jeudi 30 avril 2009

"connerie" septennale

LePays.fr :
Vieux-Charmont : il tente d’étrangler son épouse malade et se pend

Un drame de la maladie d’Alzheimer s’est déroulé, mardi soir, à Vieux-Charmont, où un septuagénaire qui venait d’apprendre que son épouse âgée de 78 ans était atteinte de la maladie d’Alzheimer a tenté de l’étrangler avant d’aller se pendre.

Terrible fléau, que la maladie d’Alzheimer, qui laisse bien des familles désemparées et qui génère bien des drames. Et tout indique, tant d’après la police chargée de l’enquête, que de la part de M.Jean-Marc Gervason, vice-procureur de la République de Montbéliard, que le drame qui s’est déroulé, mardi soir, à Vieux-Charmont est imputable à cette maladie. Il est 21 h 15 lorsque le commissariat de Montbéliard reçoit un appel de détresse de la part d’une dame et son mari qui se trouvent sur les lieux du drame, rue de la Promenade, dans le quartier des Dornorts, à Vieux-Charmont.

Terrible découverte

Dans le pavillon de leurs oncle et tante, situé au bout de la rue, dans ce coin paisible limitrophe de Nommay, face au cimetière de la localité, le couple de neveux vient de découvrir leur tante inconsciente, agonisante sur son lit.
Elle a manifestement été victime d’une tentative de strangulation au moyen d’une cordelette. Prise en charge par le Smur, elle est aussitôt évacuée sur le centre hospitalier. La nièce de la vieille dame âgée de 78 ans s’inquiète beaucoup du sort de son oncle, âgé de 77 ans. Elle révèle aux policiers qu’elle craint le pire, car son oncle lui a téléphoné vers 20 h alors qu’elle se trouvait à son domicile, à Bavans. « Viens vite, j’ai fait une connerie ! », a juste crié son parent. Elle sait que son oncle et sa tante n’ont pas d’enfant et qu’elle est leur seule famille proche. Avec son mari, elle se précipite à Vieux-Charmont. Le pavillon est fermé mais pas à clé.
Elle entre et fait la terrible découverte de sa tante. L’oncle a disparu. La police et les secouristes entament des recherches. Une heure et demie plus tard, vers 22 h 30, ils font une bien macabre découverte : le corps de l’oncle gît au bout d’une corde, pendu à un arbre dans le jardin de son voisin. « D’après les médecins, l’oncle s’est donné la mort probablement juste après avoir téléphoné à sa nièce », rapporte le capitaine Vincent Marcel qui supervise l’enquête ordonnée par le parquet.

Vivante, mais dans un état critique

Le vice-procureur qui s’est rendu sur place a engagé une double procédure : une première pour tentative d’homicide, avec extinction de l’action publique, l’auteur présumé étant décédé. La seconde pour déterminer les circonstances exactes du décès de l’oncle. « Mais les conclusions ne semblent faire aucun doute », souligne l’officier de police.
D’après les premiers témoignages recueillis auprès de la nièce bouleversée, le couple, très discret et qui se confiait peu avait appris récemment le diagnostic des médecins concernant la vieille dame. Celle-ci était suivie depuis quelques mois. Récemment, elle avait bénéficié d’un scanner et tout laisse à penser que l’oncle a intercepté le courrier de l’hôpital révélant la sombre réalité de la maladie.
Le pronostic sans issue l’a sans doute convaincu d’abréger la redoutable échéance.
Et c’est sans doute persuadé que son épouse reposait désormais en paix, qu’il a mis fin à ses jours. Il ne saura jamais que son épouse a survécu. Elle se trouvait toujours dans un état jugé critique par les médecins, hier soir, à l’hôpital André Boulloche de Montbéliard.

José Gonzalvez

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pas seulement Alzheimer... même à 77 ans, la période critique peut nous entraîner à faire de graves "conneries" : nous chaussons nos lunettes noires et ne percevons plus que les côtés négatifs d'une situation. un vrai mirage auquel on devrait pouvoir parer en tenant compte du phénomène puisqu'on le connaît à l'avance... avec la théorie des périodes critiques septennales et du jour critique émotionnel (au fait natif du mercredi le grand-père ? voir aussi si la dame était mal ou subitement plus mal, depuis sa période critique des 77 ans - soit 76 et demi - vu plusieurs cas) il nous faut apprendre à connaître les périodes à risque, ce qui est très facile puisqu'il s'agit d'un simple calendrier, et ensuite apprendre à déceler les symptômes qui annoncent une période difficile, un changement d'humeur, de comportement, une dépression (une dépression septennale est particulièrement "à risque"), etc... bien sûr tout cela n'est pas systématique ni généralisé, mais ceux à qui çà arrive peuvent être en danger... et leur entourage aussi...

drame familial

Österreich
Zwei Tote bei Familiendrama
Klagenfurt (RPO). Bei einem Familiendrama im österreichischen Kärnten sind zwei Menschen getötet worden. Die Polizei fand in einem Haus in der Ortschaft Gödersdorf am Donnerstag die Leichen zweier Männer, wie die österreichische Nachrichtenagentur APA berichtete. Nach kurzer Fahndung nahmen die Ermittler einen 35-jährigen Mann fest, der verdächtigt wird, seinen Vater und seinen Onkel getötet zu haben. Der 35-Jährige soll vor der Tat mit einem Gewehr in ein Lokal gestürmt sein und um sich geschlagen haben.

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un homme de 35 ans aurait tué son père et son oncle dans un accès de fureur ou un coup de folie...

infraction mortelle

nouvelobs :

Un policier se tue après une course-poursuite avec ses collègues
AP | 30.04.2009 | 11:51
Un policier en civil s'est tué dans un accident de moto jeudi matin à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) alors qu'il était poursuivi par des collègues, a-t-on appris de source policière.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le motard aurait grillé un feu rouge jeudi à 6h du matin au niveau de la Porte de la Chapelle, dans le nord de Paris, et aurait refusé de se laisser contrôler. "Il n'avait pas le comportement d'une personne ivre", indique une source policière.

Au guidon d'une Kawasaki 750, l'homme s'est enfui, poursuivi sur l'autoroute A1 par un véhicule Mondeo de la Brigade anticriminalité (BAC) de Paris. Quelques minutes après, il prenait la sortie Pierrefitte-sur-Seine. Au bout de quelques centaines de mètres, il perdait le contrôle de son deux-roues dans une courbe, traversait un terre-plein central et allait percuter une automobile qui arrivait en face avant de finir sa course dans un poteau.

Agé de 35 ans, le motard était un gardien de la paix de la Direction centrale de la police aux frontières (PAF), affecté à la gare du Nord. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du drame. AP

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brûler un feu, se faire poursuivre, ne pas vouloir se faire contrôler, se tuer en risquant d'en tuer d'autres au passage, tout cela alors qu'on est policier...

cherchez le moteur : période critique septennale des 35 ans...


la période critique septennale est une "période à risque", lors de laquelle on est "différent" et nos critères, notre façon d'estimer les choses sont modifiés. c'est la fameuse désinhibition de la période critique septennale ou du jour critique émotionnel.
"Il n'avait pas le comportement d'une personne ivre", indique une source policière.

la comparaison est intéressante car l'ivresse de la période critique septennale ou du jour critique émotionnel est une ivresse... sans alcool...

fratricide

L'Union-L'Ardennais :

Chea Sok, l'auteur du fratricide, est-il fou ?

Chea Sok, est-il malade au point d'être déclaré irresponsable pénalement du meurtre de son propre frère ? La justice s'interroge.

Difficile de savoir ce qui s'est passé dans la tête de Chea Sok, lundi vers minuit trente, lorsqu'il a été cherché un couteau dans la cuisine avant de se rendre dans la chambre de son frère handicapé, Vy, 41 ans. Il a alors poignardé froidement celui qui « l'agaçait », selon ses propres termes, qu'il considérait comme « un porc qui urinait constamment sur lui ».
Un seul coup de couteau, en plein cœur. Aux policiers qui ont investi ce grand appartement du 8 bis place des Frères-Lumière, juste après le coup de couteau mortel, il a immédiatement avoué son crime. (l'union du 28 avril)
Psychotique, schizophrène…
Problème, Chea Sok, est suivi depuis plusieurs années, pour troubles psychiques, ce qui lui a d'ailleurs valu plusieurs séjours à l'hôpital spécialisé de Prémontré.
Lors de ses auditions, il a indiqué avoir agi parce qu'il ne supportait plus l'état de santé grabataire de son frère : non pour mettre un terme à ses souffrances mais bel et bien pour avoir la paix.
Lors de la garde à vue, un psychiatre a été appelé. Celui-ci après avoir examiné le meurtrier présumé, lundi soir, a conclu à des troubles psychiatriques ayant alterné son discernement. A ce moment précis, Chea Sok est donc, pour la justice, accessible à une sanction pénale. Le problème, c'est que ce même médecin a le lendemain, changé d'avis. « Au départ, psychotique, Chea Sok serait finalement schizophrène », indique-t-on au parquet. Dans le jargon judiciaire : « Son discernement était au moment des faits totalement aboli. » En clair, il serait donc irresponsable pénalement du meurtre de son frère.
« Je ne veux pas d'un simulacre de procès où après plusieurs jours de débats aux Assises, les jurés sont obligés de conclure

à l'irresponsabilité pénale, indique clairement la Substitut Laure Camus. D'après ses déclarations, il était tout à fait conscient de ce qu'il était en train de faire. Ce qui me gène aussi, c'est que ce psychiatre n'est pas un expert judiciaire mandaté par la cour d'Appel. Il y a un homme qui est mort. Il est important de s'assurer précisément de la santé mentale de son présumé meurtrier ».
Chea Sok, a été déféré hier, vers 16 heures au parquet de Laon. Laure Camus a ouvert une information judiciaire. Le juge d'instruction a ensuite mis en examen le présumé meurtrier, d'homicide volontaire aggravé car commis sur personne vulnérable.
Un danger pour lui-même et les autres
A l'issue, Chea Sok, devait ensuite passer devant le juge des libertés et de la détention. Une chose est sûre, il ne devait pas hier soir, retrouvé la liberté. Un arrêté d'hospitalisation d'office devait être pris par la préfecture de l'Aisne. A la sortie du tribunal, Chea Sok, devait ainsi être emmené à l'hôpital psychiatrique de Prémontré.
Selon la procédure, à son arrivée, un deuxième médecin psychiatre devait l'examiner. S'il devait alors arriver à d'autres conclusions que celles du premier psychiatre : c'est-à-dire qu'il juge finalement que l'état de santé mentale de Chea ne nécessite pas une hospitalisation en milieu fermé. Il devait alors être emmené en prison. « J'ai demandé par précaution, un mandat de dépôt. Je ne peux pas laisser un tel individu, dangereux pour lui-même et les autres, en liberté. » Prochainement, le juge d'instruction devrait ordonner une double expertise psychiatrique afin de préciser clairement l'état de santé mentale de Chea Sok. Pour un policier, « une longue bataille d'experts commence.

»Aurélie BEAUSSART

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comme souvent, des indices intéressants ici également : l'auteur du crime a 32 ans mais est soigné depuis plusieurs années pour des troubles psychiques... serait-ce depuis l'entrée dans sa période critique septennale à 27 ans et demi environ ?
ensuite son agression a l'air d'être le fait d'un grand coup de colère, de rage : or si cela arrive, cela arrive de préférence le jour critique émotionnel. Chea est-il un natif du mardi (si c'est arrivé dans la nuit de lundi à mardi)?

le frère Vy a 41 ans et se trouvait peut-être, s'il a autour de 41 ans et demi, à l'entrée de sa période critique septennale des 42 ans : cela peut le rendre insupportable voire infernal. il peut aussi se trouver dans un jour critique émotionnel qui peut aussi le rendre plus difficile... n'est-il pas dit : "il a indiqué avoir agi parce qu'il ne supportait plus l'état de santé grabataire de son frère : non pour mettre un terme à ses souffrances mais bel et bien pour avoir la paix"

donc autant d'éléments faciles à vérifier et qui permettraient éventuellement de comprendre un peu mieux ce qui a pu se passer...

kim de gelder

SKCenter :
De Gelder a peur d'être tué s'il sort

Elza Van Raemdonck a été assassiné dans sa maison.Kim De Gelder ne s'est pas présenté vendredi passé à la reconstitution du meurtre d'Elza Van Ramedonck.
Le suspect dit avoir peur d'être "assassiné s'il sort dehors", selon un membre de sa famille cité par le parquet, peut-on lire dans Het Laatste Nieuws.

D'après le veuf d'Elza, Jef Heyrman, sa famille de même que diverses sources policières ont confirmé aux journalistes que le juge d'instruction était prêt pour la reconstitution en présence de De Gelder. Le parquet n'a pas fait de commentaires

Source : 7 sur 7

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le vendredi n'est peut-être pas le meilleur jour de Kim de Gelder : je ne connais pas sa date de naissance mais ce pourrait être son jour critique émotionnel. il a assassiné la vielle dame ce jour là, il a tué les bébés dans la crèche ce jour là et une fois en prison il a déliré et entendu des voix le vendredi qui suit...

vendredi 16 janvier : meurtre d'une agricultrice
vendredi 23 janvier : crèche de Termonde
vendredi 20 février : il entend de nouveau des voix

suicide

zoom43.fr :
On l'a appris ce mercredi 29 avril, un jeune technicien du site de Michelin à Clermont-Ferrand s'est suicidé en novembre dernier sur son lieu de travail. Le dessinateur projeteur de 27 ans s'est jeté dans la cage d'escalier. Les élus du Comité Hygiène et Sécurité ont mené l'enquête. Pour eux, le jeune homme souffrait bien de pression sur son lieu de travail. Pas de déclaration de la direction de Michelin pour l'instant. Elle attend les conclusions de l'enquête de police et de l'inspection du travail. A Blavozy, les syndicats s'inquiètent des risques de sécurité médicaco-sociale. La CGT a contacté la médecine du travail pour interpeller la direction.

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période fragile à 27 ans : c'est à 27 ans et demi qu'arrive l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans.

drame familial

LeFigaro.fr :

Seine-Maritime/drame familial : 3 morts
AFP
29/04/2009 | Trois personnes d'une même famille ont été retrouvées mortes hier à la suite vraisemblablement d'un drame familial dans la petite commune de Fontaine-le-Bourg, au nord de Rouen, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. L'alerte a été donnée hier matin par des proches qui s'inquiétaient devant les volets clos du pavillon familial.

A l'intérieur, les secours ont découvert les corps de Charlotte Naslet, 16 ans, morte étouffée, celui de sa mère, Catherine, 51 ans, tuée par arme à feu, et celui du père Francis, 57 ans, lui aussi tué par arme à feu.

Selon les premières constatations, le père aurait tué sa fille et sa femme, avant de retourner son arme contre lui. Le chien de la famille a aussi été retrouvé abattu.

D'après les premiers éléments de l'enquête, la famille était discrète et sans histoire, mais le père souffrait d'une maladie grave. Aucune lettre ou élément d'explication n'ont été retrouvé sur place.

L'enquête a été confiée au parquet de Rouen.

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il serait intéressant de savoir s'il y a un lien (je le pense très probable) avec l'entrée dans la période critique septennale du père (à 55 ans et demi pour la période des 56 ans) et sa "maladie grave"...


édit : sur SKCenter d'autres précisions :
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Craignant que l'homme, âgé de 57 ans, marbrier dans une entreprise de pompes funèbres et en arrêt maladie depuis huit ans, se soit retranché chez lui et qu'il ait pris en otages sa femme de 51 ans et leur fille, les gendarmes se préparent au pire. Et en entrant dans la maison, ils découvrent une tragédie : trois corps sans vie, et le cadavre d'un chien.
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Pourquoi un tel geste ? Patrick Jolly, le maire de la commune, réfléchit : « Il avait depuis cinq ans un cancer du colon et avait été opéré. Hier, mercredi, il avait rendez-vous à l'hôpital pour une consultation. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Il y a des gens qui disjonctent, c'est triste. Cette famille était vraiment sans histoire ». La mère de l'épouse et les frères de cette dernière - ils habitent aussi le hameau - ont été entendus hier par les enquêteurs. A priori, personne n'a entendu de coup de feu. Rien. Les autopsies doivent être pratiquées dès aujourd'hui pour déterminer les causes de la mort. Les deux femmes ont-elle été tuées avec la même arme ? Ce fusil a-t-il aussi servi au suicide ? Les investigations le diront.

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je ne m'étais trompé qu'à moitié : ce n'est pas la période critique des 56 ans qui est en cause - enfin elle doit certainement l'être en tant que déclencheur comme souvent le sont les périodes critiques - mais la période précédente puisque l'intéressé est en arrêt maladie depuis huit ans soit sa période critique septennale des 49 ans.
c'est l'un des scénarios possibles lors duquel le mal prend départ à l'arrivée d'une période critique et que l'on ne s'en sort plus : la périodes critique des 49 ans s'arrête à 50 ans... et le fait de connaître le fonctionnement du cycle émotionnel septennal peut éviter de s'enliser dans la dépression puis la maladie et de ne plus en sortir alors qu'il y a un portail de sortie prévu pour cela. mais chaque cas étant particulier il faudrait connaître le détail de la chronologie pour ces personnes...

mercredi 29 avril 2009

Geneviève Lhermitte

3ème oeil :

Geneviève Lhermitte, qui a tué ses 5 enfants, exige un nouveau procès

" La Cour de cassation dira le 6 mai si Geneviève Lhermitte, la mère meurtrière de ses 5 enfants, a droit à un nouveau procès devant une cour d'assises, comme elle l'a demandé avec force et en pleur, ce matin, devant les magistrats de la plus haute juridiction du pays.

Les avocats de Geneviève Lhermitte ont invoqué neuf moyens de cassation, des anomalies de procédure qui devraient, selon eux, entraîner l'anéantissement de l'arrêt la condamnant à la réclusion criminelle à perpétuité, prononcé par la cour d'assises du Brabant wallon le 18 décembre 2008. Ils ont notamment invoqué l'absence de motivations suffisantes de l'arrêt de condamnation. Ils ont reproché à l'arrêt d'avoir répondu, en une seule question, aux meurtres des 5 enfants ; estimant qu'une question distincte aurait dû être posée pour chacun des homicides.

L'avocat général Vandermeersch, tout en repoussant les neuf moyens soulevés, a néanmoins laissé à la Cour la latitude d'interpréter à son gré l'arrêt Taxquet, prononcé le 13 janvier dernier par la Cour européenne des droits de l'Homme de Strasbourg. Cet arrêt considérait que les arrêts de cours d'assises belges contrevenaient au principe du procès équitable et du respect des droits de la défense, en ce que les décisions du jury ne devaient pas être motivées.

Le président Jean de Codt a donné la parole à Geneviève Lhermitte.

La condamnée était arrivée sous forte escorte policière dans la salle d'audience. Porteuse d'un pantalon noir, d'une veste grise mouchetée et d'un chemisier blanc, elle était demeurée, durant tous les débats debout, agitée de tremblements qui lui secouaient le dos. « Je veux un nouveau procès » a-t-elle crié. « Je veux la vérité ! ». Elle a une nouvelle fois expliqué toute sa détresse. Elle a à nouveau accusé le Dr Schaar et son mari Bouchaïb Moqadem, un « fainéant », de l'avoir poussée à bout. « Je n'ai pas fait une tentative de suicide. J'ai raté mon suicide », a-t-elle sangloté. « Chaque jour, j'embrasse les photos de mes enfants ». "

MARC METDEPENNINGEN

Source : LE SOIR 29 avril 2009

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Geneviève Lhermitte est née le mercredi 16 novembre 1966.
je ne sais pas si c'est une coïncidence, mais elle a de fortes chances de "craquer" si on l'amène devant le Tribunal un mercredi. çà lui est d'ailleurs déjà arrivé au cours du procès : mercredi est son jour critique émotionnel.

c'est aussi un mercredi qu'elle a tué ses enfants, et c'est la veille de ce mercredi, deux fois de suite parce qu'elle sentait arriver son mercredi... qu'elle a contacté son psy parce qu'elle était désespérée. (le jour critique émotionnel démarre la veille au soir)

alors aujourd'hui c'est à nouveau mercredi ce qui explique probablement ses pleurs et tremblements... et sa détresse...

à 42 ans et 5 mois elle se trouve aussi en pleine période critique septennale.

drame conjugal

SKCenter :

VILLEFONTAINE
Un septuagénaire égorge son épouse à l'heure du déjeuner


« Il y a des flaques de sang partout. Il l'a tuée... » Un voisin de palier du couple Touati, domicilié au premier étage du bâtiment D3 du quartier des Etourneaux, est encore sous le choc. Rapidement alertés par l'un des fils de la victime, sapeurs-pompiers de Saint-Quentin-Fallavier et Samu de Bourgoin-Jallieu ne peuvent strictement rien faire pour ramener à la vie Khedidja Touati, une femme de 64 ans et mère de trois grands enfants. La gorge tranchée, elle gît sans vie sur le carrelage de la salle à manger.

« Vers 13 h 30, j'ai traversé la pelouse, elle m'a fait un signe de la main. Elle était à la fenêtre... Tout semblait aller », raconte cette voisine d'un immeuble d'en face. Car ici, aux Étourneaux, tout le monde se connaît. D'ailleurs, les Touati, un couple de retraités, s'étaient installés là il y a une bonne vingtaine d'années. Vers 13 h 45, l'un des fils cadets du couple rejoint le domicile après une matinée de travail. Il grimpe les escaliers menant au palier du premier étage. C'est là, à la porte de l'appartement familial, qu'il croise son père. Celui-ci s'habille pour s'en aller. En franchissant la porte, le fils fait alors la macabre découverte.

Le mari se rend à la brigade de gendarmerie pour se constituer prisonnier
Alors que secours et gendarmes de Villefontaine se rendent très rapidement sur les lieux, un homme de 70 ans se présente à la brigade de gendarmerie de Villefontaine. Abdel-Madjid Touati annonce aux gendarmes qu'il vient d'égorger son épouse. Il est aussitôt placé en garde à vue.

Dans l'attente des techniciens en identification criminelle de Grenoble, les gendarmes gèlent les lieux. D'après les premières constatations relevées par les enquêteurs de la brigade de recherches de Bourgoin-Jallieu, en présence du capitaine Aranda, commandant de la compagnie berjallienne, et de son adjoint le capitaine Cugier, l'appartement porte les stigmates d'une rare violence. De la vaisselle cassée jonche le sol de la cuisine, une porte défoncée, la table du salon brisée, des radiateurs arrachés des murs. C'est dire dans quelle furie le mari, maçon à la retraite, serait entré avant de porter les coups fatals à son épouse. L'arme, un couteau de cuisine ensanglanté, a d'ailleurs été retrouvée dans l'appartement. « Ces derniers temps, Khedidja avait peur de son mari. Celui-ci avait l'humeur changeante, il entrait parfois dans des colères monstres ». Tandis que les investigations se poursuivaient en présence de M. Javet, substitut du procureur de la République de Vienne, la triste nouvelle se répandait dans le quartier. « Elle ne méritait pas une fin aussi triste », murmurent les habitants qui se rassemblent au bas des immeubles.

En fin d'après-midi, le parquet de Vienne devait se dessaisir au profit du pôle de l'instruction de Grenoble. Une autopsie devrait être pratiquée dès ce matin sur le corps de la victime. Hier soir, l'audition du mari se poursuivait alors que tout un quartier était endeuillé.

Source : Le Dauphiné

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la période critique septennale des 70 ans débute à 69 ans et demi et ce doit être le moment où il faut s'alerter si une personne devient bizarre voire insupportable : « Ces derniers temps, Khedidja avait peur de son mari. Celui-ci avait l'humeur changeante, il entrait parfois dans des colères monstres ».

le coup de furie tel qu'il est décrit ici ressemble fort à un coup de "jour critique émotionnel" ce qui serait le cas si l'intéressé est un natif du jour du drame. (mardi)

l'arrivée, l'entrée, dans une période critique septennale, peut faire momentanément un monstre d'une personne tout à fait normale : çà reste exceptionnel, heureusement, mais le fait de connaître le mécanisme doit alerter aux premiers symptômes de la "métamorphose"...

soeur sourire

wikipédia :
Sœur Sourire, ou Sœur Luc-Gabriel en tant que religieuse, de son vrai nom Jeanne-Paule Marie Deckers, née le 17 octobre 1933 à Wavre en Belgique et morte dans la même ville le 29 mars 1985, est une religieuse et chanteuse belge des années 1960.
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Confrontée à une dette monstrueuse (et les intérêts accumulés), Jeanine et sa compagne, Annie Pécher, thérapeute d'enfants autistes, sombrent dans une dépression que l'alcool et les médicaments ne font qu'aggraver. Toutes deux finissent par se suicider ensemble le 29 mars 1985.

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lors du suicide soeur sourire avait 51 ans et 5 mois, et c'était son jour critique physique P1.
ce qui me paraissait bizarre pour un suicide...
il faut donc chercher du côté de son amie Annie Pécher : je n'ai toujours pas la date de naissance car j'aimerais savoir si elle se sont suicidées un jour critique émotionnel... de Annie Pécher.
le premier élément que je cherchais y est : une pierre tombale datée 1944-1985 : cela fait bien 41 ans et entrée dans la période critique septennale des 42 ans.

Jacques Viguier

3ème oeil :
Jacques Viguier aurait pu avoir un coup de folie

" Les enfants et la mère de Suzy ne croient pas à la culpabilité du professeur de droit. Les sœurs de la disparue, sont, elles, convaincues qu'il est l'auteur du crime.

Singularité du procès Viguier : la partie civile avance en ordre dispersé. Si les deux sœurs de Suzanne sont persuadées que son mari l'a tuée le 27 février 2000, sa mère et les trois enfants du couple pensent le contraire.

Clémence, 19 ans, et les jumeaux s'en expliquent aux assises de la Haute-Garonne. «On n'a jamais cherché ma mère, dénonce ainsi Guillaume, 17 ans, qui ressemble à sa mère alors que Nicolas est le portrait de son père. On n'a cherché que son cadavre et la preuve que mon père l'avait tuée.» Formidable trio, soudé, qui soutient de toute la force de trois cœurs n'en faisant qu'un le professeur de droit accusé de meurtre.

Mais un rouleau compresseur s'est mis en marche, sur le même banc. Me Francis Szpiner, à présent, plaide pour l'une des sœurs de «Suzy». À charge, sans équivoque, mais avec une redoutable finesse. L'avocat parisien a parfaitement préparé sa prestation, minant consciencieusement le terrain de la défense, mâchant le travail de l'avocat général qui, s'il est raisonnable, n'aura qu'à finir l'ouvrage ce matin en réclamant une peine adaptée. Me Szpiner sent que démontrer que Jacques Viguier a commis un meurtre est compliqué. Il demande donc au président de poser aux jurés la question des «coups mortels». Une autre forme de crime, passible de quinze ans, et non trente, de réclusion en vertu des textes de l'époque. Une forme de crime, surtout, qui entre dans le cadre tracé, au premier jour, par l'expert psychiatre : le Dr Zagury ne pourrait, médicalement parlant, expliquer un passage à l'acte de l'accusé que par un coup de folie soudain.

«Guerre des tranchées»

La démonstration de Me Szpiner est limpide. Il dresse de M. Viguier le portrait d'un professeur agrégé dépourvu de «toute intelligence de cœur», affligé d'une «quasi-infirmité affective». Le voici, roitelet de son «harem universitaire» où il recrute toutes ses maîtresses parce qu'il avait besoin de les dominer. «Une manière d'ai­mer narcissique, égoïste», grince l'orateur, rappelant que Suzy fut, aussi, une étudiante du professeur Viguier. Mais celui-ci n'avait pas prévu qu'elle voudrait «s'émanciper». En 1998 commence dans le couple une «guerre des tranchées» qui va durer deux ans, au terme desquels «les nerfs des uns et des autres sont usés». Jacques Viguier, «à bout», tue son épouse dans un emportement «improvisé», ce qui explique le grand nombre d'erreurs qu'il commet par la suite.

La force du propos réside dans son adaptation totale à la teneur de l'audience. Et à son bon sens : Me Szpiner élimine méthodiquement toutes les hypothèses envisageables pour expliquer la disparition de la danseuse rebelle, qui avait enfin trouvé un autre homme avec lequel elle pensait refaire sa vie. Les avocats appellent cela «fermer les portes». L'exercice s'imposait, dans cette affaire hors du commun où une femme s'est vola tilisée, un dimanche matin, dans une maison dont chaque porte était fermée à clé."

Un article de Stéphane Durand-Souffland.

Source : LE FIGARO (29 avril 2009

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l'idée du coup de folie est intéressante et déjà plus proche de la notion de situation en période critique septennale lors de laquelle un tel comportement est possible.
resterait à voir la situation précise de l'intéressé et de son épouse le jour de la disparition : jour critique émotionnel ou physique (moins probable, ce dernier ?) pour Jacques Viguier...


édit 30/04 : Jacques Viguier a été acquitté.

bébé abandonné

canoe.ca :

L’homme de 34 ans fait face à des accusations de négligence criminelle mettant la vie d’un enfant en danger et de vol qualifié.

La police estime que la survie du petit garçon est un miracle. Le bambin a été retrouvé sain et sauf dimanche après avoir passé la nuit en forêt.

Le père de l’enfant l’aurait abandonné en forêt samedi soir. Le bébé aurait ensuite passé 12 heures en forêt, seulement vêtu d’un t-shirt et d’une couche, alors qu’il pleuvait et que le mercure indiquait 5 degrés.

Le policier qui a retrouvé l'enfant a raconté que le bébé lui a tendu les bras en le voyant et qu'il semblait en bonne forme, malgré quelques engelures sur les joues.

Le père, qui aurait abandonné l’enfant après un accident de voiture, devra subir une évaluation psychiatrique.

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beaucoup de chance pour ce bébé. gageons que l'évaluation psychiatrique ne retiendra pas l'entrée dans la période critique septennale à 34 ans et demi... :-)

mardi 28 avril 2009

l'usure du quinqua

L’usure du quinqua
Françoise a 57 ans, elle travaille dans une grande société d’assurance depuis ses 17 ans. Elle vient de prendre sa décision: elle partira à la retraite avant l’heure et négociera un départ à l’amiable. «Je ne supporte plus la pression. A partir d’un certain âge, tu as l’impression d’être un numéro. La haute hiérarchie ne te connaît pas, on ne te demande plus ton avis. Mon expérience, je ne peux plus la mettre en pratique, elle ne sert à rien. Les délais sont si courts que j’ai tout le temps l’impression d’être débordée. En informatique, je me suis formée sur le tas, comme tous les gens de mon âge. Mais je dois tout de même finir en même temps que les jeunes, pour ne retarder personne. Je crois qu’avec l’âge, je canalise moins mes émotions, j’ai du mal à prendre du recul, ça m’empêche de dormir. Et puis j’ai mal à l’estomac, et une sorte de tendinite.»
http://www.liberation.fr/economie/0101564326-souffrir-au-travail-la-loi-du-silence

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pas simple usure... si l'on tient compte de la situation de cette personne dans sa période critique septennale des 56 ans à travers laquelle elle vient de passer...
si elle attend encore un brin çà sera tout à fait passé et çà ira mieux...
parce que peut-être qu'elle souffrira chez elle, en silence... : il faudrait avoir tenu compte de la période critique lors de la décision de s'arrêter, sinon on risque de se tromper et de regretter...
j'ai personnellement été mal durant mes 56 ans (disparition de toute motivation)- j'étais commerçant et même mes clients l'ont remarqué... mais à l'époque je ne savais pas pourquoi...

logique absurde

midi libre.com :

MontpellierDrame familial : elle tente de tuer sa mère atteinte de la maladie d'AlzheimerCette agrégée de français a porté cinq coups de couteau à sa mère. La victime, 89 ans, devrait survivre.

« C'est un drame familial avec comme origine la maladie d'Alzheimer. Cette dame dit qu'elle ne supportait plus la dégénérescence de sa mère et qu'elle a voulu abréger ses souffrances », résume un enquêteur, après la terrible affaire survenue ce week-end à Montpellier. Une femme de 55 ans a tenté, sans succès, de mettre fin à la vie de sa mère d'abord avec des cachets, puis à coups de couteau... L'alerte a été donnée samedi vers 8 h 30.

L'infirmier du matin, qui s'occupe quotidiennement de la victime, une retraitée de 89 ans, est arrivé dans ce logement de l'avenue du Pont-Trinquat, dans une résidence anonyme. Il a retrouvé l'octogénaire inanimée

dans la salle à manger, couverte de sang. « Les premières constatations du médecin nous ont montré qu'il ne pouvait pas s'agir d'actes d'automutilation et qu'il y avait un problème, alors on a interpellé les proches », indique-t-on à la sûreté départementale.

Les deux filles de la victime, ainsi que le mari de l'une d'elles, qui étaient venues visiter cette dame, ont été placés en garde à vue. Et au bout de quelques heures, une des deux femmes, âgées de 55 ans, agrégée et professeur de français, demeurant à Paris mais qui venait très fréquemment à Montpellier pour s'occuper de sa mère, a reconnu qu'elle était à l'origine des blessures.

Parce qu'elle n'en pouvait plus des affres de cette maladie dont sa mère était atteinte depuis plusieurs années. Selon les dires de l'enseignante, cette dernière avait déjà cette idée extrême en tête. Elle a raconté durant ses auditions avoir décidé de passer à l'acte dés le jeudi. D'abord en lui faisant absorber des cachets.

Une première fois, puis une seconde, associée avec de l'alcool, lorsqu'elle a compris que cela ne suffisait pas. Sans succès. Et samedi matin, toujours aussi déterminée, elle a tenté de l'étouffer avec un oreiller avant de se saisir d'un couteau de cuisine et de frapper la victime à cinq reprises, au cou et au niveau du thorax. « Elle l'a ensuite laissée, croyant qu'elle était décédée », révèle un proche de l'enquête.

Mais au final, et c'est un peu miraculeux, la vieille dame n'a eu aucun organe vital touché. Elle est toujours hospitalisée et ses jours ne seraient plus en danger.

Hier après-midi, la suspecte a été présentée devant un juge d'instruction qui a procédé à sa mise en examen pour "tentative d'assassinat".

Le parquet a décidé de ne pas demander le placement en détention provisoire de l'enseignante, qui a donc été remise en liberté, sous contrôle judiciaire strict avec interdiction de côtoyer la victime et les proches et obligations de soins : « Ce n'est pas une agression comme les autres, on est dans le domaine de la souffrance de voir un être cher décliner. Elle regrette tout et dit qu'elle était dans une sorte de logique absurde ».

Yanick PHILIPPONNAT

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cette dernière phrase explique bien "l'émergence", le retour à la réalité, lorsque l'on sort de cette sorte de logique absurde dans laquelle nous entraîne parfois la période critique septennale qui survient : ici celle des 56 ans.
(l'âge est à vérifier car j'ai trouvé 54 ans ailleurs : voir alors jour critique émotionnel ?)

décapitation

site 3ème oeil :

Il décapite son voisin à Vaise : le récit d'un assassinat
France > meurtre, folie, psychiatrie
Article posté par Stéphane Bourgoin le Mardi 28 avril 2009

" Youcef Dellouli, 29 ans, a été mis en examen et écroué hier pour « assassinat ».
La prémédiation s'est révélée dans le récit qu'il a livré aux enquêteurs et aux magistrats.

Il a raconté en détail la façon dont il a tué Raymond Arveuf, 62 ans, son voisin, en le décapitant, dans la nuit de samedi à Vaise. Il a même refait le geste face au juge d'instruction. En apparence, le jeune homme mince, dans un sweat noir à capuche, visage émacié, se montre calme, comme étranger à son crime, un sourire figé au coin des lèvres.

Dans son discours, des failles abyssales apparaissent, signes probables d'une atteinte mentale sévère. La maison d'arrêt de Villefranche a été particulièrement sensibilisée à son arrivée. Pour rapidement mettre en place un suivi psychiatrique. « Raisons de sécurité », a expliqué un magistrat. « Comme d'habitude », a commenté Youcef Djellouli, pointant du doigt magistrats et greffiers, haussant légèrement le ton. Ce qui a jeté un grand froid. Selon son récit, il ne se sentait pas bien vendredi soir en rentrant chez ses parents, tenaillé par des idées morbides : en finir ou tuer quelqu'un. Il a choisi de tuer, le voisin du 12e. Il le connaissait, comme tous les jeunes du quartier. Il fait aussi allusion à des propositions passées, d'ordre sexuel. Mais ne parle pas spécialement d'une vengeance. Plombé par ses échecs, sous curatelle à cause d'une santé mentale défaillante qui lui a valu des placements en établissement spécialisé, Youcef Djellouli a basculé dans un délire meurtrier qui va donner du boulot aux psychiatres.

Pour comprendre ce processus focalisé sur une décapitation, dans de profondes dimensions mythologiques ; Orphée version rageuse, opaque. Le jeune homme dit qu'enfant il a déjà décapité un chien, pour « voir ce qu'il y a à l'intérieur ».

Il dit que ses problèmes mentaux datent de sept ans, après un incident dans un restaurant du Vieux-Lyon, sans précision. Il a fait un peu de prison, pour des délits routiers. Pour un accident survenu le jour même de l'achat d'une voiture à un voisin. Quand il a pris un couteau chez lui, le jeune homme s'est équipé d'un sac en plastique. Il a sonné à 2 h 30 du matin. Il s'est fait offrir un whisky. Et il a frappé, cassé son couteau, pris un autre dans la cuisine. Le voisin d'en dessous a entendu les cris de la victime. Il s'est rendu compte que l'agresseur ne ressortait pas de l'immeuble. Et pour cause. Youcef Djellouli est rentré chez lui, au 5e. Il a voulu montrer le sac à son père, qui ne s'est pas réveillé. Il l'a jeté dans le vide-ordures. Puis il s'est endormi. Le lendemain, son plus jeune frère s'est habillé avec son pull. Sans se rendre compte qu'il était taché de sang. Ce pull-over rouge a mis les enquêteurs de la police judiciaire sur la piste, lorsqu'ils ont croisé le jeune frère dans les escaliers. Ce qui explique que celui-ci a été en garde à vue avant d'être mis hors de cause. Le grand frère Youcef a été pris. « Il faudra chercher à le comprendre, à expertiser sa personnalité pour le juger et le soigner », glisse son avocate, Me Laure Poutard."

Un article de Richard Schittly.

Source : LE PROGRES DE LYON (28 avril 2009

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ici aussi différents indices intéressants...
la personne a 29 ans et a probablement des problèmes avec sa période critique septennale des 28 ans (démarrage à 27 ans et demi). mais il ressort de l'article que... "Il dit que ses problèmes mentaux datent de sept ans" ce qui veut dire qu'il faut remonter à la période critique septennale précédente, celle des 21/22 ans...
pour chercher le début des problèmes. il y a probablement eu une période de pose entretemps à moins que, comme cela se produit parfois, les problèmes subsistent durant toute la durée d'un septennat entier...

on peut ensuite vérifier si le "coup de folie" a eu lieu le jour critique émotionnel (intéressé alors né un samedi) puisqu'il est précisé que "Selon son récit, il ne se sentait pas bien vendredi soir en rentrant chez ses parents, tenaillé par des idées morbides : en finir ou tuer quelqu'un."
on sait que le jour critique émotionnel et ses éventuelles manifestations démarrent en début de soirée et c'est donc la journée du samedi qui est à prendre en compte. on peut de la même façon vérifier si les incidents précédents ont eu lieu le même jour : s'agissant d'un cycle de pulsions/déinhibition hebdomadaire, les récidives ont tendance à avoir lieu toujours le jour critique émotionnel d'un individu c'est à dire toujours le jours de la semaine qui est son jour de naissance. facile donc de le vérifier.

on peut enfin noter encore que la victime se trouvait elle aussi dans sa période critique septennale (celle des 63 ans) : se pourrait-il qu'il y ait eu quelque chose entre les deux du fait de cette compatibilité "à risque"... il se peut cependant aussi que ce soit une coïncidence mais pas sûr, puisque l'intéressé dit "Il fait aussi allusion à des propositions passées, d'ordre sexuel. Mais ne parle pas spécialement d'une vengeance."

lundi 27 avril 2009

altercation mortelle

DerWesten :

28-Jähriger erschlägt seinen Vater

Ein blutiges Familiendrama hat sich in der Nacht von Sonntag auf Montag in Eickel ereignet.

Dabei fand ein 49 Jahre alter Mann in seiner Wohnung an der Richard-Wagner-Straße den Tod. Er wurde von seinem 28-jährigen Sohn mit einem Baseballschläger erschlagen.

Kurz nach der Tat griff der 28-Jährige zum Telefon und verständigte über den Notruf die Polizei. Die Beamten nahmen den stark alkoholisierten Wanne-Eickeler noch in der Wohnung fest. Dabei leistete er keinen Widerstand. Der Tote wies erhebliche Kopfverletzungen auf. Direkt neben der Leiche entdeckte die Polizei einen zerbrochenen Baseballschläger. Die Ermittlungen von Oberstaatsanwalt Joachim Kodal und der von Kriminalhauptkommissar Hans-Jürgen Harbecke geleiteten Mordkommission VI dauern zurzeit noch an. Sie konzentrieren sich jetzt vor allem auf das Motiv. Der Tat muss offenbar ein äußerst heftiger Streit voraus gegangen sein. Vater und Sohn lebten, wie zu hören ist, seit geraumer Zeit in getrennten Wohnungen und hatten über einen langen Zeitraum auch keinen Kontakt miteinander. Warum es bei dem Wiedersehen zu dem brutalen Streit gekommen ist, müssen die weiteren Ermittlungen ergeben. Auch der Vater soll unter Alkoholeinfluss gestanden haben. Der 28-Jährige wird am heutigen Dienstag dem Haftrichter am Amtsgericht Wanne-Eickel vorgeführt.

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si les deux sont en période critique septennale cela peut être une entreprise à risque : un fils de 28 ans a tué son père de 49 ans à coup de bate de base ball, à la suite d'une dispute...

dimanche 26 avril 2009

accident d'hélicoptère

Corse : cinq morts dans un accident d’hélicoptère
France Info -
L’épave de l’appareil de la Sécurité civile, dont on était sans nouvelle depuis hier soir, a été retrouvée très tôt ce matin par un hélicoptère de l’armée de l’air dans une zone escarpée à 16 km au sud-ouest de Bastia. Aucun des cinq occupants - deux membres d’équipage, un médecin du Samu, une femme enceinte et son nouveau né - n’a survécu à l’accident.

Cet appareil effectuait un trajet entre Ponte Leccia et Bastia, où la femme sur le point d’accoucher devait être conduite à l’hôpital. L’enfant est né pendant le vol. Une enquête a été ouverte sur les causes de l’accident. Selon les secours, les conditions météorologiques étaient très mauvaises, avec un épais brouillard, des vents violents et de la pluie.

Selon le préfet de Haute-Corse Hervé Bouchaert, le pilote, 42 ans, et le co-pilote, 56 ans, “étaient chevronnés et en Corse depuis plusieurs années, donc habitués à ce type de trajet”. Il précise aussi que la météo était “exécrable” au moment de l’accident. “Dans un zone montagneuse, l’appareil a heurté la paroi. Le choc a dû être brutal...”

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heurté la paroi ? vraiment bizarre çà ?
j'ai relevé l'article car j'y trouve que pilote et copilote étaient tous deux en période critique septennale. sais pas si cela a pu avoir une incidence : faudrait encore voir la situation particulière de chacun... (jour critique physique, critique émotionnel...)

samedi 25 avril 2009

suicide raté

Sauvée du suicide par un gendarme
Samedi 25 Avril 2009
Une femme a tenté de se jeter sous un train à GEVREY-CHAMBERTIN (Côte-d'Or), puis sous une voiture en sautant de l'ambulance. Elle a été sauvée deux fois malgré elle, et ce par le même gendarme.

Mardi 21 avril, vers 13h20, un homme appelle le CORG (Centre d'opérations et de renseignements de la gendarmerie) de la Côte-d'Or car selon lui sa femme va se jeter sous un train en gare de GEVREY-CHAMBERTIN, après avoir quitté le domicile conjugal.

La SNCF, prévenue, tente d'interrompre au plus vite la circulation des trains, entre DIJON et NUITS-SAINT-GEORGES. Un véhicule de secours aux asphyxiés et blessés (VSAB) du centre de secours de NUITS-SAINT-GEORGES était également envoyé sur les lieux.

Le CORG appelle la brigade territoriale autonome de GEVREY-CHAMBERTIN. Deux patrouilles de gendarmeries sont dépêchées pour surveiller la gare toute proche et ses abords immédiats. Une des patrouilles aperçoit la femme errant le long de la voie ferrée vers 13h40.

Comme elle ne répond pas aux injonctions des gendarmes, l'adjudant saute le grillage et s'approche de la femme qui s'est alors placée au milieu des voies alors qu'un TER s'approche. Résistant au sous-officier, celui-ci est contraint de la sortir de force des voies avant de la plaquer au sol. L'accident est évité de justesse. A deux, les gendarmes amènent la femme vers l'ambulance

A peine arrivée dans le VSAB, la femme profite d'un instant d'inattention pour ouvrir la porte et sauter à l'extérieur, essayant de se jeter sous une voiture. L'adjudant la rattrape pour la seconde fois et la ramène à l'ambulance.

La personne sauvée deux fois a fait l'objet d'un placement d'office à l'hôpital. L'adjudant a été félicité par sa hiérarchie pour son action pleine de sang-froid et de réactivité.

.Sources : Sirpa Gendarmerie

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www.bienpublic.com
Une femme désespérée sauvée : l'émotion sur le net


Dans l'édition hier, nous revenions sur le double sauvetage d'une femme suicidaire de Gevrey-Chambertin, qui tentait de mettre fin à ses jours.
C'est un gendarme, l'adjudant Bordenave, qui l'avait tout d'abord tirée hors des voies de chemin de fer sur lesquelles la désespérée s'était immobilisée. Quelques minutes plus tard, le même militaire la ceinturait une deuxième fois alors qu'elle tentait de se jeter sous une voiture.
Un fait divers qui a suscité de nombreuses réactions sur notre site internet. Parmi elles, deux tendances se distinguent.
En tout premier, bien sûr, il y a tous ceux qui félicitent le geste du militaire. Maîtriser et empêcher une personne d'un suicide, une fois, est une chose d'assez louable. Mais la sauver deux fois relève peut-être du geste héroïque.
Pour Ninh, Paul, et Julia, c'est un sincère bravo qu'il convient d'attribuer à notre homme dont le courage n'est pas à démontrer. Pour l'internaute Deglaine, « cette femme vous remerciera deux fois, une fois revenue à la raison ». Il y a aussi ceux qui voient encore plus loin. Ceux pour qui le geste du gendarme aura permis d'épargner la vie de deux personnes en même temps : celle de la victime, et celle du conducteur de train. « Traumatisme des cheminots récurrent lorsqu'ils heurtent des suicidaires ! », assure Olivier.
Mais, au-delà de l'émotion à chaud sur l'événement, nombre d'internautes se posent une question cruciale et philosophique : sauver quelqu'un du suicide, est-ce une preuve de charité ? A cette problématique, Chabert répond par une autre question : « Et si le suicide était l'ultime liberté de l'Homme ? »
Son homologue Paul se demande quant à lui si le gendarme a fait le bon choix, « si c'est pour la laisser ensuite dans ses difficultés et drames quotidiens ». Pour un autre internaute enfin, « au nom de quoi certains empêchent quelqu'un de fuir une vie insupportable ? »
Le débat est lancé. Tous, toutefois, souhaitent à cette quadragénaire de sortir de cette douloureuse situation.
M. M.

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sauvée deux fois par le même gendarme ! il faut le faire, il l'a fait... et je pense qu'il a bien fait... non seulement on ne réfléchit pas trop longtemps, et il vaut mieux, face à un suicidaire que l'on peut sauver de justesse... mais... si j'applique la théorie des cycles émotionnels, cette personne va probablement "émerger" par la suite et être contente qu'on l'ait sauvée. bien entendu elle peut aussi continuer à rester dépressive mais ce n'est pas sûr du tout.
dans ce cas l'explication est encore différente de celle qui suit.

explications pour cela :

- je n'ai pas trouvé l'âge sauf qu'il s'agit d'une quadragénaire : si son geste est lié à son cycle émotionnel et à une période critique... il est probable que ce soit une femme de 41 ou 42 ans dont il s'agit. en effet le "pic de pulsions suicidaires" si on en arrive jusque là se situe à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans, soit vers 41 ans et demi.
cette période à risque de grave dépression peut durer de 41 ans et demi environ à 43 ans... le plus souvent la personne est "guérie" ensuite. elle n'est donc souvent "mal" que durant un certains laps de temps.

- un passage à l'acte mardi début d'après-midi pourrait signifier que le mardi est le jour critique émotionnel de la dame : on peut vérifier car elle est alors née un mardi. (c'est un cycle hebdomadaire qui fait qu'un natif du mardi s'il a des coups de blues plus ou moins importants, ce sera de préférence un mardi). ici ce pourrait être encore mais moins probable une native du mercedi car le jour critique émotionnel démarre en fin d'après midi (vers 18H), et dure la journée du lendemain. mais 13 heures çà me semble moins probable : cet horaire fait encore partie de la journée "cyclique" du mardi.

pour ce qui est du jour critique émotionnel il y a un risque de récidive... la personne peut rechuter un autre mardi ... et recommencer. surtout si et tant qu'elle se trouve dans sa période critique des 42 ans par exemple.
mais attention le jour critique émotionnel garde toute son efficacité tout le temps, même en dehors d'une période critique septennale.

pour aider une personne mal en point il faudrait qu'elle soit préalablement informée de ce qui peut lui arriver, car le moment venu ce sera moins évident, la dépression rend parfois "étanche". si les personnes en sont informées, elles comprennent mieux ce qui leur arrive lorsqu'elles deviennent subitement déprimées ou colériques (les différends conjugaux ont de préférence lieu le jour critique émotionnel de l'un ou de l'autre des partenaires d'un couple, et en période critique septennale aussi - d'où nombreux conflits et séparations liés à cette période... c'est le jour de nombreux "passages à l'acte" divers y compris criminels, en raison d'un effet de pulsions/désinhibition survenant ce jour là).

il faut donc simplement - ce serait déjà une aide - que les gens connaissent leurs "périodes à risque" :

- la survenue de leurs années septennales (les âges de la table de sept : pas d'astrologie ni de numérologie, mais cycle psychique lié à un effet d'hormones probablement). on peut gravement déprimer après 20, 27, 34, 41, 48, 55, 63 ans etc... même dans la vieillesse...

- leur jour critique émotionnel : c'est le jour de la semaine où l'on est né. et dès la veille au soir de ce jour... un natif du mardi devra "se surveiller" du lundi soir au mardi soir.

à l'hosto

sueddeutsche.de :
US-Talker Jay Leno im Krankenhaus
New York (dpa) - US-Talker Jay Leno (58) begab sich am Donnerstag wegen einer nicht näher bezeichneten Krankheit ins Krankenhaus. Deshalb wurde die Aufzeichnung zu seiner «Tonight Show» in Los Angeles abgesagt.

Es gehe ihm jedoch sehr viel besser, und er plane in der kommenden Woche wieder vor der Kamera zu stehen, wie ein Sprecher seines US-Senders NBC bestätigte.

Leno hatte das Studio um Mittag herum verlassen und sich selbst zur Beobachtung in ein Krankenhaus in Los Angeles begeben. Dem Comedian gehe es jedoch nicht wirklich schlecht, er hätte weiter telefoniert und an seinen Jokes gearbeitet. «Jay Leno geht es gut. Er scherzt mit den Mitarbeitern und fragt Ärzte und Krankenschwestern, ob seine Scherze auch ankommen. Er wird am Montag wieder zurück bei der Arbeit erwartet», hieß es in der Erklärung des Sprechers.

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né le 28 avril 1950.

l'humoriste américain est allé de lui-même à l'hôpital jeudi après-midi, annulant son émission habituelle - parce qu'il n'était pas bien - on ne sait pas précisément pourquoi... entretemps il s'est parfaitement rétabli précise-t-on ailleurs.

on peur alors vérifier sa situation biorythmique et on trouve très souvent l'explication :
ici aussi... c'est jour critique physique P18 le jeudi, qui peut se poursuivre le lendemain avec P19. mais aussi surtout le lendemain (donc dès jeudi soir) le jour critique émotionnel E15. situation pratiquement en jour doublement critique.
peut-être aussi comme je l'appelle souvent la "maladie d'un jour" comme peut la déclenher un jour critique biorythmique : le lendemain le mal s'est volatilisé.


avril 2009 :
Ma 21
Me 22
Je 23 P(18)
Ve 24 P(19)E(15)

Sa 25

ado disparu

LePost :

Jonathan, 17 ans, n'est toujours pas rentré chez lui. Et les enquêteurs n'écartent aucune piste : disparition criminelle, accident ou fugue, selon le quotidien local.

Cet adolescent a été vu pour la dernière fois, mercredi soir, à minuit.

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je n'ai pas trouvé sa date de naissance pour voir s'il est natif du jeudi...
cela permettrait de savoir s'il a disparu son "jour de prise de risque" ou "jour de fugue".

le jour critique émotionnel est souvent jour de fugue ou jour de prise de risque car ce jour là on est différent. cela permet éventuellement d'avoir un indice supplémentaire pour envisager le ou les divers scénarios possibles...


il s'agit du jour de la semaine où on est né, du fait que c'est un cycle hebdomadaire de pulsions émotionnelles, qui démarre le jour de la naissance.
ces pulsions émotionnelles vont nous rendre différent toujours notre jour de naissance, au moyen d'un phénomène de pulsions/désinhibitions - ainsi surtout ce jour là nous sommes "poussés à bouger, à agir" et parallèllement les inhibitions qui nous freinent d'ordinaire sont atténuées voire absentes. cela peut donner lieu à de très nombreux comportements variés et particuliers selon les situations et les personnes, comme colère et disputes, blues et dépression, d'où coup de tête, fugues, imprudences, possibles de préférence ce jour là.
cela doit pouvoir se vérifier avec tous les cas passés.

vendredi 24 avril 2009

cracheuse

La Voix du Nord :
Condamnée pour avoir craché sur des policiers
vendredi 24.04.2009, 04:48 - La Voix du Nord
Âgée de 57 ans, F. D. était autrefois assistante sociale. Elle comparait pour avoir outragé des policiers, au mois de novembre à Douai.

À la barre, c'est une femme d'apparence soignée qui se présente pour répondre des crachats et des insultes à l'égard d'agents dans l'exercice de leurs fonctions. Difficile de croire qu'il s'agit de la même personne. On apprend que F. D. possède déjà deux mentions au casier judiciaire pour conduite en état d'ivresse.La juge explique que cette dame déambule dans la rue lorsque la police arrive. F. D. se met alors à hurler, à cracher au sol puis sur un brigadier-chef. La prévenue affirme qu'elle ne se souvient plus, arguant de problèmes comportementaux. Elle dit être malade, étant suivie pour dépression et autres troubles bipolaires. Déjà arrêtée le 26 décembre dans le même état, la prévenue confie qu'il s'agit de « dépression saisonnière », avouant sa honte d'en être arrivée là.

La substitut du procureur Sylvie Drouard met en exergue la problématique alcoolique de la prévenue : « Madame est malade. (...) Ce ne sont pas des faits isolés ». Pour la défense de F. D., Me Théry adhère aux réquisitions puis explique que F. D. est issue d'un milieu « relativement mondain » et qu'elle exerçait la profession... d'assistante sociale.
La présidente du tribunal condamne F. D. à un mois d'emprisonnement avec sursis et mise à l'épreuve, d'une obligation de soins alcoologiques et psychologiques. 100 E de dommages et intérêts devront être versés à chaque policier.

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chercher peut-être aussi une partie des explications dans la période critique septennale des 56 ans (début après 55 ans vers 55 ans et demi) et le jour critique émotionnel : jour "d'explosivité"... à vérifier...

le trouble bipolaire est d'ailleurs par définition un trouble lié aux cycles psychiques et émotionnels (septennal et hebdomadaire) : les "downs" des malades bipolaires correspondent souvent aux dépressions septennales, ou aux jours critiques émotionnels lorqu'il s'agit de "downs" courts...
mais bon... tout cela n'excuse pas tout...

enlèvement simulé

sueddeutsche.de :
Angebliche Entführung endet in Würzburg
Großeinsatz der Polizei24.04.2009, 10:21
Die vermeintliche Entführung einer Holländerin nach Deutschland hat einen Großeinsatz der Polizei ausgelöst. Per SMS schrieb sie, zwei Männer hätten sie verschleppt.

Eine 35-jährige Holländerin
hat wegen einer Beziehungskrise eine Entführung vorgetäuscht und damit einen Großeinsatz der Polizei ausgelöst. Nach Suchaktionen in mehreren Bundesländern konnte die Frau am Donnerstagabend schließlich bei Würzburg aufgespürt werden, sagte ein Sprecher der Polizei Unterfranken am Freitag. Bei einer ersten Vernehmung habe die Frau die Tat zugegeben. Ihr droht jetzt ein Verfahren wegen Vortäuschens einer Straftat.

Mit ihrer Aktion hatte die Frau einen filmreifen Polizeieinsatz in Gang gebracht: Zunächst hatte sie ihrer Familie in einer SMS mitgeteilt, dass sie von zwei Männern aus Osteuropa entführt worden sei. Sie befinde sich in einem Auto auf dem Weg nach Deutschland. Daraufhin wurde in mehreren Bundesländern, unter anderem in Hessen und Niedersachsen, nach ihr gesucht.

Zahlreiche Beamte und auch ein Hubschrauber kamen zum Einsatz. Auf der Autobahn A 3 in Unterfranken (Anschlussstelle Heidingsfeld) wurde das gesuchte Auto in einem Stau entdeckt. Die Beamten hätten sich dem Auto sehr vorsichtig nähern müssen, weil sie die vermutete Geisel nicht gefährden wollten, erklärte der Sprecher. "Die Kollegen waren recht überrascht, als plötzlich nur die Frau in dem Auto saß."

Es stellte sich heraus, dass die 35-Jährige in ihrem eigenen Wagen unterwegs war und die Entführung inszeniert hatte. Die Ermittlungen würden fortgesetzt. Ein Strafverfahren werde voraussichtlich von der niederländischen Justiz übernommen.

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des équipes de policiers et un hélicoptère poursuivaient deux homme et leur otage : ils ont retrouvé la femme de 35 ans au volant de sa voiture ; elle avait inventé tout le scénario...

jeudi 23 avril 2009

empoisonnement

SKCenter :
Une femme a tenté d'empoisonner son mari et ses deux enfants

Une jeune femme de 45 ans,
de Wilskerke (Middelkerke), a tenté, dimanche dernier, d'empoisonner son mari et ses deux enfants à l'aide de médicaments

MIDDELKERKE Après les faits, la femme a été prise de remords et a elle-même emmené son mari et ses deux enfants à l'hôpital. Les victimes ont été tirées d'affaire. Les enfants devraient pouvoir quitter l'hôpital cette semaine, mais leur père devra sans doute prolonger son séjour à l'hôpital.

La mère a été admise en psychiatrie. La femme n'a pas encore pu être entendue par les enquêteurs, a précisé mardi le parquet de Bruges et on ignore les causes du drame.
Source : La Dernière Heure


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pas de période critique septennale à 45 ans, sauf que cette période peut être en cause si la femme a des problèmes qui durent depuis ses 41 ans... (période critique des 42 ans).
par contre il n'est pas improbable qu'il y ait un lien avec son jour critique émotionnel : c'est le jour où effectivement l'on peut empoisonner quelqu'un et l'on regrette ensuite, lorsque dans un moment de lucidité on se rend compte de ce que l'on a fait...

il y aurait un intérêt à le savoir et à l'expliquer, car le jour critique en question va se reproduire tôt ou tard, puisqu'il est hebdomadaire... cela pourrait permettre d'éviter un risque de récidive.

dépressif recherché

canoe.infos :

Un quadragénaire dépressif recherché
La Presse Canadienne
23/04/2009 12h14

La police de Magog est à la recherche d'un homme de 48 ans qui aurait manifesté des signes de dépression avant de disparaître il y a près d'une semaine.

Jules Lamontagne a les cheveux châtains et les yeux bruns. Il mesure 1 mètre 77 et pèse environ 82 kilos. Il a été vu pour la dernière fois dans la nuit de samedi dernier, alors qu'il a pris la route à bord de sa fourgonnette Chevrolet Lumina 1996 bleu-gris, immatriculée 167 AEB.

Sa famille demeure sans nouvelles de lui depuis lors.

Le constable Paul Tear, de la police de Magog, a indiqué que des recherches avaient été effectuées un peu partout en Estrie. Mais, manifestement, elles n'ont pour l'instant rien donné.

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oui... à 48 ans il vaudrait mieux le retrouver rapidement... car c'est le moment (48 ans et demi) de l'entrée dans la période critique des 49 ans et "pic à risques" d'entrée dans une dépression septennale...

Fabien Pelous

France Infos :

Retraite Pelous-Bouscatel : "Une décision pleine de quiétude"
23/04/2009-[14:20] - Sports.fr

Présent aux côtés de Fabien Pelous à l’occasion de l’annonce de sa retraite, jeudi, Jean-René Bouscatel, président du Stade Toulousain, a confié ses impressions aux micros d’Europe 1 Sport. "C’est un sentiment mélangé. Bien sûr, je ressens de la nostalgie après tout ces moments partagés au sein et en dehors du club. Mais c’est une décision pleine de quiétude, qui met fin à une carrière bien remplie. Et puis, ce n’est pas la fin mais plutôt le début de quelque chose. Il va pouvoir s’adonner à de nouvelles activités dont certaines seront sûrement liées au rugby. C’est un grand bonhomme plein de sagesse. Il est encore très jeune, une nouvelle vie commence pour lui", a ainsi conclu le dirigeant toulousain.

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la version positive d'un changement de direction effectué au moment opportun : les grandes décisions sont souvent prises en période critique septennale...
Fabien Pelous a 35 ans (7/12/1973 soit 35 ans et cinq mois - période critique septennale jusqu'à 36 ans environ). on a envie de changer... et on passe à l'acte... parce qu'on sent que c'est le moment...


mais... çà reste quand même une décision prise en période critique septennale...

jour de colère

SKCenter :

Une meurtrière au curry à l'arsenic condamnée à mort au Japon

Masumi Hayashi a causé la mort de 4 personnes et en a intoxiqué 63 autres

Masumi Hayashi née le 22 juillet 1961 cadre commerciale dans les assurances est une japonaise mère de famille de 4 enfants condamnée à mort par pendaison en 2002 pour avoir empoisonné en versant de l'arsenic dans du curry quatre personnes et intoxiqué soixante-trois autres en 1998 durant une fête d'été, il s'agit à ce jour de la seule femme condamnée à mort par la Justice japonaise depuis plusieurs décennies.

La mère de famille qui avait tué quatre personnes et intoxiqué 63 autres en versant de l'arsenic dans une marmite de curry lors d'un festival d'été en 1998, a vu sa condamnation à mort confirmée mardi par la Cour suprême du Japon.

La criminelle s'était servi des poisons de son mari qui travaille comme exterminateur de termites et a déjà fait 6 ans de prison pour fraude à l'assurance (sa femme étant elle-même une agent d'assurance). Elle aurait été motivée par la colère qu'elle avait pour ses voisins.
Selon l'accusation, Mme Hayashi, , avait voulu se venger parce que ses voisins, avec qui elle participait à un festival d'été à Sonobe (centre-ouest), lui avaient reproché d'arriver trop tard avec le plat de curry qu'elle était chargée de préparer pour la communauté.


Sa condamnation a été validée en 2005 par la Haute Cour d'Osaka alors que ses avocats insistaient sur ces circonstances atténuantes bien qu'ils aient plaidé l'innocence en premier ressort.l'affaire avait été extrêmement médiatisée, si bien que plus de 2 200 personnes s'étaient rendues an tribunal pour entendre le verdict

En avril 2009, la Cour suprême du Japon à également confirmée la sentence Hayashi est donc désormais susceptible d'être exécutée à tout moment

Mme Hayashi a toujours nié avoir versé de l'arsenic dans la marmite, Source : Aujourd'hui le Japon

Sources : Aujourd'hui le Japon / Wikipédia

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j'ai trouvé sur wikipédia english la date de l'acte en question...
c'est le samedi 25 juillet 1998.
pas de période critique septennale ici (la personne a 37 ans au moment des faits)
mais effectivement "jour de colère" comme dit dans l'article, puisque l'intéressée est dans son jour critique émotionnel E22 ce jour là.

notons qu'elle est aussi à côté de sa date anniversaire, autre période critique, c'est une native du samedi 22 juillet... qui est passée à l'acte un samedi.

juillet 1998
Me 22
Je 23
Ve 24
Sa 25 E(22)
Di 26 P(18)
Lu 27


le jour critique émotionnel est un jour "d'hypersusceptibilité" et cela peut conduire au désastre ou à l'explosion : de nombreux drames ont lieu ce jour là et souvent à défaut de trouver une année critique on trouvera un jour critique ; souvent aussi les deux sont présents.

mercredi 22 avril 2009

drame conjugal

canoe-info :
Lanaudière
Couple retrouvé mort à Saint-Côme

Le couple porté disparu depuis hier dans Lanaudière a finalement été retrouvé mort cette nuit à Saint-Côme.

C’est vers 6h15 que les policiers de la Sûreté du Québec ont fait la macabre découverte des deux corps, dans le véhicule de l’homme, un Ford Ranger de couleur rouge. Le véhicule était stationné en bordure de route, sur le Chemin de la ferme à Saint-Côme.

Plusieurs recherches avaient été effectuées depuis hier matin afin de localiser les disparus.

Serge Gascon, 56 ans, et Lisa L’espérance, 39 ans, étaient en instance de divorce.

Le couple avait été vu pour la dernière fois circulant dans le camion de l’homme vers 19h30, lundi, dans la région où les corps inanimés ont été retrouvés.

Personne ne savait où le couple allait.

Les causes exactes des décès ne sont pas connues pour le moment, mais l’hypothèse du meurtre suivi d’un suicide a été avancée. Selon les premières informations, la dame aurait été asphyxiée.

Serge Gascon avait des tendances suicidaires et depuis que le couple était en instance de divorce, la relation entre les deux n’a, semble-t-il, fait que dégénérer.

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drame conjugal et drame septennal... 56 ans est une période critique qui peut faire chavirer si pas prise en compte et à temps .

suicide... septennal ?

The Daily Beast :
Freddie Mac CFO Found Dead

David Kellermann, the acting chief financial officer and senior vice president of Freddie Mac, has apparently committed suicide. Fairfax County Police says the 41-year-old was found at his Hunter Mill Estates home this morning. "We were called from inside the house to come investigate an apparent suicide," a spokesperson said, though refused to add details. "We're not to give you details of the condition of the body, except to say it was an apparent suicide." A final determination that his death was a suicide will come from a medical examiner. According to the Freddie Mac website, Kellermann had been with company for over 16 years and was named acting CFO in September 2008. That was the same month Freddie Mac was placed under conservatorship by the U.S. Treasury as a result of the subprime mortgage crisis.

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je n'ai pas encore trouvé la date de naissance pour voir s'il s'est suicidé son jour critique émotionnel, mais la période critique septennale des 42 ans doit y être pour quelque chose. (on y entre à 41 ans et demi)
(il a été retrouvé mort ce mercredi matin : natif du mercredi ? )

édit : trouvé 4/08/1967 mais sans être sûr de la bonne date c'est un vendredi et le mercredi 22/04/2009 est un P12...
mais ce serait aussi 41 ans et 9 mois (entrée période critique c'est 41 et 6 mois)...

Paul Devoe

SKCenter :
Texas

Le juge Brenda Kennedy a donné une date pour le procès de Paul Devoe, un tueur en série présumé, ainsi que le constitution d'un jury.

Le procès, qui doit démarrer fin Septembre à Travis County est rendu possible par un avis confirmant la capacité de Devoe à suivre celui-ci. Paul Devoe est apparu en meilleure santé devant la Cour pour les audiences préliminaires. Le juge Kennedy a expliqué qu'il avait subi une évaluation psychiatrique à l'hôpital d'Etat du Texas, et que les résultats indiquent sa compétence mentale à suivre le procès.

Devoe est accusé d'avoir tué 6 personnes en 2007, dont deux filles à Jonestown, son ex-compagne et son petit ami, un tenancier de bar à Marble Falls et une femme de 81 ans en Pennsylvanie.

En Décembre dernier, il avait été jugé incompétent pour comprendre et suivre un procès. Le bureau de l'avocat générale du District avait fait savoir qu'il allait demander la peine de mort dans cette affaire.

Le sélection du jury devrait débuter le 10 Septembre avec une date de procès hypothétique fixée au 28 du mois. Ce procès devrait durer au moins 6 semaines.

SKCentral & keyetv.com

Petite chronologie:

24 Août 2007: Michael Allred tué à Marble Falls

26 Août 2007: 4 personnes sont retrouvées mortes dans une maison de Jonestown. Il s'agit de: Paula Griffith, Jay Feltner, Haylie Faulker, et Danielle Hensley.

27 Août 2007: Paul Devoe III est arrêté à Central Islip, New York. Après qu'il soit placé en détention, un véhicule portant des plaques d'immatriculation de Pennsylvanie est retrouvé. En cherchant l'adresse du propriétaire, les autorités trouvent le corps de Betty Jane Dehart, 81 ans, avec une balle dans la tête.
11 Septembre 207: le gouverneur Perry signe l'acte d'extradition vers le Texas.

21 Septembre 2007: Devoe, sous haute sécurité, est ramené au Texas et écroué dans la prison de Travis County.

19 Décembre 2007: l'avocat du district annonce son intention de réclamer la peine de mort.

13 Mai 2008: Devoe fait sa première apparition au tribunal. Un juge doit décider si les propos qu'il a fait en prison et qui peuvent l'impliquer seront utilisés contre lui.

10 Juin 2008: le juge décide que les déclarations de Devoe seront utilisées contre lui.

Décembre 2008: Devoe est jugé par les médecins incompétent pour suivre un procés. Il est envoyé dans un hôpital psychiatrique de haute sécurité.

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l'intéressé ne se trouve pas dans une période critique septennale au moment des faits, mais d'autres éléments sont fort intéressants :

- il est à quelques jours de son 44ème anniversaire (né le samedi 31 août1963)
(je considère la période d'environ quatre semaines avant un anniversaire comme une "période à risque" période critique, donc, en raison des pulsions survenant à ce moment là.

- ses meurtres "entourent" un jour doublement critique : P12 et E22 le samedi 25 août 2007. jour de "double pulsions/désinhibitions" physiques et émotionnelles.

- je n'ai pas trouvé la date de l'assassinat de la vieille dame de 81 ans, mais ce soit être le même week-end.

- il serait intéressant de savoir ce qui s'est passé entre ses 41 ans et les crimes : pas impossible qu'il y ait eu une sorte de "descente aux enfers" depuis le moment de son entrée dans la période critique septennale.

situation cyclique :


août 2007
Ma 21
Me 22
Je 23 I(26)
Ve 24
Sa 25 P(12) E(22)
Di 26

Lu 27
Ma 28

tentative d'enlèvement

LeFigaro.fr :
Une femme tente d'enlever
un bébé dans une maternité

lefigaro.fr, avec AFP
22/04/2009
La ravisseuse présumée a été interceptée à la mi-journée par des membres du personnel alors qu'elle quittait une maternité en Gironde, après voir pris le nouveau-né dans la chambre de sa mère et l'avoir placé dans un cabas de supermarché.

Une tentative d'enlèvement de bébé s'est soldée par un échec. Une femme de 21 ans a en effet été interpellée mardi à la maternité de Langon, en Gironde, après avoir voulu emmener avec elle une petite fille née le matin même. Selon les gendarmes et le parquet de Bordeaux, qui ont confirmé mercredi une information du quotidien Sud Ouest, la ravisseuse présumée a été interceptée à la mi-journée par des membres du personnel alors qu'elle quittait le bâtiment. Elle venait de prendre le nouveau-né dans la chambre de sa mère et l'avait placé dans un cabas de supermarché.

«Ce n'est pas un cas fortuit. D'après les premiers éléments de l'enquête, on est face à quelqu'un qui, visiblement, avait mûrement réfléchi son acte. On est vraiment dans une tentative d'enlèvement sur un mineur de moins de 15 ans», a-t-on indiqué de source judiciaire. «Aux alentours de 13h00, une jeune femme s'est présentée dans la chambre et s'est fait passer pour quelqu'un du corps médical, elle a récupéré l'enfant en disant à la mère qu'elle allait faire des examens», raconte un porte-parole de la gendarmerie.


«Problèmes de comportement»

«La maman a trouvé ça un peu suspect car la jeune femme n'avait pas vraiment une tenue appropriée. Elle est sortie à son tour de sa chambre mais n'a plus vu la jeune femme dans le couloir et a donné l'alerte», ajoute ce gendarme. La ravisseuse présumée a immédiatement été interpellée par les gendarmes et était toujours en garde à vue mercredi. Elle devrait être déférée jeudi matin.

La jeune femme, née en décembre 1987, n'a «a priori» pas d'enfants et bénéficie d'un casier judiciaire vierge, selon le parquet. «Dans le cadre de la garde à vue, on l'a fait examiner par un médecin psychiatre qui retient une altération partielle. Il y a de premiers éléments qui permettent de penser qu'elle a des problèmes de comportement». La jeune femme réside dans le secteur de Saint-Symphorien, une commune située à une trentaine de kilomètres de Langon.

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ce type de scénario et de comportement fait partie des comportements de période critique septennale : la jeune femme est dans la période critique des 21 ans.

il n'y a pas si longtemps c'est une ravisseuse se trouvant dans sa période critique des... 49 ans, qui avait défrayé la chronique, après être partie avec un bébé.

certains types de comportements, inhabituels, étonnants, anormaux, sont souvent des comportements septennaux : certaines personnes (l'altération partielle relevée ici est intéressante) sont un peu comme "en transe". çà n'arrive bien entendu pas systématiquement à tous les gens de 21 ans ou d'un âge septennal, mais si çà arrive, il y a de fortes chances que çà arrive à quelqu'un qui est en période critique septennale en raison des pulsions/désinhibitions présentes à ce moment là.

drame conjugal

Tödliches Familiendrama in Moers!

In einem schlichten Mehrfamilienhaus tötete am Montagmorgen ein Mann (35) seine von ihm getrennt lebende Ehefrau Dane W. (37). Nach einem heftigen Streit hatte er offenbar mehrfach auf die dreifache Mutter eingestochen. Anschließend flüchtete der Täter Reinaldo W. mit einem anthrazitfarbenen Citroen AX (Kennzeichen: WES-QG 55). Nach ihm wird weiter gefahndet.

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drame de la séparation lundi matin dans cette commune allemande : à 35 ans il poignarde la mère et s'enfuit avec l'un des enfants de un an et demi... il est toujours recherché.

mardi 21 avril 2009

drame conjugal

Télégramme.com :
Septuagénaire étranglée à Pacé. Un Drame familial
21 avril 2009 -

Une femme, âgée de 73 ans, est morte étranglée à son domicile, dimanche après-midi, à Pacé près de Rennes (Le Télégramme d'hier). Le mari de la victime, âgé de 76 ans, aurait reconnu avoir tué son épouse mais on ne connaît pas les raisons de son geste. Il a été placé en garde à vue et devrait être mis en examen aujourd'hui.

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pour les raisons du geste on peut probablement déjà remarquer que l'intéressé se trouvait à l'entrée de sa période critique septennale des 77 ans.

violences et meurtre

3ème oeil :
Un Liégeois jugé pour avoir étranglé son épouse en pleine rue

" La Cour d'assises de Liège a entamé lundi le procès de Hasan Arslan, un Liégeois de 46 ans accusé de l'assassinat de son épouse. La victime avait été étranglée en pleine rue à Oupeye en mai 2006 sous les yeux de témoins impuissants. Un jury de 5 femmes et de 7 hommes a été constitué pour juger l'accusé.

Les faits reprochés à Hasan Arslan s'étaient déroulés le 2 mai 2006 peu après 9h00 Oupeye. Marianne Bonhomme, séparée de son époux après des faits de violence conjugale, avait été poursuivie, frappée et étranglée par celui-ci. Plusieurs témoins avaient tenté de s'opposer à la scène mais s'étaient heurtés à la violence de l'accusé. Des passants et des ouvriers avaient été alertés qu'une scène violente opposait Hasan Arslan à Marianne Bonhomme. Bloquée durant son chemin, la femme avait été empoignée par les cheveux et extraite de son véhicule par Hasan Arslan qui lui avait porté des coups et l'avait étranglée.

Hasan Arslan, de corpulence musclée, s'était opposé aux personnes qui ont tenté d'intervenir en tenant des propos menaçants. Tout en injuriant son épouse, Hasan Arslan l'avait étranglée jusqu'à la mort. Il avait aussi mis le pied sur la gorge de sa victime en sautillant dessus pour imposer une plus grande pression. Les passants, ouvriers, policiers et ambulanciers qui ont tenté des gestes de secours n'ont pu intervenir face aux menaces de mort persistantes proférées par l'accusé.

Hasan Arslan et Marianne Bonhomme étaient mariés depuis 1993 et avaient eu 4 enfants. Ils étaient séparés à l'époque des faits et déchirés au travers de plusieurs procédures. Dans un contexte familial difficile, Hasan Arslan avait entraîné son épouse dans plusieurs scènes de violence conjugale. Marianne Bonhomme avait été plusieurs fois menacée de mort et soumise à des tentatives d'étranglement de la part de son mari. Elle s'était réfugiée dans un foyer pour femmes battues.

L'accusé doit aussi répondre du viol de Marianne Bonhomme commis en septembre 2005 alors qu'elle était inconsciente après une tentative d'étranglement ainsi que de plusieurs scènes de menaces et de coups et blessures. Après la lecture de l'acte d'accusation, la défense de Hasan Arslan a présenté un acte de défense dans lequel elle n'écarte pas la responsabilité de l'accusé dans les faits qui lui sont reprochés.

Mais Me Neuroth a réclamé aux jurés de tenir compte d'un certain nombre de difficultés qui ont émaillé les relations du couple que formait Arslan et la victime. Selon l'avocat, la victime était dépressive et son caractère était devenu acariâtre, provoquant et harcelant. Les premiers témoins seront entendus ce lundi après-midi après l'interrogatoire de l'accusé."



Source : BELGA (20 avril 2009

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dépressive, acariâtre, provoquante et harcelante : c'est une bonne description de ce que peut faire de nous l'entrée dans une période critique septennale. çà doit pouvoir se vérifier... mais ici il s'agit de la victime et non de l'agresseur... et je n'ai pas trouvé l'âge de la victime pour l'instant.
le mari par contre se trouvait dans sa période critique septennale des 42 ans ce qui a certainement contribué à cette rupture et ce coup de folie...


édit :
j'ai trouvé 43 ou 44 ans pour la victime au moment des faits. il semblerait donc qu'il y ait eu compatibilité entre les deux, en période critique pratiquement en même temps... compte tenu de la violence de l'assassinat il reste à vérifier si l'intéressé n'était pas en jour critique émotionnel : c'est notre jour de rage.

tout cela non pas pour excuser ou atténuer en quoi que ce soit la responsabilité de l'auteur, mais pour essayer de montrer que si on s'y prend à temps et que l'on observe et prend en compte le cycle psychique et émotionnel septennal, à l'avance, on peut voir arriver le drame et essayer de le prévenir... et/ou soigner les "personnes à risque".

lundi 20 avril 2009

Stephen Hawking

Stephen Hawking
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie

Stephen HawkingStephen William Hawking, CH, CBE (* 8. Januar 1942 in Oxford, Vereinigtes Königreich) ist ein englischer Astrophysiker und seit 1979 ............
...........
1963 wurde bei Hawking Amyotrophe Lateralsklerose (ALS) diagnostiziert, seit 1968 ist er auf einen Rollstuhl angewiesen; wobei allerdings die Vermutung nahe liegt, dass er an einer anderen neurodegenerativen Erkrankung leidet, da die durchschnittliche Lebenserwartung von ALS bei 3-5 Jahren liegt und Hawking seit über 40 Jahren mit der Erkrankung lebt; ein Wert, der selbst bei extremer und dauerhafter therapeutischer Begleitung eher unwahrscheinlich scheint.

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nouvelobs.com :
Hospitalisation du mathématicien Stephen Hawking
AP | 20.04.2009 | 18:38
Le célèbre mathématicien Stephen Hawking est grièvement malade et a été hospitalisé, a annoncé lundi l'Université de Cambridge.
L'établissement a précisé que le scientifique de 67 ans souffrait d'une infection de la poitrine depuis plusieurs semaines et était soigné à l'Addenbrooke's Hospital de Cambridge, au nord de Londres.

"Le professeur Hawking est très malade", a déclaré Gregory Hayman, responsable du service de communication de l'université. "Il subit des examens. Il était souffrant depuis deux semaines".

M. Hayman a ensuite expliqué dans l'après-midi que Stephen Hawking resterait à hôpital pour la nuit.

Le mathématicien avait été contraint d'annuler un déplacement le 6 avril à l'Arizona State University en raison de sa maladie.

Sa renommée mondiale tient à ses travaux sur les trous noirs et aussi à son handicap physique. Stephen Hawking est resté actif alors que la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie incurable, a été diagnostiquée chez lui alors qu'il était âgé de 21 ans.Depuis des années, il est pratiquement entièrement paralysé, et communique au moyen d'un synthétiseur électronique vocal.

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Stephen Hawking entre lundi en fin d'après-midi dans son jour critique physique P12 et il n'est pas exclu qu'une "subite aggravation de son état" soit liée à cela. il m'arrive de rencontrer (relaté par la presse lorsqu'il s'agit d'une personnalité connue) ce phénomène lié à l'arrivée d'une sorte de décrochage ou chute de l'énergie au moment assez précis de l'entrée dans un jour critique physique. (un nouveau jour biorythmique démarre d'après ma théorie chaque soir à 18heures, et le jour de l'arrivée d'un jour critique - chaque sixième jour - cela provoque un effet de "coup de pompe" sur l'organisme. selon que l'on est plus ou moins sensible, plus ou moins en bon ou mauvais état, cela peut se traduire par un malaise... mais le malaise est en fait une particularité du jour critique physique lui-même)

je relève par ailleurs un autre élément que j'avais constaté et qui m'intéresse : certains type de maladies surviennent avec l'arrivée d'une période critique septennale : or Hawking est tombé malade à l'arrivée de ses 21 ans, apparemment. (c'est à 20 ans et demi que l'on entre de la période critique septennale des 21 ans).

accident mystérieux

Bild.de :
Mysteriöser Badeunfall in Leer Mutter und zwei Kinder in Lebensgefahr – ein Kind tot
Ein mysteriöser Badeunfall gibt der Polizei im ostfriesischen Leer große Rätsel auf. In einem gut besuchten Hallenbad lagen eine Mutter (41), ihr Sohn (7) und ihre zwei Töchter (5 und 8) leblos am Boden!

Badegäste und Bademeister konnten die Familie bergen und reanimieren – drei der vier schweben in Lebensgefahr, ein Mädchen (8) starb.

Sowohl der Ablauf des Unfalls als auch mögliche Hintergründe sind völlig unklar. Es gibt offenbar keine Hinweise auf ein Fremdverschulden oder Selbstmordabsichten, auch die Befragung von Zeugen und des Familienvaters brachte keine Aufschlüsse.

Die Ermittlungen müssen nach Polizeiangaben klären, ob die Vier überhaupt schwimmen konnten: Denn zunächst waren sie im Nichtschwimmerbereich gesehen worden, doch sie verunglückten im Schwimmer-Becken.

Nach ersten Aussagen des Familienvaters gingen Mutter und Kinder regelmäßig zum Schwimmen. Der Mann, der ebenso wie seine Frau und Kinder vietnamesischer Herkunft ist, steht unter Schock. Er soll noch einmal befragt werden, dann zum Ausschluss möglicher Missverständnisse mit Dolmetscher.

Nach den bisherigen Ermittlungen der Polizei kamen die Mutter und ihre drei Kinder gegen 15.15 Uhr und damit eine Dreiviertelstunde vor Badeschluss in das Hallenbad der Stadt und gingen ins Schwimmbecken. Gegen 15.35 Uhr wurden ihre Körper in rund zwei Meter Tiefe am Boden entdeckt. Zu dem Zeitpunkt waren 20 bis 30 Kinder und zehn Erwachsene in dem Becken.

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je note parce que la mère est âgée de 41 ans : c'est le moment "pic" à 41 ans et demi environ de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans.
on ne s'explique pas pour l'instant comme cette mère et ses trois enfants ont pu être retrouvés inanimés au fond de la piscine... apparemment ils ont pu être raminés (mais pas encore tirés d'affaire) sauf une fillette qui est morte.
attentons d'en savoir plus.

édit 23/04 : les enquêteurs se posent toujours des questions ; pour l'instant la mère ne se souvient de rien. c'est arrivé dimanche soir du 19 avril... d'après certains articles, l'après-midi d'après d'autres comme ci-dessus... jour critique émotionnel de la mère lundi ?

crime parfait

Libération.fr :
Neuf ans après, Jacques Viguier reste accusé du crime parfait
Soupçonné d’avoir tué sa femme en 2000, le professeur de droit est rejugé aujourd’hui.

Un mari suspecté d’avoir tué son épouse et d’en avoir escamoté le corps, lequel reste introuvable neuf ans après, cela s’appelle un fait divers. Que ce mari soit un brillant professeur de droit public à Toulouse-I-l’Arsenal et que l’idée traverse les enquêteurs qu’il aurait pu préparer un crime parfait, et le fait divers devient tout de suite une «affaire». L’affaire Viguier, comme Jacques Viguier, 51 ans, sera jugée à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 7 mai devant les assises de Haute-Garonne.

Suzanne Blanch épouse Viguier, danseuse de profession, mère aimante de trois enfants et maîtresse de son partenaire au tarot, est décrite par ceux qui la connaissent comme «une femme pétillante». Mais elle s’évapore, à 38 ans, sans ses enfants ni ses lunettes, sans son sac à main ni ses affaires de toilette entre 10 h 15 et 12 heures le dimanche 27 février 2000. C’est là le début d’un roman.

Suzanne Viguier disparaît la veille d’un rendez-vous chez son avocat pour préparer son divorce d’avec un mari alors jeune quadragénaire qu’elle juge trop porté sur ses jeunes étudiantes. C’est un roman des mœurs sociales, avec des proches du couple assurant avoir entendu l’accusé dire : «On ne quitte pas Jacques Viguier.» C’est aussi le Mystère de la chambre jaune. Avec l’accusation qui affirme qu’il n’y avait que cinq clés de la maison fermée à double tour, clés toutes retrouvées sur place, alors que la défense affirme qu’il y en avait six et que Suzanne aurait donc pu s’échapper sans mal de ce domicile du quartier résidentiel de la Terrasse à Toulouse.
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le "jeune quadragénaire" est dans sa période Hyde : il a 42 ans au moment des faits et se trouve en pleine période critique septennale.

dimanche 19 avril 2009

agité

rtl.info.be :
Un policier tue un Schaerbeekois qui poignardait son collègue

Des agents de police surveillaient un homme agité ce matin chaussée de Haecht. Une discussion s'est engagée mais a dégénéré, et un des agents a voulu neutraliser le passant avec une bombe de gaz lacrymogène. L'homme s'est emporté et a visiblement sorti un couteau avec lequel il a poignardé l'agent de police. Un de ses collègues a dès lors directement riposté par deux coups de feu. L'homme est décédé presque sur le coup.

La victime est âgée de 41 ans et fait partie des services de la ville de Schaerbeek. L'homme se rendait à son travail au moment des faits. D'après la police, il s'agit donc d'un cas de légitime défense.

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possible, effectivement, que l'on soit agité... à l'entrée d'une période critique septennale...

drame familial

matin.qc.ca :
Drame familial au Maryland: un père tue ses trois enfants
Un homme a tué quatre membres de sa famille puis s'est enlevé la vie à Middletown, au Maryland.

Christopher Wood, 34 ans, a tué son épouse Frances Billotti Wood ainsi que leurs trois enfants âgés de cinq, quatre et deux ans. Selon le shérif de Frederick County certaines des victimes ont été poignardées, tandis que Woods s'est suicidé avec une arme à feu au pied du lit où reposaient les corps de son épouse et de leur fillette de deux ans. Les deux garçons, qui partageaient une chambre à coucher, ont été retrouvés dans leurs lits.

C'est le père de Frances Woods qui a contacté les policiers samedi matin, leur indiquant que la famille n'avait pas été vue depuis plusieurs jours. On ignore toutefois à quand exactement remontent les décès, ce que des autopsies devront déterminer au cours des prochains jours.

Les policiers ont découvert dans la maison plusieurs armes à feu et quatre notes manuscrites laissées par Woods, mais n'en ont pas révélé le contenu.

(source: cnn)

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l'entrée dans la période critique des 35 ans : dramatique si on ne prend à l'avance la dépression annoncée...
si après 34 ans le vent tourne... attention de s'accrocher au mât comme Ulysse... (ou mieux, si çà ne va pas, demander de l'aide et se faire assister : il est important de s'y prendre à temps car une fois dans le cycle on a tendance à "s'étanchéifier" alors que l'intensité de la dépression/désinhibition s'accentue, pouvant aller jusqu'au drame ; çà reste bien sûr l'exception mais même exceptionnel, c'est toujours terriblement dramatique pour ceux à qui çà arrive et l'entourage...)

(comme c'est prévisible, réagissons à l'avance - risque maximum : dans l'année qui suit les 20 ans, 27 ans, 34 ans, 41 ans, 48 ans, 55 ans, 62 ans, etc... et/ou le jour de la semaine lequel nous sommes nés... (dès la veille au soir de ce jour et ce même en dehors des années à risque précédemment citées.)

samedi 18 avril 2009

meurtre de Nancy Michaud

LaPresseCanadienne :
Proulx dit qu'il a hésité quelques minutes avant d'assassiner Nancy Michaud
Il y a 21 heures

QUEBEC — Francis Proulx a déclaré vendredi qu'il a hésité pendant quelques minutes avant de prendre la décision d'assassiner l'attachée politique Nancy Michaud, qu'il a tuée d'une balle dans la tête après s'être introduit chez elle, l'année dernière.

Au deuxième jour de son témoignage devant jury, Proulx, âgé de 29 ans, a raconté pour la première fois sa version des faits survenus dans la nuit du 15 au 16 mai 2008, à Rivière-Ouelle, une municipalité du Bas-Saint-Laurent, à l'est de Québec.

Accusé du meurtre prémédité de l'attachée politique du ministre des Ressources naturelles, Claude Béchard, Proulx a insisté, depuis le début de son témoignage, jeudi, sur le caractère impulsif de ses escapades nocturnes, que ce soit lors de cambriolages ou de hold-up, ou encore le soir du meurtre.

Vendredi, Proulx a décrit aux jurés comment, tout de noir vêtu et cagoulé, il s'est introduit, par la porte déverrouillée du sous-sol, dans la résidence de la femme de 37 ans, qui dormait à l'étage avec ses deux enfants.

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Constatant que sa victime s'impatientait et demandait à être libérée, Proulx, qui a soutenu être demeuré calme durant toute cette période, a déclaré qu'il est redescendu une dernière fois.

"Je descends face à elle - ça c'est fait rapidement -, j'ai ramassé le revolver et je lui ai mis une balle dans la tête", a-t-il dit.

Après avoir péniblement traîné le cadavre à l'extérieur, dans un cimetière non loin derrière la résidence, Proulx a décidé de le transporter dans une maison abandonnée afin d'avoir une relation sexuelle avec le corps de la victime.

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Il a insisté sur le fait qu'il était sous l'emprise d'une impulsion lorsqu'il décidait de commettre ses délits.

Proulx a notamment soutenu qu'il avait éprouvé une irrépressible envie d'entrer par effraction dans un chalet parce qu'il se sentait comme "possédé du démon".

L'accusé a aussi démontré qu'il retrouvait ensuite son sang-froid, notamment lorsqu'il a passé une nuit à vider consciencieusement une résidence où il était entré avec une clef passe-partout, sans se soucier d'être pris.

Evoquant un des cinq hold-up commis durant cette même période, Proulx a aussi expliqué qu'il s'était décidé à entrer dans un dépanneur pour réclamer le tiroir-caisse et des billets de loterie après avoir constaté que son complice, qu'il n'a pas identifié, était trop nerveux pour le faire.

Jeudi, l'avocat Jean Desjardins, qui représente Proulx, a affirmé aux jurés que son client était fragilisé par des maladies mentales héréditaires faisant en sorte qu'il ne contrôlait pas ses gestes et ne mesurait pas leurs conséquences.

L'interrogatoire de l'accusé doit reprendre mercredi prochain.

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le scénario peut bien entendu être vu sous l'angle de la période critique septennale dans laquelle se trouvait apparemment l'intéressé au moment du crime (28 ans si j'ai juste) (pulsions et absence d'états d'âme) Je n'ai pas trouvé la date de naissance de Proulx mais ce serait intéressant : on pourrait notamment savoir s'il a agit en jour critique émotionnel (natif du vendredi ?) et tout autant intéressant de voir la situation lors des précédents faits puisqu'il parle à chaque fois de pulsions...

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édit le 8/05/2009 lorsque Canoe.com écrit le 7 mai hier :
"Le témoin expert de la défense a convenu que Proulx - dont c'est le 30e anniversaire de naissance aujourd'hui -
si c'est juste Proulx est né le 7 mai 1979, un lundi, et cela donne une situation neutre le 16 mai 2008 sauf à deux jours du jour critique physique P1 le samedi.

mai 2008 :
Ma 13
Me 14
Je 15 I(9)
Ve 16

Sa 17 P(1)
Di 18

il y a divers éléments intéressants :

- un jour critique intellectuel le jeudi 15 (mais qui s'arrête en principe à 18H, lorsque commence le "jour cyclique" suivant)
- vendredi est un jour neutre jusqu'à 18H : la nuit de jeudi à vendredi est par conséquent "neutre"
- proximité de la date anniversaire, période critique selon moi.
mais surtout les semaines qui précèdent cette date.
- la 29ème année de vie fait encore partie de la période critique septennale des 28 ans, mais elle s'arrête avec l'anniversaire 29... sauf si on n'est pas sorti de ses problèmes...
- enfin le P1 du samedi 17 est important : c'est un jour de pulsions. je ne sais pas si l'arrivée de ces pulsions est subit, avec l'arrivée du jour P1 vendredi soir, ou si ces pulsions peuvent se manifester à la façon d'une montée progressive au cours des jours précédents. ce sont des pulsions sexuelles entre autre. (de violence aussi)

la date de naissance aussi, reste à confirmer car la date de l'article pourrait être décalée...