi on peut "n'en faire qu'à sa tête".
j'avais lu ailleurs que l'intéressé avait déjà des démêlés avec son autorité l'année ou les deux années passées : là on sait... que c'est sa période critique septennale des 42 ans. mais aujourd'hui, à 43 ans elle est passée, en principe.

mardi 21 juillet 2009

séquestré et torturé

nouvelobs :
Société
Un couple de SDF mis en examen pour avoir séquestré et torturé un homme de 40 ans à Meaux
AP | 21.07.2009 | 15:52
Un homme de 37 ans et sa compagne de 27 ans, tous deux sans domicile fixe, ont été mis en examen mardi pour avoir séquestré et torturé pendant quatre jours un homme de 40 ans à son domicile de Meaux (Seine-et-Marne), a-t-on appris de source judiciaire.

Interpellés le 18 juillet, les deux marginaux, poursuivis pour "séquestration volontaire aggravée par des actes de torture et de barbarie", ont été écroués. Sans emploi, ils étaient connus des services de police pour de petites infractions.

La victime, un homme de 40 ans, a expliqué aux policiers avoir rencontré le suspect dans un bar et avoir sympathisé avec lui. Il l'a ensuite hébergé durant quelques jours. Le SDF a ensuite demandé à son hôte d'accueillir sa petite amie. Refus du locataire de l'appartement qui a ensuite été ligoté à une chaise avant d'être frappé au visage. Il a également été mordu et brûlé avec des cigarettes durant de longues heures.

Ce calvaire a duré du 9 au 12 juillet. Le couple a finalement laissé partir la victime, la menaçant de représailles si elle dévoilait les sévices dont elle avait été l'objet. Celle-ci s'est décidée le 18 juillet dernier à aller porter plainte au commissariat de Meaux. Les policiers ont interpellé les tortionnaires présumés au domicile de la victime qui s'est vu prescrire 21 jours d'incapacité temporaire totale (ITT). AP

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il serait intéressant de savoir si la période critique septennale a joué un rôle ici : elle se situe chez la femme de 27 ans qui entre dans sa période critique des 28 ans, une période qui peut être particulièrement "sombre"...
il s'agit peut-être d'une coïncidence, bien sûr, mais on trouve souvent un élément "période critique septennale" dans ce genre de fait divers, où elle a tendance à jouer un rôle moteur...

matricide

RPonline :
Duisburg
Mann erwürgte seine 81-jährige Mutter
zuletzt aktualisiert: 21.07.2009 - 16:11 Duisburg (RPO) Ein 48-jähriger Mann hat in Duisburg nach einem Streit seine 81-jährige Mutter erwürgt. Er versteckte die Leiche anschließend im Bettkasten. Wie die Polizei am Dienstag mitteilte, hat der Mann ein Geständnis abgelegt. Der 48-Jährige soll am Mittwoch dem Haftrichter vorgeführt werden.

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un homme de 48 ans a étranglé sa mère de 81 ans lors d'une dispute...
si les faits divers sont nombreux et très variés, certains sont typiques de la période critique septennale : ce sont surtout des faits souvent qualifiés "d'incompréhensibles" "inattendus", ou encore des faits particulièrement étonnants, voire "barbares" et sordides, puisqu'il s'agit d'une forme de "disjonction" ou "dérapage", on devient excessif... suite à "l'effet pulsions/désinhibition", "déconnexion de la réalité" aussi, lié à la période critique.
du point de vue des dates de cette période il faut être aussi assez "flexible" mais la "bonne moyenne" est celle citée dans mon tableau dans la colonne de droite.
ici - sans connaître l'âge précis de l'intéressé - si on dit 48 ans il faut savoir que la période critique septennale des 49 ans va de 48 ans et demi à 50 ans environ, et que le "pic de pulsions" se situe en général au moment de l'arrivée, de l'entrée dans la période critique, c'est à dire 48 ans et demi - qui sera précisé "48 ans" dans les articles des faits divers.

suicide

ouest-france.fr :
Rennes
19:39 - lundi 20 juillet 2009
Suicide sous un TGV : la personne identifiée
La gendarmerie de Cesson-Sévigné a identifié, en fin d’après-midi, la femme qui s’était tuée en se jetant sous un TGV Rennes-Paris, ce lundi en fin de matinée. Il s’agit d’une femme de 48 ans, domiciliée dans la région rennaise. Cette identification rend sans objet l’appel à témoins lancé quelques heures plus tôt.

Jörg Tauss

wordpress.com :
Le député SPD Jörg Tauss visé par une enquête pour détention de pornographie infantile.
31 mars, 2009
La police allemande a perquisitionné le 5 mars le bureau berlinois et le domicile près de Karlsruhe du député.
Le Bundestag (chambre basse du parlement) venait de lever son immunité.
Des pièces à caractère pornographique ont été saisies à cette occasion.
M. Tauss a renoncé à ses fonctions de secrétaire général du parti social-démocrate (SPD) du Bade-Wurtemberg , de membre de la direction et de porte-parole du groupe parlementaire SPD.
Il conserve son mandat de député mais vient d’annoncer qu’il renonçait à se représenter.

Jörg Tauss nie être un pédophile mais reconnaît avoir “déconné” sur son site internet.
Il dit avoir pris des contacts dans les milieux pédophiles et s’être fait envoyer du matériel pédopornographique pour se renseigner sur ces trafics, uniquement dans le cadre de son travail de député. “Je me suis introduit dans une porcherie puante pour la nettoyer – peut-être en infraction à la législation en vigueur”, reconnaît-il. “Je vous assure que je ne suis pas un pédophile”, ajoute-t-il. “Il s’agit d’une condamnation en avance par les médias et cela ne doit pas rester sans conséquences”.
Son sort semble tranché.

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pédophile ou pas pédophile ? la justice le dira probablement...
j'avais parlé récemment de ce que j'appelle la "pédophilie septennale" et je suis donc comme toujours allé voir sans trop y croire, l'âge de l'intéressé...
ben il est né en 1953... ce qui nous fait bien 56 ans... "l'âge de déconner sur Internet"...
pour l'anecdote : ma femme me demande "il est né quand, pour savoir si c'est un juillet ou un novembre ?" comme je ne me souvenais pas de la date précise je suis retourné voir : c'est un 5 juillet...

eh oui... il y a des tas de données qui parlent et que nous ignorons toujours, pour le moment...

lundi 20 juillet 2009

accident

Nach Schützenfest-Tragödie: Unfallfahrer schweigt
Menden (dpa) - Der Unglücksfahrer vom Schützenfest im sauerländischen Menden will sich zum Unfallhergang nicht äußern. Das teilte die Staatsanwaltschaft mit. Der 79-Jährige wolle sich einen Anwalt nehmen. Der Rentner war gestern mit seinem Wagen ungebremst in einen Schützenumzug gefahren. Dabei waren zwei Menschen getötet und mehr als 50 weitere verletzt worden. Für die Polizei ist unklar, warum der Mann zunächst hinter dem Zug gewartet hatte und dann plötzlich weiterfuhr und in die Menge raste.
erschienen am 20.07.2009 um 15:58 Uhr

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deux morts et 51 blessé dans ce dramatique et pour l'instant mystérieux accident.
je le relève parce que je pense que la situation biorythmique du chauffard pourrait dire quelque chose, peut-être.
c'est un homme de 79 ans qui a foncé sans freiner dans un cortège festif de la commune... il ne donne pas d'explication, pour l'instant, et la Police ne comprend pas pourquoi le chauffard s'est d'abord arrêté à l'arrière du cortège, puis a brusquement démarré pour foncer dans la foule...
je vois éventuellement un jour critique émotionnel (coup de colère (auto-rage)(1) et absence d'inhibition) ou physique (idem avec état de fatigue en plus, ou possible malaise, aussi)...


(1) la rage de l'automobiliste est un phénomène connu qui peut amener un conducteur à avoir ce type de comportement... l'automobiliste devient "enragé" parce qu'on a le malheur de l'importuner, de se trouver sur sa route...

dimanche 19 juillet 2009

Buzz Aldrin

LeMatin.ch :

Buzz Aldrin, un apôtre de l'espace depuis sa marche sur la Lune

Buzz Aldrin, deuxième homme à avoir marché sur la Lune, a dû combattre dépression et alcoolisme après son retour sur Terre, mais à 79 ans il reste persuadé que l'exploration de l'espace est essentielle pour l'humanité.

"C'est merveilleux, merveilleux, une désolation magnifique", avait-il lancé après avoir rejoint sur le sol lunaire Neil Armstrong, commandant d'Apollo 11, premier homme à avoir posé le pied sur la Lune le 20 juillet 1969.
Buzz Aldrin avait exploré la Lune pendant deux heures et demie.

Fervent chrétien à l'époque de l'épopée lunaire, il a secrètement communié après l'alunissage du module, utilisant une trousse de communion fournie par son pasteur presbytérien.

Aujourd'hui, il explique que son expérience sur la Lune, combinée à ses déboires personnels, dont deux divorces, ont transformé sa foi, le conduisant à embrasser une spiritualité plus universelle.

Après une dépression nerveuse qu'il attribue à une hérédité familiale et au fait de s'être retrouvé sans structure après avoir quitté la Nasa et l'armée de l'Air trois ans après l'épopée lunaire, Buzz Aldrin s'est ressaisi.

Il a créé la société de conception de moteurs de fusées Starcraft Booster et une fondation, ShareSpace, pour promouvoir un tourisme spatial abordable.

Mais sa mission, explique-t-il, est d'insuffler à la nouvelle génération l'esprit de conquête et d'aventure qui animait les missions Apollo.

Buzz Aldrin peut aussi se montrer impulsif. En 2002, il a frappé le metteur en scène Bart Sibrel qui affirmait que les six missions Apollo étaient une mystification sophistiquée et avait qualifié l'astronaute de "lâche et de menteur".

Bart Sibrel l'a aussi défié de jurer sur la Bible qu'il avait marché sur la Lune.

Né le 20 janvier 1930 à Montclair dans le New Jersey (est), Buzz Aldrin a été formé à la prestigieuse école militaire de West Point dans l'Etat de New York (nord-est).

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wikipédia :
Buzz Aldrin (né Edwin Eugene Aldrin junior le 20 janvier 1930 à Montclair dans le New Jersey), est un astronaute américain. Il fut le deuxième homme à marcher sur la Lune, le 21 juillet 1969, UTC, 15 minutes après Neil Armstrong.

Aldrin étant né en janvier 1930 a marché sur la lune en juillet 1969, et a sombré dans une dépression trois ans après soit en 1972 je peux le rassurer : il ne s'agit pas d'une hérédité familiale mais certainement d'une dépression septennale des 42 ans, donc toute naturelle.
pas trouvé de date pour 2002...
ben si... voilà... et c'est intéressant :-)
car c'est un jour critique émotionnel... le jour des "claques et coups de poing"
(jour doublement critique d'ailleurs physique et émotionnel - P12 et E 15)

"Aldrin sera également harcelé par le conspirationniste Bart Sibrel prétendant que les 6 allunissages d'Apollo de 1969 à 1972 seraient faux. Le 9 septembre 2002, alors que Sibrel demande à Aldrin de jurer sur la Bible qu'il a bien été sur la Lune et que celui-ci refuse, Sibrel le traite de lâche et de menteur. Aldrin lui porte alors un violent coup à la machoire. "
http://www.rr0.org/personne/a/AldrinEdwinE/


septembre 2002
Ve 6
Sa 7
Di 8
Lu 9 P(12) E(15)
Ma 10

(pas trouvé la date de naissance de Sibrel, par contre, pour voir chez lui...)

samedi 18 juillet 2009

violeur pédophile

sueddeutsche.de :

Kind entführt, missbraucht und zurückgebracht
DNS-Spur führt zu Täter

18.07.2009, 14:50

Zwei Tage nach der Tat gibt es ein Geständnis: Ein 27-Jähriger hat in Nieder-Olm ein sieben Jahre altes Mädchen entführt, sexuell missbraucht und wieder zurückgebracht.
DNS-Probe

Anhand einer DNS-Spur überführt: Ein 27-Jähriger hat die Tat gestanden. (Foto: AP)

Es ist der Alptraum aller Eltern: Ein 27 Jahre alter Mann soll in Nieder-Olm bei Mainz eine Siebenjährige nachts aus ihrem Bett entführt, in einen nahen Weinberg geschleppt und missbraucht haben. Ohne dass die schlafenden Eltern etwas bemerken, hat der Täter die Kleine danach am frühen Donnerstagmorgen zurück in ihr Zimmer gebracht.

Nun ist der Mann gefasst. Die Ermittler identifizierten über die DNS-Spur des Täters an dem Opfer einen 27-jährigen Mann und nahmen diesen am Freitag fest. Eine Beziehung zur Familie des Opfers bestand offenbar nicht.

Am Samstag legte er bei der Vorführung vor der Haftrichterin in Mainz ein umfangreiches Geständnis ab, wie die Staatsanwaltschaft mitteilte. Er behauptete, er habe sich am Heimweg entschlossen, in das Haus einzusteigen, um dort einen Diebstahl zu begehen.
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Nachdem er das Mädchen in seinem Zimmer schlafend sah, entführte er es in einen nahen Weinberg und verging sich an ihm. Nach der Tat brachte er sein Opfer zurück. "Dabei wurde offenbar kein Lärm verursacht. Die Eltern glaubten, dass das Kind schläft", sagte der Leiter der 30-köpfigen Sonderkommission "Weinberg", Hartmut Staudt. Das Mädchen hatte sich danach sofort ihrer Mutter anvertraut und wurde im Krankenhaus untersucht.

Die genetischen Daten des Taters lagen vor, weil gegen ihn bereits früher wegen Körperverletzungsdelikten und Einbrüchen ermittelt worden war. Der 27-Jährige zog erst vor kurzem von Norddeutschland nach Nieder-Olm, wie der Leitende Oberstaatsanwalt Klaus Puderbach mitteilte. Eine Beziehung zur Familie des Opfers besteht nach ersten Ermittlungen nicht.

Bei der Festnahme vor einer Spielhalle in Nieder-Olm leistete er keinen Widerstand. Die Staatsanwaltschaft beantragte Haftbefehl wegen schwerer Freiheitsberaubung, schwerer sexueller Nötigung und sexuellem Kindesmissbrauch. Dem Täter drohen zwischen fünf und fünfzehn Jahren Gefängnis.

Bisher gibt es nach Angaben Puderbachs keine Hinweise darauf, dass der Mann weitere ähnliche Straftaten begangen habe. Mitte Juni war ein zehnjähriger Junge von einem mutmaßlichen Kinderschänder aus einer Jugendherberge in Rheine entführt worden. Dem Kind gelang im nahe gelegenen Stadtpark die Flucht.

Ungeklärt sind auch bereits viele Jahre zurückliegende Morde an mehreren Jungen. Einer davon war der neunjährige Dennis aus Osterholz-Scharmbeck, der in der Nacht zum 5. September 2001 aus einem Schullandheim in Wulsbüttel verschwand. Gut zwei Wochen später fand ein Pilzsammler die Leiche des Kindes in der Nähe einer Landstraße im Kreis Rotenburg-Wümme.

(AP/dpa/luw/mati)

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27 ans, l'individu qui a avoué avoir enlevé une fillette de 7 ans qui dormait dans son lit, l'avoir violée puis ramenée chez elle. il a été identifié grâce à son ADN. il prétend s'être introduit dans la maison pour un cambriolage lorsqu'il est tombé sur l'enfant endormie.

drame conjugal

SKCenter :

Beaurainville : Il tue sa femme devant leur fillette de 4 ans

Un homme d'une quarantaine d'années a abattu sa femme d'un coup de fusil de chasse devant leur fillette de 4 ans jeudi à Beaurainville, dans le Pas-de-Calais, sur un parking, avant de retourner l'arme contre lui.

L'homme, gravement atteint à la mâchoire, a été hospitalisé au CHU de Lille, a indiqué le procureur de Boulogne-sur-mer, Jean-Philippe Joubert. Une enquête a été confiée à la gendarmerie.

Les premiers éléments recueillis laissent penser à un drame passionnel. Le couple était en instance de divorce et la victime, qui travaillait comme ambulancière, avait quitté récemment le domicile familial. Son conjoint, cariste, l'attendait jeudi vers 17H30 sur le parking du médecin de Beaurainville, où la femme se rendait avec sa fille pour une consultation. Après l'avoir tuée d'un coup de feu, il a aussitôt retourné l'arme
contre lui.

Le drame est survenu devant des témoins qui ont été entendus par les gendarmes. Les deux filles du couple ont été prises en charge par la famille.

Source : Nord Eclair

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je n'ai pas trouvé pour l'instant, l'âge des personnes ; je suppose cependant que comme très souvent il y a un lien avec la situation en période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires, voire des deux...
beaucoup de couples deviennent "invivables" - souvent s'en suit une séparation - lorsqu'arrive une période critique septennale : si on le sait on peut rectifier le tir et ne pas se faire prendre par ce qui est souvent un mirage momentané.

comme dit ici, sous réserve de la vérification des âges respectifs et de leur lien avec le début du conflit. jour critique émotionnel ?

vieux mais forcené

midilibre.com :

SèteLe GIPN maîtrise un forcené âgé de 83 ans.

Le groupement d’intervention de la police nationale a maîtrisé hier en milieu d’après-midi un homme âgé de 83 ans, retranché chez lui depuis 11 heures du matin. Le vieil homme, habitant un appartement de la Corniche à Sète, n’avait visiblement pas apprécié que son médecin traitant lui impose une hospitalisation. « Si vous faites ça, je vais mettre des coups de fusil partout », aurait-il alors déclaré.

Des menaces prises au sérieux par les forces de l’ordre. D’autant que le témoignage de sa fille permettait de confirmer la présence sur place d’une bouteille de gaz. En quelques minutes, le quartier fut bouclé, les appartements voisins évacués. A 14 heures, cinq spécialistes du GIPN, arrivés de Marseille par hélicoptère, prenaient les choses en main, bientôt rejoints par une
deuxième équipe de sept hommes.

Très rapidement, le GIPN se positionnait dans le couloir menant à l’appartement et sur le toit de l’immeuble. Une première tentative de négociation à travers la porte d’entrée échoua. Et c’est au téléphone que le négociateur du GIPN finit par convaincre le forcené de se rendre. Maîtrisé, il a été conduit à l’hôpital de Sète.

L’impressionnant déploiement de forces n’est pas passé inaperçu, dans un quartier fréquenté par de nombreux vacanciers. « Nous n’avons voulu prendre aucun risque », expliquait après l’intervention le directeur de cabinet du préfet, Marc Devendeuil. La carabine 22 LR du vieil homme a été retrouvé par les policiers au fond d’une armoire. Elle n’était pas chargée.

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les coups de colère peuvent arriver à tout âge, mais la période critique émotionnelle et surtout aussi le jour critique émotionnel, sont des moments lors desquels le risque est bien plus important. ici c'est probablement l'entrée dans la période critique des 84 ans.

jeudi 16 juillet 2009

matricide

mdr.de :
Sohn soll Mutter getötet haben
Nach dem gewaltsamen Tod einer 58 Jahre alten Frau in Heeren steht der 27 Jahre alte Sohn unter dringendem Tatverdacht. Nach dem bisherigen Stand der Ermittlungen habe der Mann seine Mutter am Mittwoch im Streit angegriffen und getötet, so die Staatsanwaltschaft Stendal am Donnerstag.

In Heeren hat sich am Mittwoch ein Familiendrama ereignet.Die Leiche der Frau soll noch am Donnerstag obduziert und Haftbefehl gegen den Sohn beantragt werden. Über die genauen Hintergründe der Tat herrschte am Donnerstag noch Unklarheit. Zu Medienberichten, wonach die 58-Jährige mit einem Messer erstochen wurde, wollte sich die Staatsanwaltschaft nicht äußern.

Nachdem der Mann seine Mutter angegriffen hatte, soll er aus dem Fenster der Wohnung gesprungen sein und sich dabei schwer verletzt haben. Als der Vater nach Hause kam, sei der Sohn in die Wohnung zurück gekehrt und habe auch den 61-Jährigen attackiert. Der 27-Jährige und sein Vater wurden in ein Krankenhaus gebracht.

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ce fils de 27 ans aurait tué sa mère, puis s'est blessé en sautant par la fenêtre. il aurait ensuite également agressé son père qui rentrait à la maison...

Mollah Omar

Mohammad Omar
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Mohammad Omar (en persan محمد عمر), né en 1959, plus connu sous le nom du Mollah Omar, fut le chef des Talibans d'Afghanistan et le chef d'État de facto de ce pays de 1996 à 2001. Il portait dans ses fonctions le titre de Commandeur des Croyants.

Biographie
Né près de Kandahar, dans le village de Nodeh, et appartenant à l'ethnie pachtoune de la tribu Hotak, la branche Gilzaï des Pachtounes, Omar est issu d'un milieu paysan, ce qui influencera beaucoup ses idées.

Durant la guerre soviétique d'Afghanistan, Omar se serait rallié à la résistance, et perd un œil durant un combat. Puis il rejoint les rangs pachtounes du "Parti islamique" ou Hezb-é Islâmî de Yoûnos Khâlès contre le régime de Nadjibullah en 1989-1992.

Après avoir suivi des cours de théologie dans un séminaire deobandi pakistanais à la frontière, il se rend dans un village de la région de Kandahar, Sangesar, pour y fonder une école coranique. Il prend alors le titre de mollah. Au printemps 1994, des villageois se plaignent à lui de l'enlèvement de deux jeunes filles par un chef local. Mollah Omar réunit alors trente étudiants, talibans, armés. Il capture le chef local, à l'aide de ses étudiants et le pend au canon d'un char. Il se sent alors investi d'une mission divine. Le mouvement taliban fait alors son apparition en Afghanistan en 1994 et gagne rapidement du terrain, notamment parmi les populations pachtounes, apparaissant comme une alternative à la guerre civile. En 1996, Kaboul est prise par les talibans et, en 2000, les Talibans contrôlent 90 % du territoire afghan et 95 % des zones de production de l'opium. Ils annoncent officiellement qu'ils taxent la culture du pavot à opium, la production de l'héroïne ainsi que son trafic. En juillet 2000, à la recherche de la sympathie des dirigeants internationaux, il décrète une interdiction de cultiver le pavot, car anti-islamique, alors que le pays était considéré comme premier producteur mondial de pavot à cette date.

Comme chef d'État, le mollah Omar se fait remarquer par sa discrétion, quittant peu sa maison de Kandahar. Il ne se rendit que deux fois à Kaboul, qu'il considérait comme une ville pervertie et occidentalisée. Il ne donne que très peu d'interviews, et on ne possède que très peu de photos de lui. Une des photos censées le représenter, et qui fut un temps utilisée par la presse, puis par la Central Intelligence Agency (CIA) sur des affiches de recherche, représentait en fait une autre personne.

En 2001, il décrète idolâtres les Bouddhas de Bâmiyân et les Talibans les détruisent au moyen d'explosifs et de tirs d'artillerie. En mars 2001, les deux statues avaient disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant une vive émotion de par le monde.

Ayant accueilli les combattants d'Oussama Ben Laden, Omar subit la guerre américaine contre l'Afghanistan en 2001, et perd le contrôle du pays. En octobre 2001, il s'enfuit vers le Pakistan et n'a jamais été retrouvé depuis. Il est connu pour avoir échappé in extremis aux Américains en prenant la fuite sur une petite mobylette.

Il est actuellement recherché par les services secrets américains, qui offrent une récompense de plus de 10 millions USD pour sa capture. Les autorités afghanes tiennent pour certain qu'il réside à Quetta capitale de la province frontalière sudiste du Baloutchistan.

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les vocations et illuminations de toutes sortes prennent pratiquement toujours naissance à l'arrivée d'une période critique septennale :
Mollah Omar étant né en 1959, un simple petit calcul fait apparaître que la mission divine de 1994 c'était la période critique septennale des 35 ans... alors que la rechute de 2001 (destruction des Bouddahs) c'est la période critique septennale des 42 ans...

octogénaire mécontent

canoe.ca :

Celso Gentili, l'octogénaire en fauteuil roulant qui a tiré sur une infirmière dans une résidence pour personnes âgées, a été formellement accusé de tentative de meurtre aujourd'hui au Palais de justice de Montréal.

Une accusation de voies de fait graves a également été déposée. Au total, il fait face à sept chefs d'accusation.

Son enquête sur remise en liberté a été fixée à vendredi.

Les procureurs de la Couronne et de la Défense ont demandé un évaluation psychologique de l'homme.

L'agresseur, un homme de 84 ans, a fait feu sur la femme avec une arme longue, possiblement un fusil de chasse, à l'intérieur des Jardins de l'Aubade.

Tout ça parce qu'il refusait qu'on l'envoie à l'hôpital pour subir des examens.

L'infirmière a été atteinte d'un coup de feu au thorax et transportée à l'hôpital. Elle est maintenant hors de danger.

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il faut se méfier d'une personne en période critique septennale mécontente, même octogénaire : sa perception des choses n'est pas la même et elle n'a momentanément pas de freins...

serial killer

Librairie 3ème oeil :
Le serial killer de Gaffney abattu par la police de Caroline du Sud
Etats-Unis > serial killer, police, vol
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 16 juillet 2009

" Un Américain qui avait abattu cinq personnes la semaine dernière s’est fait abattre à son tour par la police.

La ville de Gaffney en Caroline du Sud respire. Un homme soupçonné d’être un «serial killer» a été tué hier alors qu’il s’apprêtait à commettre un hold-up.

Patrick Burris., 41 ans, est suspecté d’avoir tué cinq personnes de sang-froid en quelques jours. L’homme était activement recherché par les services de police. Il venait de purger sept ans de prison, avant d’être libéré sur parole.

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typique scénario septennal s'il est juste : un serial killer de 41 ans, (entrée dans la période critique des 42 ans) libéré sur parole (apparement vraiment à un mauvais moment puisque début de la période critique) qui venait de purger sept ans de prison (donc juste le septennat depuis la période critique précédente : c'est donc en quelque sorte une récidive en période critique suivante...
mais faudrait plus de détails...

lundi 13 juillet 2009

drame conjugal

Bielertagblatt :
Mann erschiesst getrennt lebende Ehefrau und richtet sich selbst

Im solothurnischen Bettlach hat sich am Montagmorgen ein Familiendrama ereignet. Ein 57-jähriger Mann hat seine 47-jährige Ehefrau erschossen, welche getrennt von dem Mann lebte. Danach richtete sich der Schütze selber. Die Hintergründe der Tat bleiben rätselhaft.

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c'est un mari de 57 ans qui a tué son ex-épouse de 47 ans puis s'est suicidé...
ils sont séparés depuis un an et il y a probablement aussi un lien avec la période critique septennale de l'époux : c'est la période des conflits et séparations si on n'est pas informé...

drame familial

SKCenter :
Une septuagénaire gravement blessée par sa fille : Dix coups de couteau contre sa mère


On ne sait pas encore ce qu'il est passé par la tête de cette Avignonnaise de 49 ans. Mais ce drame familial aurait pu encore plus mal terminer...

Vendredi soir, cette quadragénaire rentre chez sa mère où elle vit avec sa fille dans le quartier Saint-Ruf à Avignon. Il est environ 16 heures, et elle a passé une bonne partie de la journée à boire de l'alcool. Du whisky. Plusieurs verres, selon ses aveux. Lors de sa garde à vue, les policiers relèveront d'ailleurs un taux d'alcoolémie très élevée, plus de 2 grammes...

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si l'on s'intéresse à la période critique septennale on comprend mieux ce qui a pu lui passer par la tête...
alcool aussi, oui... mais c'est aussi un élément qui fait partie de la situation en période critique... on boit encore plus ou on rechute...

dimanche 12 juillet 2009

pyromane

tombé sur un ancien article concernant un pyromane qui a allumé toute une série d'incendies mystérieux à Moirans la Montagne de novembre 1995 à janvier 1996 :
dans ce cas je cherche toujours à trouver la situation de l'intéressé et ici aussi, c'est... 35 ans.



Humanité.fr :
Le fils Raffin a allumé tous les feux
Le neveu d’Annie Raffin, décédée dans l’un des treize incendies survenus dans ce bourg du Jura depuis novembre dernier, devait être mis en examen hier soir. Cet ouvrier de trente-cinq ans était considéré comme un homme « sérieux et travailleur ». Hier, son mobile restait encore inconnu.

UNE affaire de famille ? Pascal Raffin a avoué avoir allumé les quatorze feux survenus à Moirans-en-Montagne, dans le Jura. L’un des incendies avait causé la mort de sa tante, Annie Raffin, et d’un pompier, Gérard David. L’homme devait être mis en examen dans la soirée d’hier par le juge d’instruction Jean-Pierre Berthet. Le Moirantin a également reconnu être à l’origine de quatre incendies à Crenans, un village situé à 3 kilomètres de Moirans. Il pourrait également être l’auteur d’un feu qui a brûlé une maison de Saint-Romain (Jura), une ferme située en face d’un pavillon où loge un membre de la famille Raffin, qui n’était pas en très bons termes avec ses voisins.

Hier, en fin d’après midi, le mobile de l’incendiaire n’avait pas encore été déterminé. La rumeur faisait état d’un différent sur un héritage. La défunte, Annie Raffin, devait en effet récupérer le pavillon de la rue des Cares qu’elle habitait mais qui appartenait en fait à une tante de la famille. Après le décès d’Annie Raffin, la maison devait revenir au frère de cette dernière, Charles Raffin, père de l’auteur des feux.

Reste à savoir si c’est bien cette histoire d’héritage qui a pu pousser Pascal Raffin à commettre ces incendies ou si un autre mobile se cache derrière ces actes. Reste aussi à établir s’il avait prémédité la mort de sa tante. Et à savoir si les autres feux n’étaient qu’une diversion pour masquer l’incendie criminel ou si l’ensemble des sinistres sont le fait d’un pyromane.

Pascal Raffin, trente-cinq ans, n’a jamais quitté le domicile familial, rue des Cares, où plusieurs feux s’étaient déclarés. Il travaillait depuis 1987 pour l’entreprise Millet, spécialisée dans la plasturgie. Depuis deux, trois ans, l’ouvrier avait obtenu un poste dans une annexe de Moirans. Son responsable d’atelier, M. Chevassus, le considérait « comme un ouvrier sérieux et très réservé » et n’a jamais noté chez lui un comportement bizarre. Ses voisins et les Moirantins se sont dit « très surpris » en apprenant ses aveux. Ce célibataire ne participait pas à la vie associative du bourg. On savait simplement qu’il partageait son temps libre entre la pêche et la cueillette des champignons, et qu’il était assez « porté sur la bouteille ». Depuis le début des incendies inexpliqués, l’auteur présumé se montrait très agressif avec la presse et les curieux. Le soir de l’incendie mortel, il avait chassé un journaliste de la presse locale et avait mis en cause EDF dans des propros très violents. Plusieurs avaient constaté qu’il était ivre à ce moment-là.

Un maniaque du briquet

Au cours de l’investigation qui a duré plus d’un mois, les enquêteurs ont suspecté plusieurs personnes d’être à l’origine des sinistres, notamment des riverains se trouvant à proximité des feux lorsqu’ils se déclaraient. L’hypothèse criminelle n’avait jamais été relevée par le juge d’instruction et le procureur de Lons-le-Saunier, qui préféraient travailler discrètement dans cette direction. Le suspect a été interpellé par des gendarmes en civil, fondus dans la foule de curieux débarqués ce week-end. La thèse de la malveillance a été masquée par le va-et-vient incessant d’une kyrielle d’experts scientifiques dépêchés dans les rues des Cares et Roussin. Difficile encore de dire aujourd’hui si leur présence n’était qu’une diversion ou se justifiait pour les besoins de l’enquête. Ces derniers jours, une défaillance du réseau EDF semblait l’une des origines possibles des sinistres, et ce malgré les dénégations des responsables de l’entreprise de service public. Un défaut sur une ligne de 220 volts a été mis à jour lors de l’enquête mais n’a pas eu d’incidence sur le fonctionnement du réseau.

Pascal Raffin a expliqué aux enquêteurs qu’il était passé par l’escalier extérieur pour mettre le feu à la maison de sa tante, alors que les pompiers venaient d’éteindre un premier incendie au sous-sol. Il a précisé également qu’il mettait le feu dans des armoires en allumant un bout de tissu synthétique qu’il glissait dans une manche. Les gendarmes tentent maintenant de corroborer sur les lieux les aveux passés par le suspect et d’établir s’il agissait seul et s’il est bien l’auteur de l’ensemble des incendies. Selon les enquêteurs, Pascal Raffin était un « maniaque du briquet », qui a toujours vécu de manière effacée et qui, de cette manière, a tenté de se mettre en avant.

ANNE CICCO

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comportement de période critique septennale des 35, donc : ailleurs j'ai lu que le mobile de l'intéressé était essentiellement : essayer d'exister... (Téléobs)

Arturo Gatti

Arturo Gatti se trouvait depuis la veille au soir dans son jour critique émotionnel E 22 le jour de son décès...
je n'ai pas trouvé la date de naissance de son épouse qui a fait des aveux, pour voir sa situation... toujours est-il que le jour critique émotionnel est effectivement le jour préféré pour les violences et altercations... mais aussi pour les suicides...

juillet 2009 (15/04/1972)

Me 8
Je 9 P(7)
Ve 10
Sa 11 E(22)
Di 12



édit 31/07/2009 :
Sport.fr :
Gatti s'est probablement suicidé

Le décès d'Arturo Gatti début juillet au Brésil était probablement dû à un suicide, estiment désormais les autorités brésiliennes, qui ont relâché l'épouse de l'ancien boxeur canadien, un temps soupçonnée, annonce jeudi la presse locale.

Arturo Gatti, 37 ans, a été retrouvé mort le 11 juillet, apparemment étranglé avec la bandoulière d'un sac, dans l'appartement qu'il louait avec sa famille dans la ville touristique de Porto de Galinhas, le long de la côte atlantique au sud de Recife.

La police avait arrêté l'épouse de l'ancien champion, soupçonnée d'avoir étranglé Gatti pendant son sommeil au lendemain d'une dispute. Personne d'autre ne semblait être entré dans l'appartement, le cou de Gatti présentait une trace suspecte, et la jeune veuve avait apparemment attendu plusieurs heures avant de prévenir les secours.

Mais selon plusieurs médias brésiliens jeudi, la jeune femme a nié toute responsabilité et assuré qu'elle et son mari faisaient chambre à part cette nuit là en raison de la dispute. La police l'a finalement relâchée, concluant à un probable suicide.

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comme quoi, les aveux de l'épouse dont parlait un article c'est pas çà, mais effectivement on a tendance à plus se suicider son jour critique émotionnel ou à l'arrivée de celui-ci, en raison des pulsions et de la dépression parfois "foudroyante" (comparativement à la dépression septennale) qui peuvent alors survenir.

Michael Jackson

SKCenter :
Le médecin de Jackson cité dans une autre affaire

Le cardiologue personnel de Michael Jackson, Conrad Murray, a déjà été suspecté dans la mort d'un autre patient en 2007

Mais qui est donc le Dr Conrad Murray ? Le cardiologue personnel de Mickael Jackson suscite de nombreuses interrogations quant à son rôle présumé dans le décès du roi de la pop. Suspecté d'avoir administré au chanteur de puissants sédatifs quelques heures avant sa mort, celui qui intéresse de très près la police récuse toujours toute responsabilité.

Mais en se penchant sur son passé, les enquêteurs ont découvert qu'il avait, il y a quelques années, commis une faute professionnelle fatale à l'un de ses patients. Et c'est le site tmz.com, le premier à avoir annoncé la mort de la star, qui en fait le récit.

L'affaire remonte à 2007. Conrad Murray commet une erreur lors d'une intervention chirurgicale. Chargé de poser un drain sur un patient de 67 ans, il lui perfore le coeur au niveau du ventricule droit. Le rapport d'autopsie confirme alors que la maladresse du Dr Murray peut être l'une des quatre causes de la mort du patient. La famille de la victime n'a alors pas les moyens financiers de poursuivre le Dr Murray en justice. L'affaire est classée...

Aujourd'hui, si Conrad Murray est en liberté, il reste dans la ligne de mire du LAPD et du clan Jackson. La famille du roi de la pop, qui avait réclamé une seconde autopsie, dénonce toujours les pratiques douteuses du médecin.

L'avocat de Murray, Edward Chernoff, a, pour sa part, rapporté que son client avait découvert Michael Jackson inanimé dans sa chambre et pratiqué aussitôt un massage cardiaque. L'enregistrement de l'appel d'urgence au 911 a révélé qu'il avait commencé ce massage alors que le chanteur était allongé sur son lit. Une grossière erreur pour un médecin, puisque le massage cardiaque doit être pratiqué sur une surface dure...

Source : Le Parisien




SFGate.com :

Biographical information for Dr. Conrad Murray
By The Associated Press

Friday, July 10, 2009
(07-10) 15:32 PDT , (AP) --

Biographical information for Dr. Conrad Murray, the cardiologist who was Michael Jackson's personal physician:

NAME — Conrad Robert Murray

AGE-BIRTH DATE-LOCATION — 56; February 19, 1953; St. Andrews, Grenada


EXPERIENCE — May-June 2009, Michael Jackson's personal physician. 2000-2009, private medical practice, Las Vegas. 2006-2009, Acres Home Heart And Vascular Institute, Houston.

EDUCATION: 1983, bachelor of science degree, Texas Southern University; 1989, Meharry Medical College, Nashville, Tenn., doctor of medicine. He did additional training at the Mayo Clinic in Minnesota and Loma Linda University Medical Center in California, and had fellowships in interventional cardiology at the University of Arizona Medical Center and University of California, San Diego.

FAMILY: Married, unknown number of children.

QUOTE: "Dr. Murray didn't prescribe or administer anything that should have killed Michael Jackson" _Edward Chernoff, Murray's attorney.

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le médecin personnel de Michael Jackson étant mis en cause par certains, je suis allé regarder où il en est et what a surprise... il a 56 ans le 19 février dernier, donc pleine période critique septennale...

mais en plus...
situation du médecin 25 juin dernier, jour du décès de Jackson :

et la coïncidence que je craignais sans trop y croire... :-)
un jour doublement critique... Physique P19 et émotionnel en E1.


juin 2009 (19/02/1953)
Di 21
Lu 22
Ma 23
Me 24 P(18)
Je 25 P(19)E(1)
Ve 26

cela fait deux "indices" ou "éléments" qui pourraient éventuellement aller dans le sens d'une "moindre efficacité voire plus" la journée du 25 juin 2009 :

- jour doublement critique, physique et émotionnel
- pleine période critique septennale des 56 ans.

samedi 11 juillet 2009

ADN

Figaro.fr :
Un meurtre résolu 6 ans après par l'ADN
AFP
10/07/2009
Les progrès des méthodes d'extraction de l'ADN ont permis de confondre le meurtrier présumé d'une femme dont le corps n'a pu être identifié depuis six ans, a indiqué aujourd'hui le patron de la section de recherches de gendarmerie de Toulouse, le colonel Patrick Bayard."C'est un nouveau mode d'extraction de petits éléments d'ADN, mis au point il y a moins d'un an par un laboratoire bordelais, qui a permis de retrouver sur un lien autour du cou de la victime la trace d'un homme suspecté depuis deux ans", a-t-il précisé.

La section de recherches (SR) avait annoncé hier l'incarcération récente de cet homme et lancé un appel à témoin pour identifier la victime, retrouvée calcinée et en décomposition le 15 juillet 2003.Le corps se trouvait au bord de la Garonne, près d'un chantier d'autoroute à Huos, dans le sud de la Haute-Garonne. Cette femme, entre 36 et 48 ans, mesurant 1m60, était de corpulence moyenne, de type européen, les cheveux châtains et avait une denture très abîmée.

Selon le colonel Bayard, la SR a "multiplié les investigations, allant jusqu'à rechercher une relation avec des crimes commis en Allemagne ou en région parisienne".
Ils ont aussi enquêté sur un homme, âgé de 49 ans à l'époque du meurtre, "ayant un profil psychologique troublant, suivi médicalement et ayant commis des agressions avec tentatives d'homicide et d'incendie des victimes".Finalement interpellé en 2007, il a été mis en examen pour homicide mais laissé en liberté sous contrôle judiciaire faute de preuve matérielle, jusqu'à une nouvelle analyse du lien, concordant avec l'ADN prélevé sur le suspect.

"Il y a deux mois, l'homme a été réentendu par le juge d'instruction à Saint-Gaudens et a été écroué il y a quelques jours". Selon La Dépêche du Midi, l'homme, qui nie, est emprisonné à Tarbes depuis le 19 juin.La gendarmerie recherche toujours à identifier la victime, privilégiant "la piste du milieu marginal et des sans domicile fixe".Toute personne susceptible de fournir des renseignements, sur une Catherine ou Cathy qui mendiait seule à l'été 2003 à Montréjeau (Haute-Garonne), est invitée à contacter le 05.62.25.44.29 ou le mail sr.toulouse@gendarmerie.interieur.gouv.fr.

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tiens comme par hasard l'intéressé avait 49 ans au moment du meurtre...
c'est un élément que je regarde toujours pour avoir une idée de "l'état de la personne au moment des faits"... on peut encore vérifier le jour critique émotionnel de la personne puisqu'il s'agit souvent d'un jour de passage à l'acte. parfois aussi c'est un jour critique physique que l'on trouve : les deux sont jours de pulsions selon la personnalité de l'individu.

tentative de meurtre ?

SKCenter :
Un professeur anglais inculpé pour tentative de meurtre sur un élève de 14 ans

Un professeur de sciences britannique a été inculpé vendredi de tentative de meurtre sur un élève de 14 ans, hospitalisé depuis mercredi dans un état grave pour des blessures à la tête, a indiqué un porte-parole de la police locale.

"Peter Harvey, 49 ans, (...) est accusé de tentative de meurtre sur Jack Waterhouse, 14 ans, à l'école catholique romaine de All Saints mercredi 8 juillet 2009", a indiqué cette source, précisant que l'homme doit comparaître samedi matin devant un tribunal de Mansfield (Nottinghamshire, centre de l'Angleterre) où il sera formellement inculpé.

Jack Waterhouse avait été retrouvé par les services ambulanciers baignant, inconscient, dans une mare de sang sur le seuil d'une salle de classe du département de sciences vers 12H mercredi.

Il se trouvait toujours vendredi dans un état grave dans un hôpital de Nottingham, présentant de graves blessures à la tête.

Selon la presse britannique, plus d'une vingtaine d'élèves se trouvaient dans la salle de classe lorsqu'une dispute aurait éclaté entre l'adolescent et le professeur qui se serait alors saisi d'un poids en métal, utilisé pendant les cours, pour le frapper à la tête.

Source : 7 sur 7

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prudence toujours, à 49 ans... et à 14 aussi... je dis...
on perd facilement les pédales...
voir le jour critique émotionnel aussi... (des deux parties...)

vendredi 10 juillet 2009

Mickael Jackson

Europe1.fr :

Jackson : la police évoque un "homicide" ou une "overdose"

Le chanteur prenait "plus de dix Xanax" par jour, affirment plusieurs médias américains.

La mort de Michael Jackson pourrait être le résultat "d’un homicide" ou "d’une overdose", a affirmé William Bratton, le chef de la police de Los Angeles, interrogé jeudi par la chaîne de télévision CNN.

L’enquêteur a évoqué ces différentes hypothèses, tout en affirmant "attendre les résultats de l’expertise de l’institut médico-légal" sur les causes de la mort du chanteur, le 25 juin, à l’âge de 50 ans. Ces examens prennent, généralement, six semaines.

Plusieurs médias dressent le portrait de Jackson comme un véritable "junkie" des médicaments : "Il prenait chaque nuit plus de dix comprimés de Xanax", un antidépresseur, écrit CNN sur son site internet, se basant sur des saisies effectuées au ranch de Neverland, en 2004, par les enquêteurs du comté de Santa Barbara.

TMZ, le site internet qui a révélé la mort du chanteur, publie, photos à l’appui, le détail de ce document. Selon les témoignages recueillis par les enquêteurs, Michael Jackson demandait à certains de ses employés de se faire prescrire des médicaments qu’il utilisait ensuite.

De son côté, l'institut médico-légal du comté de Los Angeles tente de reconstituer le dossier médical complet du chanteur, éparpillé jusqu’alors auprès de la pléiade de médecins consultés par la star.

Pour y parvenir, il a délivré une série d’assignations, qui concernent également "les dossiers radiologiques et psychiatriques" de Michael Jackson, selon le Los Angeles Times, qui a révélé l’information vendredi.

"Certains des médicaments trouvés dans la maison de Michael Jackson n'étaient accompagnés d'aucune ordonnance et les enquêteurs cherchent à savoir comment il a pu se les procurer", précise le quotidien.

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Michael Joseph Jackson (29 août 1958 - 25 juin 2009),

sa situation biorythmique le 25 juin :

Di 21
Lu 22
Ma 23 P(1)
Me 24 I(17)
Je 25
Ve 26 E(1)

Sa 27
Di 28

dans mon post du 28 juin j'avais envisagé l'overdose sans trop y croire sur le moment (1), mais voilà que çà pourrait se préciser... car effectivement les veilles de jour critique émotionnel sont les jours de suicide ou overdose par suite de prise excessive de médicaments, volontairement ou accidentellement. on peut être en état de grande dépression à l'arrivée de son jour critique émotionnel - il s'agit d'un pic important - ici c'est jeudi soir - E1 est le jour critique le plus fort du cycle émotionnel (de 28 jours) qui en comporte quatre - c'est la raison de nombreux passages à l'acte suicidaires à ce moment là, réussis ou loupés et cela devient alors des tentatives, mais aussi du fait de la dépression particulière on peut avoir tendance à forcer sur la dose de médicaments (ou drogues) ce qui là aussi, peut comporter des suites fatales.



(1) ce qui m'a fait hésiter c'est que c'est arrivé à midi environ... or le pic de pulsions dépressionaires est aux alentours de 18 heures en début de soirée. il n'est cependant pas impossible que la "pression" monte déjà avant, surtout si on est en piteux état.

xénophobe ? pas que...

LeParisien.fr :

L'Allemagne s'interroge après le meurtre xénophobe d'une Egyptienne.

L'Allemagne était en pleine introspection jeudi après le meurtre dans un tribunal d'une Egyptienne enceinte par un Allemand ouvertement xénophobe, qui serait le premier crime islamophobe de l'histoire récente du pays.

Les faits remontent à plus d'une semaine : mercredi, vers 10H20 (08H20 GMT), Marwa El-Sherbini, 31 ans, enceinte de trois mois, vient de témoigner devant le tribunal de Dresde (est), quand l'accusé, identifié comme Alex W. , 28 ans, se jette sur elle et lui assène très vite "18 coups de couteau", selon le parquet.Deux policiers interviennent, mais l'un d'eux se trompe d'agresseur et tire sur le mari de la victime, déjà atteint par le poignard de l'accusé.

Elle meurt peu après, lui est toujours hospitalisé. Leur fils de trois ans a assisté à la scène.
Depuis, Alex W., un Allemand d'origine russe, a été inculpé de meurtre et incarcéré.
Pendant près d'une semaine, la plupart des médias sont restés silencieux. "Pourquoi la mort d?une femme voilée, qui n'a pas été la victime d'un "crime d?honneur", est-elle restée toute une semaine une brève", s'interrogeait jeudi le quotidien de centre-gauche berlinois Der Tagesspiegel. "Est-il possible que cette mort ne cadre pas avec notre façon de penser ?"

Discrétion aussi du côté des politiques : un porte-parole de la chancelière Angela Merkel a attendu mercredi pour indiquer, en réponse à une question au cours d'un point de presse du gouvernement, qu'il s'agissait d'"un acte horrible, qui nous a tous touchés". Il a expliqué avoir manqué de détails pour réagir plus tôt.
Il n'empêche, pour une partie de la communauté musulmane et plus encore en Egypte, la mort de Marwa El-Sherbini est devenue le symbole de l'islamophobie en Europe.
En août 2008, Alex W., manutentionnaire au chômage arrivé en Allemagne en 2003, et cette pharmacienne de formation expatriée avec son mari, chercheur en génétique au prestigieux Institut Max-Planck, sont sur le même terrain de jeux. Elle lui demande de libérer la place sur la balançoire pour son fils. Il répond par des insultes à cette femme voilée : "islamiste", "terroriste", "salope".
La jeune Egyptienne porte plainte, Alex W. est condamné à une amende. Mais le parquet fait appel, car il a déclaré en audience que "ces gens-là" n'étaient pas de "vrais êtres humains".
Le meurtrier est un "xénophobe fanatique", a assuré à l'AFP le porte-parole du parquet de Dresde Christian Avenarius. mais le procureur ignore encore s'il a agi par "islamophobie".
Il n'est pas non plus prouvé pour l'heure que le meurtrier, sans antécédents judiciaires en Allemagne, était sympathisant d'un parti d'extrême droite comme l'ont affirmé certains médias.
Mais pour les quatre organisations représentant la communauté musulmane en Allemagne, il s'agit bien d'un "crime du foulard". Elles ont appelé à "prier pour Marwa" au cours de la prière de ce vendredi. Des manifestations sont aussi prévues ce week-end.
Le secrétaire général du Conseil central des juifs en Allemagne, Stephan Kramer, qui s'est rendu au chevet du mari de Marwa El-Sherbini avec son homologue du Conseil musulman, a lui aussi mis en garde contre "l'islamophobie" et dénoncé le peu de réactions politiques et médiatiques.
"J'ai voulu exprimer ma solidarité parce que j'ai été très surpris que les réactions politiques et médiatiques soient si limitées", a-t-il expliqué à l'AFP. "Tous ceux qui ont affirmé que l'islamophobie était un faux débat ces dernières années ont été désavoués".
Ces dernières années, la construction de mosquées notamment a déclenché de vives polémiques, alimentées par des réseaux proches de l'extrême droite, comme à Cologne (ouest) où a récemment été organisé un congrès "contre l'islamisation".

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xénophobie et crime du foulard... probablement font partie des ingrédients de ce crime. mais est-ce suffisant pour poignarder une femme enceinte de 18 coups de couteau, et devant un Tribunal ?
si on ajoute un autre ingrédient qui est la bombe à retardement avec son détonateur... la période critique septennale des 28 ans... cela s'explique déjà mieux...


la période critique septennale est période de pulsion/désinhibition (1): un ensemble de conditions réunies, qui en temps ordinaire restent "contenues", vont prendre en période critique septennale une allure explosive que la moindre tension supplémentaire va pouvoir faire éclater...
et c'est probablement ce qui est arrivé ici.


si on voulait essayer encore d'illustrer : il peut arriver qu'une personne soit furieuse. si elle se trouve en période critique septennale et qu'elle est tant soit peu instable, elle peut en devenir "folle-furieuse"... mais uniquement durant cette période là.

(1) nous sommes "poussés", mais en plus, nous n'avons plus de freins...
certaines personnes - et cela semble être le cas ici - entrent durant cette période dans le domaine de la psychiatrie.

jeudi 9 juillet 2009

suicide

LeMonde :

Tentative de suicide en garde à vue: un jeune homme dans un état grave dans la Loire
08.07.09 | 00h13




Un homme de 21 ans
a été hospitalisé dans un état grave lundi soir, après une tentative de suicide lors de sa garde-à-vue au commissariat du Chambon-Feugerolles (Loire), a-t-on appris mardi de source policière.

En fin d'après-midi, le pronostic vital était très réservé, a-t-on appris de source judiciaire. Le jeune homme était toujours hospitalisé dans le coma au service des urgences du CHU de Saint-Etienne.

Le jeune homme était en garde-à-vue dans le cadre d'une affaire de tentative d'extorsion de fonds, lundi en fin d'après-midi, lorsqu'il aurait tenté de se pendre dans sa cellule, selon la même source.

Les premiers soins lui ont été prodigués par des fonctionnaires de police, puis par les pompiers et le Samu, avant qu'il ne soit hospitalisé.

L'Inspection générale de la police nationale (IGPN), saisie par le parquet de Saint-Etienne, s'intéresse particulièrement aux matériaux, de type placoplâtre, qui constituaient la cloison de sa cellule.

Endommagée au fil du temps par des coups portés par des gardés-à-vue, la structure alvéolaire de cette cloison aurait permis au jeune homme d'y fixer les deux extrémités d'une bande de toile à matelas avec laquelle il s'est étranglé, précise-t-on de même source.

On ne s'explique pas la raison de son geste, disproportionné si on le rapporte au motif qui avait conduit à sa garde-à-vue depuis le matin même, précise le parquet de Saint-Etienne.

Dans la nuit de mardi à mercredi, peu après minuit, au Chambon-Feugerolle ainsi que dans la commune proche de Firminy (Loire), d'où est originaire le jeune homme, les pompiers sont intervenus pour quatorze feux de véhicules et deux feux de poubelles.

Un dispositif policier a été mis en place sur le lieu de ces incendies.

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geste peut-être perçu comme disproportionné, mais pleine période critique septennale : notre perception des choses peut être très différente.

(l'intéressé est entretemps décédé des suites de sa tentative de suicide)

tentative de suicide

Pipole.net :

La fille de Stevie Wonder, Takiyah Wonder, a été hospitalisée, suite à une tentative de suicide.
Sur sa page Twitter, cette jeune fille de 27 ans, a écrit un message d’adieu, texte qui a finalement a alerté ses proches sur son désarroi.

Une rupture amoureuse serait la cause de cette tentative de suicide.
Les jours de la fille de Stevie Wonder ne sont pas danger, et se remet tout doucement de cette tentative de suicide, a annoncé un porte-parole de la famille.

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27 ans et demi c'est le fameux portail de la période critique des 28 ans. dernier portail de nombreuses célébrités d'ailleurs, mais bien sûr de bien d'autres anonymes aussi... alors attention... la période critique dure jusqu'aux 29 ans et après si elle se passe mal.
pas trouvé la date de naissance pour savoir si elle est passée à l'acte son jour critique émotionnel...

tueur

LeFigaro :
La police abat le tueur qui terrorisait la Caroline du Sud

L'homme de 41 ans qui a tué cinq personnes la semaine dernière venait d'être remis en liberté conditionnelle.


Cinq meurtres en neuf jours dans un rayon de 50 km : une petite communauté rurale de Caroline du Sud a été terrorisée par un tueur en série. Le cauchemar a pris fin lundi, quand le suspect, Patrick Burris, a été abattu dans une fusillade avec la police. La peur fait place à la colère et aux questions : l'homme avait un lourd casier judiciaire et venait d'être mis en liberté conditionnelle.

«Son dossier fait 25 pages», s'indigne Reggie Lloyd, responsable de la police de l'État. «Il faudra que le système judiciaire explique pourquoi cet individu était libre. Nous le devons aux victimes et à la population qui a vécu dans la terreur.»


Deux mètres pour cent kilos

Âgé de 41 ans, Patrick Burris avait été arrêté à plus de trente reprises pour vol, escroquerie et violation de domicile dans plusieurs États, de la Floride au Maryland. Condamné à dix ans de prison en 2001 pour une série de cambriolages, il était sorti en liberté conditionnelle à la fin du mois d'avril, après huit ans derrière les barreaux en Caroline du Nord. «Avec 37 000 prisonniers, on ne peut pas garder tout le monde en prison, déclare Sam Page, un shérif qui avait arrêté Patrick Burris en 1996. Mais celui-là aurait dû y rester.»

Sa stature imposante (près de 2 mètres, une centaine de kilos) lui avait valu le surnom de «Big Country», qu'il avait tatoué sur un bras. Rien n'indique qu'il ait commis des violences dans le passé, encore moins un meurtre, mais Sam Page se souvient que Patrick Burris intimidait ses victimes pour les décourager de porter plainte.


Sans mobile apparent

S'ils s'interrogent encore sur le motif des cinq meurtres (simplement le vol ?), les policiers sont cependant certains que «Big Country» était bien le tueur en série. L'expertise balistique le confirme. L'arme qui a blessé un des policiers qui tentait d'arrêter le suspect est celle qui a été utilisée lors des meurtres. De surcroît, des témoins disent avoir vu Patrick Burris à proximité des lieux de chaque crime et des objets appartenant à la première victime ont été retrouvés en sa possession.

Les habitants de cette région aux confins des Caroline du Sud et du Nord, plus connue pour ses pêches que ses faits-divers, vont donc pouvoir ranger les armes avec lesquelles ils comptaient se défendre. Il reste à cette petite communauté de 50 000 habitants, où tout le monde se connaît, à faire son deuil.

La série noire avait commencé le 27 juin, avec le meurtre d'un fermier âgé de 63 ans. Elle s'était poursuivie le 1er juillet, avec un double meurtre dans un magasin : le commerçant et sa fille, âgée de 15 ans. Les dernières victimes, une femme âgée de 83 ans et sa fille âgée de 50 ans, avaient été tuées le lendemain à leur domicile. C'est l'appel d'une femme, qui avait vu quelqu'un correspondant au signalement du tueur entrer dans une maison à l'abandon, qui a mis fin à la traque. Patrick Burris se trouvait avec deux autres personnes, frère et sœur, qui «faisaient la fête» avec lui depuis plusieurs jours. Ils avaient remarqué que leur compagnon montrait un intérêt soutenu pour les informations sur les meurtres, mais ils n'imaginaient pas qu'il était le tueur recherché par toutes les polices locales.

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aie... "venait d'être mis en liberté conditionnelle"... à 41 ans donc dans un moment à haut risque. dans ce cas cela peut être parfois la seule explication : période tourmentée de l'entrée dans la période critique septennale.

le problème étant que tout le monde ne va pas aller tuer tout le monde lorsqu'il est libéré lors d'une période critique septennale...

il est né du mardi 8/8/1967 : pas trouvé de lien avec la situation des rythmes les jours des crimes, mais il se trouve à un mois de son 42ème anniversaire, et donc pleine période critique septennale, dans laquelle il est entré en janvier 2009.

risques

NordEclair :

Meurtre de Fanny : l'autopsie conclut à une mort causée par un étranglement
Publié le jeudi 09 juillet 2009 à 06h00


Luc Frémiot doit tenir un point-presse cet après-midi à Douai.
L'autopsie pratiquée hier sur le corps de Fanny, 17 ans, disparue à Caudry vendredi avant d'être retrouvée morte dans un puisard, mardi à Awoingt, a conclu à un décès causé par un étranglement.


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Le trentenaire suspecté nie toujours.
Les coups relevés sur le visage de Fanny, 17 ans, dont le cadavre a été trouvé dénudé mardi dans un puisard près du cimetière d'Awoingt, ne sont donc pas la cause du décès de la Caudrésienne. C'est ce qu'a révélé l'autopsie pratiquée hier, qui a conclu à un décès causé par un étranglement.
Les légistes n'ont toutefois pas pu déterminer si la lycéenne a subi des violences sexuelles. « On a effectué des prélèvements, il faudra attendre les résultats pour le savoir », précise le procureur de la République de Douai, Luc Frémiot.


Fanny avait quitté vendredi soir le domicile de ses parents, à Caudry, et n'y était jamais revenue. Sa famille avait alerté les gendarmes dimanche soir.
Le relevé des appels émis par son téléphone a ensuite appris aux gendarmes qu'elle avait contacté pendant sa disparition une de ses connaissances, un homme de 35 ans, avec qui elle ne semblait pas entretenir de relation particulière. « Lorsqu'on l'a interrogé, il a juré ne pas l'avoir vue depuis un moment. Et quand on lui a demandé où était sa voiture, il nous a répondu qu'il ne savait pas. C'est ce qui nous a incités à l'arrêter », explique un enquêteur.
Un garagiste de Cambrai a ensuite révélé avoir été appelé par la mère de l'intéressé, âgée de 65 ans, pour remorquer le véhicule qui était en panne à proximité du cimetière d'Awoingt. C'est ce qui a conduit les gendarmes dans ce secteur, et leur a permis de retrouver la trace de Fanny. Trop tard, malheureusement.
Autre élément accablant : des cachets retrouvés près du lieu de découverte du corps, et qui sont identiques à ceux qui sont prescrits au suspect, traité pour schizophrénie. Malgré ce troublant faisceau d'indices, l'homme nie son implication dans cette affaire : il était toujours en garde à vue hier soir avec sa mère, suspectée de complicité passive.
Des gendarmes spécialisés dans l'étude comportementale sont arrivés hier à Caudry, pour aider les enquêteurs à cerner le profil de l'individu et les guider dans l'orientation des interrogatoires. En vain. Le parquet de Douai doit se prononcer ce matin sur un défèrement alors que les gardes à vue touchent à leur fin.
BRUNO RENOUL

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le trentenaire ayant 35 ans et s'il est schizophrène, j'ai remarqué que les "crises" sont très fréquemment liées aux périodes critiques septennales : cela pourrait aussi être le cas ici...

mercredi 8 juillet 2009

drame conjugal

Gazette de Montpellier :

Le policier maquille le suicide de sa femme pour toucher l'assurance-vie
La victime, également policier, est morte carbonisée dimanche soir sur l'A75

Un brigadier-chef âgé de 28 ans en poste au commissariat central de Montpellier est placé en garde à vue mardi 7 juillet à 22h45 à l'hôtel de police de Sète dans l'enquête sur la mort suspecte de sa femme, brigadier au commissariat de Lattes. Dimanche 5 juillet vers 22h30, la policière âgée de 30 ans est morte carbonisée sur le siège passager de la voiture du couple, garée sur la bande d'arrêt d'urgence de l'A75, près de Clermont-l'Hérault. Après le drame, le mari explique aux gendarmes que le véhicule est tombé subitement en panne, qu'il s'est empressé d'aller installer le triangle de sécurité et qu'il a soudain vu la voiture s'embraser.

Autopsie
Coup de théâtre lors de l'autopsie pratiquée mardi 7. Les légistes contredisent cette version : la victime était déjà morte avant que son corps ne brûle. Entendu par la police judiciaire, désormais saisie par le procureur de Béziers pour présomption de meurtre, le policier explique d'abord que son épouse a avalé dimanche soir une dose importante de médicaments après une dispute conjugale et qu'il ne s'est pas aperçu qu'elle était inanimée dans la voiture, croyant qu'elle dormait. En s'apercevant finalement qu'elle avait fait un malaise, il a décidé de la conduire d'urgence à la clinique la plus proche, celle de Lodève. Mais la voiture serait donc tombée en panne sur l'A75.
Suicide
Durant sa garde à vue, mercredi 8 juillet, le policier avoue finalement avoir volontairement incendié la voiture avec le corps de sa femme à l'intérieur, après qu'elle se soit suicidée par pendaison, au terme d'une énième dispute conjugale dimanche soir, dans le pavillon du couple à Saint-Pargoire, alors que les deux enfants âgés de 7 et 8 ans étaient endormis. Le policier explique avoir maquillé le suicide en accident, afin de percevoir la coquette prime d'assurance-vie, qui n'est pas versée en cas de décès volontaire. Les faits s'étant déroulés à Saint-Pargoire, commune dépendant du tribunal de grande instance de Montpellier, le parquet de Béziers va transmettre jeudi 9 la procédure au procureur de Montpellier qui ouvrira une informationn judiciaire au criminel.

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s'il a 28 ans... c'est une période à risque en cas de mauvais scénario...
c'est un peu avec ce pressentiment que j'avais intitulé drame conjugal :
(continentalnews)
Un policier en exercice au commissariat de Montpellier a été mis en examen jeudi matin pour l'"assassinat" de sa femme dimanche soir. Il a déclaré lundi que sa femme est morte accidentellement dans la nuit de dimanche à lundi. Il a finalement été confondu par les résultats de l'autopsie, a expliqué le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin.

mardi 7 juillet 2009

drame conjugal

LaDépêche.fr :
Il abat sa femme et se suicide
Ariège. Drame conjugal à Montaut sur fond de séparation.

La maison du couple, où s'est déroulé le drame.Un triste fait divers a endeuillé la commune de Montaut en Ariège, dimanche soir. Un homicide volontaire, suivi d'un suicide vient de mettre un terme à l'histoire d'amour d'un couple déchiré par la perspective d'une séparation prochaine.

C'est à l'extérieur du village, sur la route de Gaudiès que les faits se sont déroulés, dans une vieille ferme restaurée entourée d'arbres et de prairies. Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, ont vécu là, dans ce village où ils s'étaient mariés, mais où ils étaient très discrets et peu impliqués dans la vie de la commune.

Le drame s'est noué ici, dimanche entre 20 et 21 heures. L'homme et la femme ont eu une nouvelle altercation, probablement à propos de leur prochaine séparation. C'est à l'extérieur de la maison que Robert Oliveras 58 ans, abat son épouse, âgée de 45 ans d'un coup de fusil de chasse. Et il retourne l'arme contre lui. Le corps de l'épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue sur son siège, d'un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.

C'est un proche qui a donné l'alerte après avoir été prévenu au téléphone par l'auteur présumé des faits, qui lui annonçait avoir abattu son épouse. Les gendarmes de la compagnie de Pamiers se sont rendus sur les lieux, et n'ont pu que constater le décès des deux protagonistes.

Les deux corps vont faire l'objet d'un examen médico-légal, afin de vérifier les constatations premières sur les circonstances matérielles du drame. L'auteur présumé ayant mis fin à ses jours, l'action publique est close.

Robert Oliveras venait de prendre sa retraite, après de longues années passées au sein du Foyer Intergénération de Loumet à Pamiers où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy était employée comme assistante sociale au sein de l'Adapei à Saint-Jean du Falga.

Les deux institutions sont aujourd'hui sous le choc de ce drame.

J.-Ph.C.

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attention aux années septennales... ici si les personnes ont 58 ans et 45 ans : il faudrait étudier de plus près le scénario car ces deux personnes sont "compatibles" et semblent donc avoir leurs périodes critiques en même temps. (56 ans et 42 ans)
les problèmes et vélléités de séparation peuvent avoir démarré à cette occasion et s'être précisés ensuite, pour finir par mener au drame.
il faut alors s'alerter dès le départ, bien en aval : le couple ne marche plus ? y a-t-il période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires ? car cette "période mirage" peut être en cause lors d'une mésentente après de nombreuses années de vie commune... ce qu'il faut vérifier et contre quoi il faut éventuellement mettre en garde et expliquer : on percevra alors les choses différemment.

infanticide

24Hdanslepacifique.com :

Drame familial tragique en Papouasie Nouvelle-Guinée
7 July 2009


Une mère de famille aurait tué ses quatre enfants et a été placée en garde à vue par la police de Mount Hagen dans la région Ouest de la Province des Hauts Plateaux.

The National rapporte que cette femme de 35 ans aurait tué ses deux filles de huit et sept ans, et ses deux garçons de cinq et deux ans et demi. Elle les aurait jetés dans une rivière.

Cette mère de famille se serait enduite rendue à la police après vérification qu’elle avait bel et bien tué ou noyé ses enfants retrouvés par les membres de sa tribu.

L’inspecteur en chef Peter Roari, explique que la femme, qui devra maintenant se soumettre à un examen médical, a déclaré à la police en avoir par-dessus la tête d’un mari qui ne s’occupe jamais de ses enfants et qui prend de la drogue.

Les cas d’infanticide sont très rares et la population locale est sous le choc.

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les infanticides sont rares dans ces populations locales, mais cela peut arriver... pas de frotnières pour la période critique septennale de l'humain. ici la mère a 35 ans.

lundi 6 juillet 2009

drame conjugal

7SUR7 :
Meurtre d'une sexagénaire à Huy: le mari est en aveux
Une dame de 61 ans a été étranglée à l'aide d'une cravate dimanche par son mari, âgé de 63 ans, au domicile du couple, situé au n°5 de la rue Neuve à Huy, a-t-on appris de source judiciaire.

La nuit précédant les faits, la victime est rentrée chez elle, manifestement en état d'ébriété et accompagnée de deux autres personnes. Son mari se serait alors énervé.

Les policiers locaux de Huy se sont rendus sur place pour calmer les belligérants. La sexagénaire est néanmoins repartie avant de regagner son domicile au petit matin.

Excédé par l'attitude de son épouse, le Hutois l'aurait étranglée avant d'appeler les secours. A l'arrivée des pompiers de Huy, la victime était décédée.

Le mari a été interpellé par la police de Huy. En aveux des faits, il était encore entendu dimanche soir par les autorités judiciaires hutoises.

Il devrait être présenté au juge d'instruction lundi matin et inculpé de meurtre. (belga/th)
05/07/09 22h13

jeudi 2 juillet 2009

suicide

nouvelobs :

Le maire de Managua, ancien champion de boxe, retrouvé mort
AP | 01.07.2009 | 15:39
Le maire de Managua Alexis Arguello, ancien champion du monde de boxe, a été retrouvé mort.

Une porte-parole de la présidence Rosario Murillo a confirmé mercredi son décès.

La radio Ya, du Front sandiniste de libération nationale (FSLN) a précisé qu'une autopsie était pratiquée pour déterminer la cause de sa mort.

Opposé aux sandinistes dans les années 1980, Alexis Arguello avait ensuite rejoint les rangs du FSLN et avait été élu, sous ses couleurs, maire de la capitale nicaraguayenne en 2008.

Né en 1952, l'élu était triple champion de boxe. AP

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né le samedi 19 avril 1952, le suicide a eu lieu en jour neutre.
je pense cependant qu'il s'agit d'un suicide lié à une dépression septennale des 56 ans qui s'est mal passée... et mal terminée...

la période critique des 56 ans se termine avec le 57ème anniversaire... sauf si on s'y embourbe : alors elle ne s'arrête pas. d'où l'intérêt de le savoir (çà aide beaucoup car çà explique) en pensant aux périodes critiques en cas de dépression sérieuse.

édit Figaro :
Le maire de Managua, la capitale du Nicaragua, et ancien triple champion du monde de boxe Alexis Argüello s'est suicidé tôt ce matin à son domicile, ont indiqué des médias locaux.Argüello, 57 ans, qui souffrait d'une profonde dépression, se serait tiré une balle dans le coeur selon des radios et des chaînes de télévision locales, qui ont précisé que son corps avait été transporté à l'Institut de médecine légale.

Louise Desnoyers

Canoe :

La sentence est tombée mercredi après-midi au Vermont. Louise Desnoyers écope de 15 ans de prison pour le meurtre non prémédité de son fils, en août 2006.
Lors du prononcé de la sentence, la mère de famille a dit qu'elle voulait mourir.

Le juge a estimé qu'il y avait plusieurs facteurs aggravants dans le dossier de madame Desnoyers, notamment le fait qu'elle avait traversé la frontière pour commettre son crime.

La Québécoise sera par la suite en probation à vie, probation qu'elle pourra purger au Canada.

Il lui sera toutefois interdit d'entrer en contact avec son ex-conjoint ou encore avec son fils aîné pour le reste de ses jours.

Une vingtaine d'ex-collègues de travail de Louise Desnoyers étaient présentes dans la salle d'audience, pour offrir leur support à l'accusée dans cette épreuve. Trois d'entre elles ont témoigné, et une vidéo d'une vingtaine de minutes, traduite en anglais, a été présentée au juge.

Dans cette vidéo, les amies de Louise Desnoyers exprimaient tout leur amour pour elle et la décrivaient comme une bonne mère et une excellente enseignante et amie.

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il est difficile de ne pas punir, mais probablement que punir n'a pas vraiment de sens dans une affaire comme celle-là... ?

Louise Desnoyers a noyé son fils de huit ans à la suite d'une séparation d'avec le père de l'enfant.
la particularité est que cela s'est passé durant la période critique septennale des 49 ans : (jour critique émotionnel à vérifier)...
particularité parce qu'à un autre moment cela ne serait probablement pas arrivé. il y a donc bien cet état psychologique particulier auquel faisait allusion l'intéressée.
si l'on veut tenir compte de l'efet "période critique septennale" et des dépressions et états particuliers qu'elle entraîne il nous faudra inventer quelque chose de nouveau : non pas de circonstances atténuantes puisque l'on reste lucide et maître de soi, sauf que l'on se trouve dans un état particulier qui à la limite peut nous rendre encore plus efficaces dans un scénario dramatique (toujours pulsions/désinhibitions présentes à ce moment là et pas à un autre)...

mercredi 1 juillet 2009

incendie mortel

metro :
Incendie d’Asnières : garde à vue prolongée

La garde à vue d’un occupant de l’immeuble d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), où un violent incendie a fait six morts, mardi matin, a été prolongée hier.

L’homme a expliqué aux enquêteurs qu’il s’était réveillé vers six heures du matin et que c’est en secouant son matelas que des flammes étaient apparues, alors que le feu couvait déjà.

Habitant au 1er étage, il aurait alors ouvert sa fenêtre, ce qui pourrait avoir augmenté la force de l’incendie par un appel d’air. Il a aussi reconnu avoir jeté son matelas à travers la cage d’escalier de l’immeuble, accélérant la propagation du feu vers les autres étages.

Le procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye, avait expliqué mardi que “le feu aurait pu naître à cause d’une couverture qui [se serait] embrasée, peut-être en raison d’une cigarette mal éteinte.”

En liberté conditionnelle
Placé en garde à vue pour “homicide involontaire”, l’homme, âgé de 35 ans, est en liberté conditionnelle depuis janvier 2008. Il avait été placé dans l’immeuble, un hôtel meublé, par une association d’aide à la réinsertion d’anciens détenus, selon une source proche de l’enquête.

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bizarrement si elle a 35 ans c'est une personne en pleine période critique septennale...

poignardé à mort au tribunal

Tribune de Genève :
L'accusé poignarde la témoin au tribunal
Dresde | Un accusé a poignardé ce mercredi une femme témoin de 32 ans, qui a succombé à ses blessures, dans une salle d’audience d’un tribunal de Dresde (est de l’Allemagne), ont annoncé la police et le parquet.

Plusieurs autres personnes ont été blessées, ont-ils précisé. L’auteur des faits, âgé de 28 ans, qui a été maîtrisé, est en cours d’interrogatoire.

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apparemment un déséquilibré de la période critique septennale, car il semblait s'agir, d'après les médias allemands, d'un simple différend entre deux personnes sur un terrain de jeux pour enfants. une altercation au sujet d'une histoire de balançoire !
l'article ci-dessous décrit bien l'aspect inattendu et imprévisible d'un tel geste, pour une banale dispute comme il s'en déroule quotidiennement...

jour critique émotionnel ?


Spiegel.de :

"Wir stehen alle unter Schock"
Der Angriff erfolgte ohne Vorwarnung
- im Landgericht Dresden hat ein Angeklagter eine Zeugin erstochen. In dem Berufungsverfahren ging es um eine Beleidigung, der Anlass: eine Auseinandersetzung auf einem Spielplatz, bei der vor Monaten böse Worte gefallen waren.

Eigentlich ging es an diesem Mittwoch um nicht viel. Bereits Ende 2008 war der Angeklagte vom Amtsgericht Dresden wegen Beleidigung zu einer Geldstrafe verurteilt worden. In dem Berufungsverfahren stand nun nur noch die Höhe der zu zahlenden Strafe zur Debatte. Alltag in deutschen Gerichten. Doch die Sitzung am Landgericht am Sachsenplatz endete mit einer Katastrophe.

Um kurz vor halb elf griff der Angeklagte eine Zeugin mit einem Messer an. Richter, Anwälte, der Mann der Zeugin sowie mehrere Kinder mussten mit ansehen, wie er die Frau verletzte. Der Täter stach so heftig zu, dass die 32-Jährige wenig später im Gerichtsgebäude ihren schweren Verletzungen erlag. Um 10.26 Uhr erreichte der Notruf die Dresdner Rettungsleitstelle, doch auch die vier Notärzte konnten die junge Frau nicht mehr retten.

"Es gab keinerlei Anzeichen für einen Gewaltausbruch"

Bei dem Versuch, den 28-Jährigen zu überwältigen,
löste sich nach Angaben der Polizei ein Schuss aus der Waffe eines Beamten. Zwei Personen wurden verletzt - um wen es sich dabei handelt, wurde zunächst nicht bekanntgegeben. Aus Justizkreisen hieß es, auch der Ehemann des Opfers sei verletzt worden. "Wir stehen alle unter Schock", sagte der Sprecher der Staatsanwaltschaft Dresden, Christian Avenarius. Der Vorfall sei bislang ohne Beispiel an sächsischen Gerichten.

Was nun in einem Blutbad endete, hatte einst auf einem Spielplatz in Dresden seinen Anfang genommen: Im August 2008 hatte der gebürtige Russe die Frau, die er nun tötete, am Rande der Spielgeräte massiv beleidigt.

Dem Ende 2008 gefällten Urteil zufolge beschimpfte der damals arbeitslose Lagerarbeiter die aus Ägypten stammende Frau unter anderem als Terroristin. Der 28-Jährige war damals mit dem Kind seiner Schwester auf dem Spielplatz, die Frau war mit dem eigenen Kind dort. Sie hatte ihn damals gebeten, eine Schaukel, auf der er saß, für ihr Kind freizugeben. Daraufhin rastete er aus und beschimpfte die Frau.

Das Dresdner Amtsgericht verurteilte den Mann wegen der Beleidigung im November 2008 zu einer Geldstrafe - in dem nun verhandelten Berufungsverfahren ging es um die Höhe der Strafe. Unvermittelt stach der Angeklagte an diesem Vormittag auf die Zeugin ein.

Die Sprecherin des Landgerichts, Bettina Garmann, sagte, das Geschehen sei für alle noch unfassbar. Niemand habe damit rechnen können, dass es zu einer solchen Tat kommen könnte. "Es gab keinerlei Anzeichen für einen solchen Gewaltausbruch." Sie verwies darauf, dass der Mann nicht aus der Haft vorgeführt worden sei. Deswegen seien zum Tatzeitpunkt auch keine Sicherheitskräfte im Saal gewesen. Es habe auch keine Eingangskontrollen gegeben.

Es sei zwar Alltag, dass man mit solchen Übergriffen rechnen müsse, sagte Staatsanwaltschaftssprecher Avenarius, "aber so etwas ist uns bislang erspart geblieben".

"Unser Mitgefühl ist bei den Angehörigen", sagte Sachsens Justizminister Geert Mackenroth, CDU. Er reagierte mit Bestürzung auf den tragischen Ausgang eines eher banalen Verfahrens. Den Familien der Opfer sprach er sein tiefes Mitgefühl aus.

han/doa/AP/AFP